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Partager Partager Temps de lecture estimé : 5minsUne collection libre, sans thème, sans sujet précis, si ce n’est rassembler des images qui vibrent d’une présence séduisante, parfois dérangeante, voire perturbante, toujours empreinte d’inconnu, d’émotion, et souvent d’un certain mystère (…) Soizic Audouard et Elisabeth Nora À partir de la collection AN fondée par Soizic Audouard et Elisabeth Nora et de la collection de la Médiathèque du patrimoine et de la photographie, le Jeu de Paume Hors les Murs, au Château de Tours revient sur ce chapitre décisif de l’histoire du médium. L’exposition 1,2,3… Couleur ! L’autochrome exposée autour de 176 œuvres déploie en multitude ces rares diapositives en couleur sur plaque de verre qui suscitent un véritable engouement de par leur esthétique singulière, dite pictorialiste et proche de l’impressionnisme ou du pointillisme. ANONYMESublime altération, s. d. Si l’autochrome connaitra une longue période d’oubli comme le souligne Quentin Bajac, cette exposition et l’album qui l’accompagne est donc une occasion exceptionnelle de revivre ces riches heures expérimentales sous l’impulsion d’amateurs passionnés, membres de sociétés photographiques. Ayant découvert l’autochrome au musée de l’Orangerie avec la remarquable exposition Heinrich Kühn, la photographie parfaite (2010,2011) il me tardait de revivre ces mêmes émotions. Quentin Bajac, Soizic Audouard et Elisabeth Nora (collection AN) ont répondu à mes questions. Soizic Audouard et Elisabeth Nora : quelle est la genèse et l’ADN de la collection AN ? SA et EN. Au départ, un procédé photographique très peu connu… et tout de suite l’émerveillement de ces couleurs singulières et fragiles qui illustrent l’inventivité de ce début de siècle. En décidant de choisir ce procédé pour notre collection commune, nous laissions libre cours à tous les sujets, à toutes les curiosités. Paul CASTELNAUMilitaire français en observation : unguetteur au poste de l’écluse 26, 1917 Paul CASTELNAUCentre chirurgical,Roesbrugge-Haringe (Belgique), 1917 26. Paul CASTELNAUQuatre militaires sénégalais,Saint-Ulrich, (Haut-Rhin), 1917 Paul CASTELNAULes héros de Drie Grachten : deuxfusiliers marins, 1917 Quentin Bajac : la collection de la Médiathèque du patrimoine et de la photographie et la SPA, les Archives de la Planète, quelle vocation ? QB. Pour le reportage de l’année 1917, une vocation documentaire et pédagogique : garder une trace des événements de la guerre de 14-18, les faire connaître par le biais de projections conférences d’où le format retenu, 9×12 qui était celui le plus adapté pour les projections. Mais dans les faits, ces images furent très peu diffusées à l’époque. Léon GIMPEL (attribué à)L’autochromiste, vers 1920 En quoi la révolution de l’autochrome sera-t-elle décisive ? QB. A strictement parler, l’autochrome n’est pas le premier procédé couleur inventé mais c’est le premier procédé couleur à faire l’objet d’une application industrielle et à être commercialisé : en cela il réalise le vieux rêve de voir le monde en couleurs et, pour les frères Lumière, leurs inventeurs, il était aussi important que leur autre invention, le cinéma, qui lui permettait de voir le monde en mouvement. Quels partis pris scénographiques vous ont-ils guidé ? SA et EN. La transparence de la plaque en couleurs, qui nécessite un rétro-éclairage. Et la sobriété du bois, qui déjà il y a 10 ans s’était imposée lors de la première exposition de la collection. QB. En partant du principe que la projection avait été le principal moyen de diffusion des autochromes à l’époque, privilégier des images, légèrement agrandies et rétroéclairées qui rappellent que l’autochrome est l’ancêtre de notre « diapositive » ANONYMEBateaux à sec, au carénage, vers 1906 ANONYMEFaçade de la maison de couture Paquin rue de la Paix, décorée à l’occasion de la venue du roi George V et de la reine Mary àParis, 