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Partager Partager Temps de lecture estimé : 8minsLa sixième édition de la Résidence 1+2 – Photographie et sciences va être inaugurée le 26 octobre prochain à Toulouse. La restitution de cette année de travail en résidence, réalisée par le trio de photographes que sont Grégoire Eloy, Laure Winants et Myriem Karim, sera quant à elle présentée à la Chapelle des Cordeliers, à partir du 30 octobre. À quelques jours du coup d’envoi de cette 6ème manifestation, et tandis que l’exposition de 1+2 Factory « Histoire[s] à creuser » du duo d’artistes Alexandra Serrano & Simon Pochet est actuellement ouverte au public au Musée de l’Aurignacien, je me suis entretenue avec Philippe Guionie, le directeur de la Résidence 1+2… 🎧 Philippe Guionie en écoute : Edition 2021, cap sur les Pyrénées ! © Grégoire-Eloy / Résidence-1+2, 2021 La France compte parmi les pays qui organisent le plus de résidences artistiques. La particularité de la Résidence 1+2, qui se déroule chaque année dans la région de Toulouse, est qu’elle allie photographie et science, Philippe Guionie, le directeur de la Résidence, nous présente cette initiative comme un laboratoire d’idées et une fabrique des possibles. C’est d’ailleurs dans cette conjonction de coordination que réside toute la subtilité de ce programme, puisqu’il y a une volonté réelle de ne privilégier aucune des deux pratiques. Pour cette édition 2021 comme pour les précédentes, nous retrouvons trois photographes, un artiste de renom, Grégoire Eloy (collectif Tendance Floue) tout récemment primé au Prix Niépce et deux photographes émergeantes issues d’un appel à projet : Laure Winants et Myriem Karim. Petite spécificité pour cette année, les trois auteur·es ont travaillé sur la même aire géographique : les Pyrénées, mais avec des démarches et des écritures bien distinctes. Ce cru 2021 a été marrainé par Héloïse Conesa, conservatrice du patrimoine à la Bibliothèque nationale de France, en charge de la collection de photographie contemporaine. © Laure Winants / Résidence 1+2, 2021 « L’idée ce n’est pas faire de la photographie de science, c’est de mettre au même niveau photographie et sciences pour essayer à la fois de proposer des travaux inédits, mais tenter que chaque discipline abandonne quelque chose dans sa façon de raconter le réel ou les imaginaires, pour surprendre. On essaye de créer local pour répondre à des enjeux universels.« © Laure Winants / Résidence 1+2, 2021 Grégoire Eloy, choisi par Philippe Guionie en concertation avec plusieurs professionnels du monde de la photographie et des sciences, s’est intéressé aux montagnes pyrénéennes sur une thématique couplant la photographie à la glaciologie. Il s’est immergé avec des spécialistes et s’est concentré sur un territoire spécifique : le glacier d’Ossoue. Il a arpenté ce glacier avec une équipe de scientifiques pour en proposer une lecture poétique et pour interroger ce qui reste de ce glacier sur le territoire des Pyrénées. Ce travail explore également les problématiques liées au réchauffement climatique, de la biodiversité et de l’environnement. © Myriem Karim / Résidence 1+2, 2021 Myriem Karim s’est intéressée à un territoire voisin, que l’on appelle le cirque de Gavarnie. Elle a choisi la géologie et a collaboré avec un géographe et deux géologues pour explorer la matière de la roche et l’épaisseur du temps. Tandis que Laure Winants, artiste photographe belge, a travaillé sur les traces visibles et invisibles du réchauffement climatique du Pic du Midi. En six ans, ce sont trente résidences, 6 films et 18 livres qui ont été publiés. Comme nous le confie Philippe Guionie : « il commence à y avoir une compréhension par l’exemple et par les images de ce que l’on essaye de faire. Photographie et sciences, cela effraie beaucoup de gens, à cause du mot ‘sciences’, beaucoup de photographes – documentaires ou plasticiens, connus ou non, ont déjà des sciences dans leur expression artistique, la seule chose c’est qu’ils n’en font pas un outil, ils ne le revendiquent pas, notre rôle c’est de le révéler ! Nous travaillons sur la transversalité et la pluridisciplinarité. Et au bout de 6 ans, on s’aperçoit que le message est passé. Je vois des photographes qui viennent nous voir, qui nous sollicitent et que l’on n’attend pas forcément dans cette fabrique de photo et sciences, et des scientifiques qui