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Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsLa revue 6Mois vient de célébrer ses 10 ans d’existence. Cela fait une décennie que la revue bi annuelle renoue le lien entre journalisme et photographie. Depuis l’an passé, elle initie un prix doté de 10 000€ qui récompense deux photographes. Pour cette seconde édition, se sont les photographes Fabiola Ferrero et Seif Kousmate les heureux lauréat·es. Tous deux racontent de l’intérieur leurs communautés respectives au Venezuela et au Maroc avec « I can’t hear the birds » et « Waha. Un jury international – composé de Kathryn Cook (Éditrice photo CICR à Genève, Lekgheto Makola (Directeur du Javett Art Center à Johannesburg), Laura El Tantawy (Photographe anglo-égyptienne), Lars Lindeman (Directeur de la Photo de Geo Allemagne), Tess Raimbeau (Éditrice photo à Libération), Gilles Favier (Directeur du Festival « images Singulières » de Sète), Tancrède Besnard (Mécène du Prix) et Martina Bacigalupo (Directrice photo de 6Mois) – s’est réuni pour choisir les deux photographes lauréat·es les douze candidatures finalistes sélectionnées sur la pertinence et l’originalité des projets portés par des regards d’auteurs. Le jury a arrêté son choix sur le travail de ces deux photographes qui racontent de l’intérieur leurs communautés respectives au Venezuela et au Maroc. Ils se partagent les 10 000 euros accordés par le prix. © Fabiola Ferrero – Extrait de la série I cant’t hear the birds © Fabiola Ferrero – Extrait de la série I cant’t hear the birds Fabiola Ferrero est une photographe vénézuélienne, née à Caracas en 1991. Journaliste de formation, elle met l’émotion au coeur de son travail. Pour raconter la chute de son pays, où, sur 28 millions d’habitants, plus de 5 millions ont été contraints à l’exil, elle choisit une écriture intime : « Je ne me demande pas ce qui s’est passé pour que le pays de mon enfance devienne ce qu’il est aujourd’hui mais comment cela affecte nos âmes. » Gardienne des maisons vides de sa famille, elle raconte avec ses photographies ce pays qu’on déserte. © Seif Kousmate – Extrait de la série Waha © Fabiola Ferrero – Extrait de la série I cant’t hear the birds Seif Kousmate est un photographe marocain, né en 1988 à Essaouira. Dans son projet « Waha », il raconte la disparition des oasis marocaines, dont les deux tiers ont été rayées de la carte à la suite des changements environnementaux de ces dernières décennies. Ces conséquences ont un coût économique pour les habitants des oasis et mettent en danger leur subsistance même : des communautés entières finissent par abandonner leurs terres et migrer vers les villes dans l’espoir d’une vie meilleure. L’inclusion sur les photos des éléments intimement liés à ces espaces – dates, peau morte des palmiers – et l’usage du feu, lui permettent de raconter la réalité présente et le processus de dégradation à venir. Marco Zorzanello, lauréat de la première édition du Prix 6Mois du photojournalisme Favori1
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