1914 Marjory HARDCASTLELe petit porteur d’eau au bord du Nil, Égypte, vers 1914 L’album qui accompagne l’exposition : les enjeux, le résultat SA et EN. Nous le trouvons très beau et sommes très satisfaites qu’il soit à la portée de tous. Il reflète bien notre collection et donne envie d’en savoir plus, et de venir voir l’exposition. QB. Un choix difficile à faire d’une cinquantaine d’images parmi les 250 de l’exposition. Comme l’exposition il ne s’agit pas d’une histoire de l’autochrome mais d’une introduction à l’autochrome : 50 images, quelques textes, beaucoup de citations pour faire comprendre le procédé et évoquer l’enthousiasme extraordinaire qu’il a suscité. L’album de l’exposition, Les Presses du réel Edition bilingue (français / anglais)22 x 31 cm (broché)48 pages (ill.) 9.50 € 1, 2, 3… couleur ! – Les presses du réel (livre) (lespressesdureel.com) INFORMATIONS PRATIQUES Jeu de Paume - Château de Tours25, avenue André Malraux 37000 Tours ven02déc(déc 2)14 h 00 min2023dim28mai(mai 28)18 h 00 min1, 2, 3 couleurs !L’autochrome exposéeJeu de Paume - Château de Tours, 25, avenue André Malraux 37000 Tours Détail de l'événement Le grand photographe américain Edward Steichen (1879-1973) écrivait à son propos qu’il s’agissait du « plus beau procédé que la photographie nous ait jamais donné Détail de l'événement Le grand photographe américain Edward Steichen (1879-1973) écrivait à son propos qu’il s’agissait du « plus beau procédé que la photographie nous ait jamais donné pour traduire la nature ». L’engouement pour la nouvelle technique fut en effet à la fois intense et relativement bref : il dura un peu plus de deux décennies, le procédé tombant progressivement en désuétude dans les années 1920 et 1930. L’autochrome traversa par la suite une longue période d’oubli. Trop fragile, trop difficile à exposer, non reproductible, elle fut pendant longtemps l’un des grands délaissés de la photographie, telle une branche morte qui semblait n’avoir donné que de trop rares fruits. De cet abandon, l’autochrome a été tirée depuis deux décennies par quelques historiens et collectionneurs qui, à contre-courant, ont su en apprécier la finesse, la sensualité, l’étrangeté. L’exposition 1,2,3 Couleur ! L’autochrome exposée rassemble 176 œuvres issues de deux collections, dont une quarantaine de plaques originales. La diversité des autochromes présentées illustre la très large utilisation de ce support au sein de la société, des photographes anonymes ou de renom au service photographique des armées. Accompagnant l’exposition présentée au château de Tours, l’album qui sera édité est une contribution à ce renouveau d’intérêt illustré par les deux collections. D’une part, la collection AN réunie depuis 2006 par Soizic Audouard et Élizabeth Nora, qui par sa très grande qualité et sa diversité constitue une merveilleuse introduction à l’esthétique très singulière de l’autochrome. De l’autre, le fascinant fonds d’autochromes de la Première Guerre mondiale conservé à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie. Cette sélection, si riche soit-elle, n’a pas vocation à relater une histoire du procédé mais se veut davantage une introduction. DatesDécembre 2 (Vendredi) 1 h 00 min - Mai 28 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuJeu de Paume - Château de Tours25, avenue André Malraux 37000 Tours Jeu de Paume - Château de Tours25, avenue André Malraux 37000 ToursMardi à dimanche : 14 h-18 h / Fermeture le lundi - Tarif plein: 4 € / Tarif réduit: 2 € Get Directions CalendrierGoogleCal Voir la programmation du Musée Le Château de Tours est ouvert du mardi au dimanche de 14h à 18h. Fermeture le lundi et les 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 1er novembre, 11 novembre, 25 décembre. Tarifs 4,20 € plein tarif 2,10 € tarif réduit A Paris, Jeu de Paume : Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris mar11oct(oct 11)11 h 00 min2023dim29jan(jan 29)19 h 00 