n’ont à priori pas d’accointance avec le milieu artistique. Il y a un vrai lâché prise des deux côtés, et c’est important, sinon ça ne fonctionnerait pas. Je pense que l’on a atteint une certaine sérénité dans la pratique et les propos, et je crois qu’aujourd’hui on doit aller plus loin… » Les programmes satellites, 1+2 Factory © Alexandra Serrano / 1+2 Factory, 2021 Depuis 2017, 1+2 Factory propose une résidence d’un photographe (ou un duo d’artistes) sur un territoire avec une entité scientifique qui a lieu plusieurs fois par an. Cette année, et pour la première fois c’est un duo qui a été choisi : la photographe Alexandra Serrano et le créateur sonore Simon Pochet. Ils présentent actuellement et jusqu’au 5 décembre au Musée de l’Aurignacien – La préhistoire en Haute-Garonne l’exposition « Histoire[s] à creuser », la restitution de leur résidence, qui s’est déroulée lors du confinement autour de la photographie, du son et de l’archéologie. Pour mener à bien leur projet les organisateurs ont donc mis en place un eco-système qui comprend notamment le musée archéologique et un laboratoire de recherche. Les deux artistes ont suivi un chantier de fouilles pendant plusieurs semaines, aujourd’hui leur travail prend la forme d’une installation mêlant son et photographies : « parfois on fait des embardées sur les arts visuels, mais en croisant toujours photographie et sciences. Pour ce projet ce sont des archéologues qui n’avaient jamais travaillé avec des scientifiques et qui ont appris des choses sur leur propre discipline, il y a eu un effet de miroir sur ce qu’ils étaient eux-mêmes. » © Alexandra Serrano / 1+2 Factory, 2021 Programme de la semaine inaugurale : – RENCONTRE PHOTOGRAPHIE & SCIENCES, UN DIALOGUE AU FÉMININ • Le Mardi 26 octobre de 19h à 20h en présence de la photographe Sandrine ELBERG et des deux photographes émergentes 2021 de la Résidence 1+2 Myriem KARIM et Laure WINANTS. Modération : Philippe GUIONIE Centre culturel Bellegarde – 17, rue Bellegarde – Toulouse http://www.bellegarde.toulouse.fr – CONFÉRENCE GRÉGOIRE ELOY À L’ISDAT • Le Mercredi 27 octobre de 18h à 20h Institut supérieur des arts de Toulouse (isdaT) – 5, quai de la Daurade – Toulouse http://www.isdat.fr – PRÉSENTATION EN AVANT-PREMIÈRE DU COFFRET 3 OUVRAGES #2021 AUX ÉDITIONS FILIGRANES Suivie d’une séance de signatures par les photographes 2021 Grégoire ELOY, Myriem KARIM, Laure WINANTS Présentée par Dominique ROUX (enseignant, critique et historien de la photographie) • Le Jeudi 28 octobre à 20h Salle de conférence – Librairie Ombres Blanches – 3, rue Mirepoix – Toulouse http://www.ombres-blanches.fr – VERNISSAGE EXPOSITION DE LA RÉSIDENCE 1+2 TOULOUSE #2021 • Le vendredi 29 octobre de 18h30 à 21h 19h : Visite commentée avec les photographes En présence de Grégoire ELOY, Myriem KARIM, Laure WINANTS et Margaux CHATAUX, cinéaste du film de création (format 26’) de Héloïse CONESA, marraine de l’édition 2021 et de Catherine JEANDEL, marraine d’honneur Chapelle des Cordeliers – 13, rue des Lois – Toulouse – COLLOQUE ANNUEL 2021 «Photographie & Sciences» • Le Samedi 30 octobre de 9h à 18h Muséum d’Histoire naturelle de Toulouse – 35, allées Jules-Guesde – Toulouse http://www.museum.toulouse.fr – SOIRÉE INTERACTIVE « VOIR LES ÉTOILES UN VERRE DE VIN À LA MAIN » à partir de 19h30 à l’Observatoire de Jolimont : plateau radio en direct, projections live, médiation autour des étoiles, dégustation de vins régionaux, constructions éphémères, ambiance musicale en présence de nombreuses personnalités culturelles et scientifiques. Visite commentée et observations par la Société d’Astronomie Populaire Observatoire de Jolimont – 1, avenue Camille Flammarion – Toulouse http://www.saptoulouse.net INFORMATIONS PRATIQUES Musée de l’Aurignacien - La préhistoire en Haute-GaronneAvenue de Benabarre - 31420 Aurignac dim10oct(oct 10)10 h 00 mindim05déc(déc 5)18 h 00 min1+2 FACTORY : Histoire[s] à creuserAlexandra Serrano & Simon PochetMusée de l’Aurignacien - La préhistoire en Haute-Garonne, Avenue de Benabarre - 31420 Aurignac Détail de l'événementLa Résidence 1+2 Factory, réalisée à Aurignac du 15 septembre au 9 octobre 2020, est singulière à plusieurs titres : pour la première fois au sein de notre programme annuel Détail de l'événement La Résidence 1+2 Factory, réalisée à Aurignac du 15 septembre au 9 octobre 2020, est singulière à plusieurs titres : pour la