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Partager Partager L'Invité·e Carte blanche à Yves Rousselet : Mon appareil photo est plus intelligent que moi La Rédaction1 avril 2021 Temps de lecture estimé : 3minsPour sa troisième carte blanche, notre invité de la semaine, Yves Rousselet, partage avec nous une réflexion sur l’acte photographique. Celui qui pousse les photographes du monde entier à appuyer sur le déclencheur à un instant décisif, ou celui qui invite les milliards de terriens à capturer un moment de vie sur leurs smartphones. De cette observation est née la conviction pour notre invité, que son appareil photo est plus intelligent, plus sensible et plus réflexe que lui et qu’il ne fait qu’entr’apercevoir ce qu’il a retenu et qui ne se reproduira plus… 19 août 1839 la France fait don de la photo au monde !!! Aujourd’hui le village global plein de reconnaissance sans doute (restons joyeux et optimistes) ne cesse de lui renvoyer des clichés par milliers … Au point de se demander jusqu’où peut nous entrainer ce flux … Sur quelles rives du réel ou de l’imaginaire notre barque va-t-elle accoster … Quelle frontière du faux du vrai du juste ou des apparences allons-nous franchir … quelle traversée du miroir … REPRODUIRE PRODUIRE EXPRIMER ces trois qualités trois injonctions trois spécificités ont fait accéder la pratique de la chambre noire au statut de discipline artistique … Certes au temps des sels d’argent il était déjà monnaie courante de débattre pour cataloguer pour statuer pour authentifier qui est artiste ? qui est photographe ? qu’est-ce qu’une bonne photo ? … dans l’utra-présentiel du pixel tout s’accélère « le beau débit du laid le laid délit du beau » dès lors qu’il devient encore plus facile de produire et de diffuser des images, qu’il est possible de « saisir l’instant et dans l’instantanéité le partager »… les appareils abandonnent la caractéristique technique « reflex » cependant que photographier s’apparente de plus en plus à une activité réflexe … Une réflexion passionnante et bien utile naît de ce changement de paradigme, des questionnements surgissent sur les multiples aspects de rupture qu’il engendre … J’y perçois tout de même de la continuité dans le droit fil de l’incantation eastmanienne « You press the button. We do the rest« . Celle-ci déjà encourageait à sa manière consumériste et démocratique les déclenchements d’obturateur en plus grand nombre … et avec elle advient le caractère propre du médium photographique, offrir à n’importe qui la possibilité de réussir une, même une superbe, même une sublime photographie … Sincèrement je souhaite toujours tutoyer ce registre « le sublime » mais dans ma valse à trois temps je ne sais pas si ça va avoir lieu je ne sais pas si c’est en train de se produire je sais juste parfois que s’est arrivé … au moment où l’image apparait sur l’écran quand je l’imprime dans un album … et j’ai alors cette conviction mon appareil photo est plus intelligent plus sensible plus réflexe que moi … je n’ai fait qu’entr’apercevoir ce qu’il a retenu et qui ne se reproduira plus … « À quoi ressemblent les choses quand elle sont photographiées » – Garry Winogrand Marque-page0
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