minRenverser ses yeuxAutour de l’arte povera, 1960 - 1975Jeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementPour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présenteront une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens Détail de l'événement Pour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présenteront une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens des années 1960 et du début des années 1970. Centrée autour du groupe de l’arte povera, elle s’ouvrira à divers compagnons de route du mouvement et au-delà, pour étudier la position des avant-gardes italiennes face à la photographie et à l’image en mouvement. Cette exposition donnera à voir l’extraordinaire richesse d’une période où les artistes italiens se sont appropriés le pouvoir narratif de la photographie, de la vidéo et du film. Des tableaux miroirs de Michelangelo Pistoletto aux grandes photographies sur toile de Giulio Paolini ou de Giovanni Anselmo, des oeuvres sur photocopie d’Alighiero Boetti aux photomatons de Franco Vaccari ou aux vidéos de performance réalisées par Luciano Giaccari, elle dressera un panorama des expérimentations visuelles des avant-gardes italiennes de la période dans le domaine de l’image. Contemporaines des travaux de la scène conceptuelle internationale, ces recherches sont, dans le même temps, profondément ancrées dans une culture et une histoire italiennes : en cela, elles aboutissent à la création de quelques-unes des oeuvres les plus fécondes et les plus originales de la période, décloisonnant les genres et les disciplines. L’exposition déploiera une réflexion articulée en quatre sections thématiques réparties sur les deux lieux : CORPS (LE BAL), EXPÉRIENCE, IMAGE, THÉÂTRE (Jeu de Paume). La section autour du CORPS présentera la façon dont, à la suite de Piero Manzoni, le corps, photographié ou filmé, devient un des matériaux privilégiés des artistes de la période – et plus singulièrement le propre corps de l’artiste. Remettant la figure de l’artiste au coeur de la pratique artistique, ces travaux renouvellent indirectement le genre de l’autoportrait tout en interrogeant, paradoxalement, la notion même d’identité, voire en remettant en cause le rôle de l’auteur. La section EXPÉRIENCE abordera la manière dont photographie et film sont utilisés comme des instruments d’investigation du temps, de la durée et de l’espace. Quittant leurs ateliers, nombre de ces artistes manifestent une même volonté d’enregistrer une action et de nouer un lien au monde et à la nature plus direct, à la fois exploratoire et expérimental. La troisième section autour de l’IMAGE traitera de l’utilisation de la photographie et de l’image en mouvement dans une dimension critique : réflexion sur le monde des médias, déconstruction des pratiques artistiques traditionnelles, remise en cause de l’objectivité de la photographie. Enfin, la section THÉÂTRE traitera de mise en scène : celle de l’art et de l’artiste qui anime les vues et films d’exposition de la période, comme celle, inhérente à la pratique du tableau vivant, qui parcourt nombre de travaux photographiques à partir du début des années 1970. Au total, plus de 250 oeuvres de 45 artistes seront réparties dans les deux lieux. L’exposition donnera également lieu à l’édition d’un catalogue, coédité par le Jeu de Paume, LE BAL et l’Atelier EXB, reproduisant une grande partie des oeuvres exposées et proposant plusieurs études d’historiens de l’art ainsi qu’une chronologie développée. Commissaires : Quentin Bajac, directeur du Jeu de Paume, Diane Dufour, directrice du BAL, Giuliano Sergio, commissaire indépendant Commissaire associée : Lorenza Bravetta, conservateur photographie, cinéma et new media Triennale Milano Photo : Gino De Dominicis Tentativo di far formare dei quadrati invece che dei cerchi attorno ad un sasso che cade nell’acqua, 1969 Courtesy Lia Rumma © Gino De Dominicis / Adagp, Paris, 2022 DatesOctobre 11 (Mardi) 22 h 00 min - Janvier 29 (Dimanche) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Get Directions CalendrierGoogleCal Related Events Renverser ses yeux 11 Octobre 2022 1 h 00 min - 29 Janvier 2023 8 h 00 min LE BAL6, Impasse de la défense 75018 Paris mar11oct(oct 11)12 h 00 min2023dim29jan(jan 29)19 h 00 minRenverser ses yeuxAutour de l’arte povera, 1960 - 1975LE BAL, 6, Impasse de la défense 75018 Paris Détail de l'événementPour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présenteront une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens Détail de l'événement Pour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présenteront une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens des années 1960 et du début des années 1970. Centrée autour du groupe de l’arte povera, elle s’ouvrira à divers compagnons de route du mouvement et au-delà, pour étudier la position des avant-gardes italiennes face à la photographie et à l’image en mouvement. Cette exposition donnera à voir l’extraordinaire richesse d’une période où les artistes italiens se sont appropriés le pouvoir narratif de la photographie, de la vidéo et du film. Des tableaux miroirs de Michelangelo Pistoletto aux grandes photographies sur toile de Giulio Paolini ou de Giovanni Anselmo, des oeuvres sur photocopie d’Alighiero Boetti aux photomatons de Franco Vaccari ou aux vidéos de performance réalisées par Luciano Giaccari, elle dressera un panorama des expérimentations visuelles des avant-gardes italiennes de la période dans le domaine de l’image. Contemporaines des travaux de la scène conceptuelle internationale, ces recherches sont, dans le même temps, profondément ancrées dans une culture et une histoire italiennes : en cela, elles aboutissent à la création de quelques-unes des oeuvres les plus fécondes et les plus originales de la période, décloisonnant les genres et les disciplines. L’exposition déploiera une réflexion articulée en quatre sections thématiques réparties sur les deux lieux : CORPS (LE BAL), EXPÉRIENCE, IMAGE, THÉÂTRE (Jeu de Paume). La section autour du CORPS présentera la façon dont, à la suite de Piero Manzoni, le corps, photographié ou filmé, devient un des matériaux privilégiés des artistes de la période – et plus singulièrement le propre corps de l’artiste. Remettant la figure de l’artiste au coeur de la pratique artistique, ces travaux renouvellent indirectement le genre de l’autoportrait tout en interrogeant, paradoxalement, la notion même d’identité, voire en remettant en cause le rôle de l’auteur. La section EXPÉRIENCE abordera la manière dont photographie et film sont utilisés comme des instruments d’investigation du temps, de la durée et de l’espace. Quittant leurs ateliers, nombre de ces artistes manifestent une même volonté d’enregistrer une action et de nouer un lien au monde et à la nature plus direct, à la fois exploratoire et expérimental. La troisième section autour de l’IMAGE traitera de l’utilisation de la photographie et de l’image en mouvement dans une dimension critique : réflexion sur le monde des médias, déconstruction des pratiques artistiques traditionnelles, remise en cause de l’objectivité de la photographie. Enfin, la section THÉÂTRE traitera de mise en scène : celle de l’art et de l’artiste qui anime les vues et films d’exposition de la période, comme celle, inhérente à la pratique du tableau vivant, qui parcourt nombre de travaux photographiques à partir du début des années 1970. Au total, plus de 250 oeuvres de 45 artistes seront réparties dans les deux lieux. L’exposition donnera également lieu à l’édition d’un catalogue, coédité par le Jeu de Paume, LE BAL et l’Atelier EXB, reproduisant une grande partie des oeuvres exposées et proposant plusieurs études d’historiens de l’art ainsi qu’une chronologie développée. Commissaires : Quentin Bajac, directeur du Jeu de Paume, Diane Dufour, directrice du BAL, Giuliano Sergio, commissaire indépendant