première fois au sein de notre programme annuel de résidences, nous avons invité un duo d’artistes aux pratiques distinctes, dans le but d’expérimenter un processus de création associant photographie et son, sur un territoire donné. Cette dynamique pluridisciplinaire et transversale a trouvé son écrin à Aurignac, au coeur du Comminges, un territoire riche d’histoires séculaires et notamment préhistoriques. En associant pleinement photographie, son et archéologie, tout l’enjeu de cette résidence de territoire est de créer les conditions d’un dialogue respectueux entre artistes, scientifiques et acteurs locaux. Les mots n’ont pas toujours le même sens mais l’essentiel est ailleurs : faire sens en impulsant une démarche créative et participative réunissant des acteurs de natures différentes mais tous ancrés sur le même territoire : musée de l’Aurignacien, laboratoire de recherches scientifiques, établissement scolaire, lieux associatifs. Dans Histoire[s] à creuser, le duo Alexandra Serrano et Simon Pochet se situe à mi-chemin entre quête mémorielle et collecte de matériaux de toute sortes, définissant par un jeu d’interactions multiples les contours d’un voyage aux riches expériences physiques et sensorielles. Pendant trois semaines intenses, Mathieu Lejay, géoarchéologue, et Lars Anderson, préhistorien, respectivement membre et docteur associé au laboratoire TRACES (CNRS/Université Toulouse Jean Jaurès/ Ministère de la culture, EHESS, INRAP), sont devenus des acteurs à part entière de cette circulation des idées et des pratiques, une tentative collective de définir «l’esprit du lieu « cher au journaliste Jean-Claude Guillebaud. La photographie est avant tout une pratique sociale, créatrice de liens et de synergies nouvelles entre différents acteurs et publics. Au-delà d’une revisitation de la matière préhistorique au prisme d’une expression artistique inédite, c’est aussi cela que nous raconte cette résidence de territoire, aux enjeux si contemporains : faire récit pour faire société et vivre ensemble ! – Philippe Guionie, Directeur de la Résidence 1+2 Le travail d’Alexandra Serrano est sensible et poétique, il tente de rendre visible nos usages intimes du monde. À travers ses photographies, elle s’approprie plastiquement des territoires, cherchant à sublimer la vie quotidienne des lieux, jusqu’à faire basculer le réel dans la fiction et ainsi construire de nouvelles narrations. Son travail personnel se développe à travers la réalisation de commandes publiques, de résidences de création ainsi que d’interventions pédagogiques auprès de publics variés en partenariat avec différentes institutions culturelles telles que la Maison Européenne de la Photographie, le BAL, le Musée Nicéphore Niépce, les Ateliers Médicis ou encore l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses travaux figurent dans de nombreuses publications et expositions individuelles et collectives en France et à l’étranger : Festival Circulation(s) à Paris, festival Fotoleggendo à Rome, Biennale Internationale de Photographie du Bangladesh, festival Flash Forward à Londres, Toronto, Portland et Boston, les Rencontres Photographiques de Niort… www.alexandraserrano.com Simon Pochet crée des pièces sonores, documentaires et musicales, phonographiques et électroacoustiques, en lien avec le vécu et l’imaginaire des lieux, en privilégiant des démarches de création participative et en expérimentant divers dispositifs de diffusion sonore, des parcours géolocalisés et des oeuvres interactives. Impliqué dans plusieurs collectifs artistiques et d’éducation populaire, il est notamment associé au Collectif Mu (Les Voix du rail ou Rail Océan, Nuit Blanche 2017 à Paris), et il a également collaboré dans son parcours avec France Culture (documentaire sonore Le 47 rue de la Goutte d’or, avec Nina Almberg, ACR 2015). Depuis 2018, seul ou avec la photographe Alexandra Serrano, il développe sa pratique dans le cadre de résidences de création et d’actions artistiques sur différents territoires en France (Paysages sonores dans le PNR du Haut-Jura, Création en cours en Meuse avec les Ateliers Médicis et les ministères de la culture et de l’éducation nationale, CLEA dans le Nord avec la DRAC Hauts-de-France, Regards du Grand Paris en Ile-de-France avec le CNAP et les Ateliers Médicis…). www.simonpochet.cargo.site Alexandra Serrano et Simon Pochet forment un duo mettant en