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Partager Partager L'Invité.e Carte blanche à Nathalie Locatelli : My heritage La Rédaction14 octobre 2020 Temps de lecture estimé : 2minsPour sa deuxième carte blanche, notre invitée de la semaine, Nathalie Locatelli – la fondatrice et directrice de la galerie 127 – nous confie, à travers l’application My heritage, l’importance de la photographie pour notre mémoire et notre histoire personnelle et familiale. Grâce à cette technologie, elle a retrouvé le visage de sa mère… Je profite de cette carte blanche pour remercier Gilad Japhet l’inventeur de l’application My heritage. J’ai pu grâce à lui redonner des contours nets au visage de ma mère sur des photographies que je ne connaissais pas il y encore un mois. L’émotion a été tellement forte que je suis restée prostrée pendant des heures devant ce jeune et beau visage tantôt grave, tantôt souriant. Ce sont ces photos qui remplaceront son seul portrait en ma possession que j’ai volé adolescente à mon père qui le gardait jalousement. Ce sont celles du portrait chinois qui répond à la question : Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Ce sont elles. Merci ! L’histoire de votre famille à portée de main. https://www.myheritage.fr/mobile EN CE MOMENT À LA GALERIE : Galerie 127- Montreuil7, rue Arsène Chéreau 93100 Montreuil sam12sep(sep 12)15 h 00 minsam03oct(oct 3)19 h 00 min1, 2, 3 SoleilTina MerandonGalerie 127- Montreuil, 7, rue Arsène Chéreau 93100 MontreuilType d'événement:Exposition,Photographie Détail de l'événement1,2,3 Souriez ! L’analogie est frappante et certainement Tina Merandon a joué de cette correspondance entre le jeu et la photographie où le regard caché et apparent régit les Détail de l'événement 1,2,3 Souriez ! L’analogie est frappante et certainement Tina Merandon a joué de cette correspondance entre le jeu et la photographie où le regard caché et apparent régit les échanges : il s’agit toujours d’échanges et comment se vivent les interactions entre homme – animal ou entre eux. (Tina MERANDON) 1, 2, 3 Soleil est le fruit d’une résidence à Arles en 2019, initiée par le Réseau Diagonal, Voies Off et la Sampa, dans le quartier populaire de Griffeuille, à forte culture maghrébine. Il est alors apparu évident à Tina Merandon de proposer ce travail à la Galerie 127 de Marrakech, histoire aussi de mettre en parallèle ce regard, de l’autre côté. Le contexte récent a changé la donne et c’est, finalement, à Montreuil que nous débutons notre histoire commune et accueillons ainsi l’artiste au sein de la galerie. Pour cette première exposition de Tina Merandon à la Galerie 127 de Montreuil, nous avons choisi avec l’artiste de montrer des oeuvres parmi trois séries : Anima, Petites danseuses et 1,2,3 Soleil. La teneur de ce dernier projet – qui pourrait se résumer à cette question, selon Michel Poivert : comment formuler la question sociale dans un langage esthétique ? – réside dans cet interstice franco-marocain, franco-maghrébin, inter-culturel sublimé par la représentation photographique. Dans cette série, les silhouettes et les figures jouent à cache-cache avec l’environnement selon un procédé plastique qui permet subtilement à la photographe de respecter l’anonymat des figures humaines. Le corps est bien à l’oeuvre, cependant, comme souvent chez Tina Merandon Les deux séries Petites danseuses et Anima offrent des corps aussi, des corps ultra-stylisés, ramenés à l’essence d’un geste dansé pour la première et à la fusion corps-animal que la mythologie grecque n’aurait pas reniée, pour la seconde. Le corps ainsi transformé sous l’oeil de Tina Merandon est un corps transitionnel porteur d’identité, de langage, d’histoire commune. Il s’inscrit, selon la convention photographique, dans une bidimensionnalité qui s’offre à d’autres corps, nos corps de regardeurs fugaces. Tina Merandon affirme que la question des échanges, de la confrontation, de la fusion est au cœur de sa démarche. A la question fatidique, à laquelle bien peu d’entre nous peuvent répondre : qui sommes-nous et d’où venons-nous? Tina Merandon propose : que pouvons-nous être ? car un autre corps est possible selon Dominique Baqué. Le magique attrape-rêves qu’est l’appareil photographique promet l’infini. Dates Septembre 12 (Samedi) 15 h 00 min - Octobre 3 (Samedi) 19 h 00 min LieuGalerie 127- Montreuil7, rue Arsène Chéreau 93100 Montreuil Galerie 127- Montreuil7, rue Arsène Chéreau 93100 MontreuilOuvert de 15h à 19h du mercredi au samedi CalendrierGoogleCal https://www.galerie127.com/ GALERIE 127 Montreuil 7, rue Arsène Chéreau 93100 Montreuil GALERIE 127 Marrakech 127 avenue Mohammed V 40 000 Marrakech – Maroc Bookmark1
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