Commissaire associée : Lorenza Bravetta, conservateur photographie, cinéma et new media Triennale Milano Photo : Giuseppe Penone Rovesciare i propri occhi – progetto, 1970 Collage de photographies noir et blanc, aux sels d’argent teintés au sélénium sur papier baryté Collection privée, Turin © Archivio Penone / Adagp, Paris, 2022 DatesOctobre 11 (Mardi) 23 h 00 min - Janvier 29 (Dimanche) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuLE BAL6, Impasse de la défense 75018 Paris LE BAL6, Impasse de la défense 75018 ParisLE BAL est une plateforme indépendante d’exposition, d’édition, de réflexion et de pédagogie, dédiée Mercredi 12h - 22h Nocturne. Jeudi 12H - 19H Soirées BAL LAB 20H-22H (Fermeture de l'exposition à 19H) et le Vendredi, samedi, dimanche 12H - 19H. Fermé le Lundi et Mardi Get Directions CalendrierGoogleCal Related Events Renverser ses yeux 11 Octobre 2022 0 h 00 min - 29 Janvier 2023 8 h 00 min Relire mon interview avec Diane Dufour Jeu de Paume Paris – Photographie, cinéma, art contemporain Prochainement sur le même thème : La Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 Strasbourg sam04fev(fev 4)14 h 00 mindim26mar(mar 26)19 h 00 minLéon GimpelGuerre & PaixLa Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image, 4 place d'Austerlitz 67000 Strasbourg Détail de l'événementBercée de prospérité économique, de paix et de progrès scientifique, la période de la Belle Époque (fin 19ème – début 20ème siècle) a également vu l’apparition de l’autochrome, première technique Détail de l'événement Bercée de prospérité économique, de paix et de progrès scientifique, la période de la Belle Époque (fin 19ème – début 20ème siècle) a également vu l’apparition de l’autochrome, première technique de photographie couleur. Léon Gimpel découvre cette invention lors de sa présentation par les Frères Lumière en 1907 et en fait sa spécialité. Il l’emploie pour capturer les nouveaux visages d’un Paris métamorphosé par l’installation du réseau électrique et l’arrivée des néons sur les façades des grands magasins. Joyeuses et colorées, ces enseignes marquent l’essor de la publicité à l’échelle du paysage urbain. L’oeuvre prolifique du photographe capture aussi des jardins luxuriants, des paysages oniriques, des intérieurs luxueux, des fleurs, des champignons et des femmes… L’appétit de belles images aurait pu être tari par la survenue de la Première Guerre mondiale, mais Léon Gimpel continue de parcourir les rues de la capitale. Il y trouve l’insouciance et la poésie auprès d’un groupe d’enfants qui rejouent les combats avec armes et costumes. Avec une innocence teintée de la tragédie qui se déroule sur les champs de bataille, ils se prêtent volontiers au jeu de la photographie. Animé par un véritable sens de l’originalité, le photographe laisse derrière lui plusieurs milliers d’images d’une singularité saisissante, miroirs de l’effervescence de l’époque. Léon Gimpel est un photographe français né en 1873 à Strasbourg. Collaborant avec des journaux et magazines comme La Vie illustrée ou L’Illustration, il documente les progrès de l’aéronautique et se place rapidement comme un acteur majeur de la vulgarisation scientifique. Grâce à la richesse de son patrimoine iconographique, il incarne encore à ce jour l’une des grandes figures de l’histoire de la photographie française. Remerciements : Marion et Philippe Jacquier / Galerie Lumière des roses et le CRI des Lumières. Photo : Léon Gimpel, Fééries lumineues, Paris, 1925-1933 / fonds galerie Lumière des Roses DatesFévrier 4 (Samedi) 1 h 00 min - Mars 26 (Dimanche) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 Strasbourg La Chambre - espace d'exposition et de formation à l'image4 place d'Austerlitz 67000 StrasbourgEspace d'exposition : mercredi > dimanche : 14h - 19h ou sur rdv Fermé les jours feriés Get Directions En savoir plus CalendrierGoogleCal Favori1
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