dialogue la création d’images et la création de mondes sonores. Leur démarche artistique respective s’intéresse aux questions de mémoire, de territoire, d’identité, et d’expérience physique et sensorielle de l’espace. Ils envisagent régulièrement la création à travers l’autre, en le sollicitant, en récoltant son témoignage, en collectant objets, récits et traces, comme autant de pièces à conviction qui deviennent par la suite la matière première de leurs oeuvres. DatesOctobre 10 (Dimanche) 21 h 00 min - Décembre 5 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuMusée de l’Aurignacien - La préhistoire en Haute-GaronneAvenue de Benabarre - 31420 Aurignac Get Directions CalendrierGoogleCal Chapelle des Cordeliers13, rue des Lois 31000 Toulouse sam30oct(oct 30)9 h 30 mindim28nov(nov 28)18 h 00 minRésidence 1+2 : « Photographie & Sciences » 2021Grégoire Eloy, Laure Winants, Myriem KarimChapelle des Cordeliers, 13, rue des Lois 31000 Toulouse OrganisateurRésidence 1+2 Toulouse Détail de l'événementExposition Rhizome par Héloise Conésa, Historienne de l’art, conservatrice du patrimoine en charge de la collection de photographie contemporaine au département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque Détail de l'événement Exposition Rhizome par Héloise Conésa, Historienne de l’art, conservatrice du patrimoine en charge de la collection de photographie contemporaine au département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France (BnF) En échangeant avec des glaciologues, des géologues, des géomorphologues, des climatologues sur le territoire des Pyrénées, du glacier d’Ossoue au cirque de Gavarnie ou au massif de Bigorre, les trois photographes de la Résidence 1+2 ont réussi à nourrir leur processus créatif et leur imaginaire de protocoles et d’interrogations scientifiques propres à ancrer leur travail dans un réel rendu à sa complexité. Ils en ont déduit, poussant à l’extrême l’expérimentation technique, une formalisation visuelle ou plutôt des formes spéculatives : du paysage à la mise en scène d’instruments de mesure, du fragment au panorama, du noir au blanc à la couleur, du photogramme à la pellicule périmée, en passant par la photogravure ou le cyanotype incluant des échantillons de particules prélevées sur place. L’abstraction de leurs images qui s’appuie sur le concret des sensations ressenties à l’heure de gravir le massif pyrénéen rejoint l’idée du physicien Paul Langevin selon laquelle : « Le concret est l’abstrait rendu familier par l’usage ». Ils ont ainsi conjugué observation et contemplation, confronté à leur vision fantasmée du territoire leur propre expérience physique du terrain et ajouté aux strates géologiques des strates interprétatives Grégoire Eloy souligne, non sans une certaine poésie, la proximité formelle qui lie les silhouettes des chercheurs se dessinant sur les massifs enneigés, à leur échantillonnage de carottes glaciaires ; Laure Winants propose un précipité visuel qui nous mène des étoiles observées au Pic du Midi aux particules fines du black carbon ; Myriem Karim cherche dans les plis terrestres comme dans les remous de l’eau la mémoire des hommes. Et tous, nous parlent aussi d’une nature qui change sous l’impact de l’anthropocène. Certes leurs oeuvres se situent dans un rapport plus métaphorique aux enjeux écologiques mais dans l’émotion qu’elles convoquent, dans l’esthétique qui les réunit, elles suscitent une prise de conscience qui s’ajuste aux discours scientifiques ou politiques. Les photographes de cette résidence mettent au jour les affinités secrètes des forces telluriques et de ceux qui les étudient, faisant de la collecte des données un inventaire poétique ; dans leurs images, l’eau se fige en glace et la pierre coule, se fraye un chemin à travers la sinuosité de l’écorce terrestre. Photo : © Myriem Karim: Résidence 1+2, 2021 DatesOctobre 30 (Samedi) 20 h 30 min - Novembre 28 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuChapelle des Cordeliers13, rue des Lois 31000 Toulouse OrganisateurRésidence 1+2 ToulouseLearn More Get Directions CalendrierGoogleCal A LIRE : Covid-19 et Photographie : Rencontre avec Philippe Guionie « La Résidence 1+2 repensée face à la crise sanitaire » Philippe Guionie, Directeur de la Résidence 1+2, est notre invité Résidence 1+2 : Entretien avec Philippe Guionie Favori0
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