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Partager Partager La vingtième édition du Festival des Boutographies de Montpellier s’est tenue du 15 au 30 mai dernier, à l’issu de la manifestation, les lauréat·es ont été annoncé·es. C’est la photographe Julie Joubert pour sa série « Mido », que nous avons publiée en janvier dernier, qui remporte le Prix du Jury. Le public a choisi quant à lui, Antoine Lecharny. Trois coups de cœur ont été décernés par les partenaires Réponses Photo, Photon et Les Jours qui récompensent respectivement Dmitry Ermakov, Thomas Jorion et Natalia Kepesz. Prix du Jury 2021 Julie Joubert, Mido Mido © Julie Joubert (détail) J’ai rencontré Ahmed en 2017 dans un centre de réinsertion pour jeunes en difficulté. Via les réseaux sociaux, nous nous sommes retrouvés deux ans plus tard. Diminutif, surnom, pseudonyme : MIDO est un moyen de brouiller les pistes de sa trajectoire incertaine. Se présentant sous différentes identités au fil de ses rencontres, Ahmed se cache autant qu’il a l’envie d’être découvert. A travers un parcours de vie chaotique ponctué d’éléments douloureux, il survit avec le rêve de devenir modèle. Sa grande fragilité, son caractère autodestructeur ainsi que sa capacité à se dévoiler m’ont tout de suite convaincue de la nécessité de le suivre dans son quotidien sur une durée indéterminée. Prix du Public 2021 Antoine Lecharny, Même pas morts © Antoine Lecharny À l’origine de ce travail il y a la mort de Dadou, mon grand-père. Quelque temps après son enterrement, ma grand-mère m’a donné sa chevalière en héritage. Je l’ai longtemps portée avant de la perdre en jouant dans la mer avec ma sœur et mon père au mois d’août il y a deux ans. En lien avec cet évènement, j’ai progressivement choisi d’écrire sur les objets qui nous rattachent à ceux que nous avons perdus. Le point de départ de ce travail, c’est la perte, c’est quelqu’un qui n’est plus là, mais j’ai essayé de ramener beaucoup de monde, beaucoup de proches, beaucoup de vie intime, comme s’il s’agissait déjà d’un début de réponse à l’absence. Lauréat Coup de Cœur Réponses Photo Dmitry Ermakov, River Under Earth © Dmitry Ermakov Ces gens sont russes, mais ils ne sont pas russes. Ils sont quatre millions, mais on en parle peu. Ils parlent des langues différentes, mais ils sont unis par une sagesse simple, parfois cruelle, et par leur proximité avec la terre, comme s’ils provenaient de la terre – comme les pierres et les arbres. Ce sont des païens – ou, s’étant convertis au christianisme ou à l’islam, ils sont toujours païens sans s’en rendre compte. Ils sont finno-ougriens, et vivent dans un autre monde, à quelques centaines de kilomètres de Moscou. Lauréat Coup de Cœur Photon Thomas Jorion, Dakesa © Thomas Jorion Nous sommes sur l’ancienne voie de chemin de fer Dakar-Saint Louis du Sénégal, construite à partir de 1883. Aujourd’hui parsemée de gares désaffectées, la ligne se faufile a travers le temps et le sable. Lentement digérée, comme absorbée par son environnement, elle est devenue un lieu de transit, de rencontres, de vie pour toute une galerie de personnages. Artistes perdus, cochers, militaires en garde d’on ne sait quoi… Lauréat Coup de Cœur Les Jours Natalia Kepesz, Niewybuch © Natalia Kepesz Les camps d’été militaires pour enfants sont devenus incroyablement populaires en Pologne, et le patriotisme a pris une place importante dans l’enseignement primaire. Ce qui est frappant, c’est le caractère récréatif de ces camps, qui minimise le sérieux et la réalité de l’environnement militaire. Il n’est pas certain que ces jeunes veuillent poursuivre leur formation militaire à l’avenir. Pour eux, il s’agit plutôt d’appartenir à un groupe, de mimer ce qu’ils ont vu dans les films et les médias, et de vivre une aventure passionnante. L’impact sur leur développement psychologique et émotionnel reste à évaluer. Marque-page0
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