Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique 4 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 5 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique 4 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 5 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art 5 jours ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 27 juin 2025
« Tipping Point » : les artistes belges s’exportent à Marseille (suite), Interview Grégory Thirion, Le Botanique, co-commissaire 6 jours ago
Partager Partager L'InterviewPhoto Sarah Moon & Ilona Suschitzky à la Galerie Camera Obscura Ericka Weidmann31 janvier 2018 Temps de lecture estimé : 3minsLa Galerie Camera Obscura présente pour cette première exposition de l’année une exposition à quatre mains. Initulée « PaperWorks », elle rassemble les photographies de Sarah Moon en résonance au travail pictural d’Ilona Suschitzky, un dialogue entre deux amies à la sensibilité commune. Didier Brousse, fondateur et directeur de la galerie, a répondu à nos questions. 9 lives : Aujourd’hui, vous présentez à la galerie, deux artistes Sarah Moon et Ilona Suschitzky, pourquoi avoir choisi de rassembler les œuvres de la peintre et de la photographe au sein d’une même exposition ? Didier Brousse : J’avais fait la connaissance d’Ilona à l’occasion d’un voyage au Japon où elle accompagnait (ainsi que son mari, Peter Suschitzky, célèbre chef opérateur) Sarah et Robert Delpire. Nous étions ensemble à Kyoto pour une exposition de Sarah dans un musée. Rencontre extrêmement sympathique et qui m’avait montré leur complicité, derrière des personnalités par ailleurs bien différentes. Sarah et Ilona sont amies depuis de nombreuses années et Sarah a une vénération pour son travail de dessin, son imaginaire. C’est lorsqu’elles ont fait un travail à 4 mains, « Hidden » (dessins d’Ilona sur des photos de Sarah), que l’idée nous est venue de faire cette exposition. Le projet a ensuite pris du temps, 2 voire 3 années, pour trouver son chemin. 9 lives : Comment avez-vous abordé la composition de cette exposition ? D. B. : La cohabitation du dessin et de la peinture d’Ilona et de la photographie de Sarah : c’est précisément en faisant l’expérience, chez Sarah, de confronter concrètement leurs oeuvres, que nous est apparue la cohérence, le dialogue possible, pour autant que l’on choisisse des photographies ayant une certaine qualité de simplicité « non réaliste », voire d’abstraction. Ainsi le dialogue avec le dessin est fluide. Sarah a justement travaillé récemment avec d’anciens polaroïds positifs noir et blanc (elle utilise d’habitude le négatif du polaroïd) qu’elle avait sommairement fixés à l’époque, et qui portent maintenant les stigmates de ce fixage imparfait : traces du bâton de fixatif, parties mal fixées, etc… Cet effacement de l’image, cette impermanence, touche quelque chose de profondément présent, primordial même dans la photographie de Sarah. Elle a donc choisi un certain nombre de ces polaroïds, qu’elle a fait reproduire sur film et ensuite tirer au format 50 x 60 cm (ou tirer par contact pour certains). Nous avons trouvé que cette série marchait très bien avec les dessins. Pour le reste, les tirages charbon couleur des fleurs de Sarah étaient également un bon accompagnement au travail sur le même sujet d’Ilona. C’est ainsi que s’est construite l’exposition. 9 lives : La galerie est spécialisée dans la photographie classique et contemporaine depuis ses débuts, est-ce la première fois que vous exposez de la peinture ? D. B. : Nous avions déjà exposé par le passé des peintres (Marcelo Fuentes, Chuta Kimura), des céramistes (Enric Mestre, Jane Norbury) et aussi des peintures de Saul Leiter et les herbiers de Robert Delpire. C’est évidemment un tout petit pourcentage de nos expositions, mais ce pas de côté est très intéressant et rafraîchissant pour nous ! INFORMATIONS PRATIQUESPaperWorks Sarah Moon & Ilona Suschitzky Du 12 janvier au 17 mars 2017 Galerie Camera Obscura 268, Boulevard Raspail 75014 Paris Ouvert du mardi au vendredi 12h – 19h et le samedi 11 – 19h http://galeriecameraobscura.fr Marque-page0
Photo Empreintes, espaces en mutation de Farida Hamak Un avant-goût de vacances et d’été souffle sur notre rubrique portfolio avec la série Empreintes, signée par la photographe franco-algérienne Farida Hamak. ...
Evénements Arles, Musée Réattu : Béatrice Helg, photographe de la lumière Depuis les années 1980, Béatrice Helg (Née en 1956) développe une écriture de lumière, par le dispositif de la mise en scène. ...
L'Interview Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique Placée sous le signe d’un anniversaire majeur à venir — le bicentenaire de la photographie —, la 6ᵉ édition du Parlement de ...
L'Interview Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics
L'Interview Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art
L'Interview Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le parcours des photographes ultra-marins
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique 4 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 5 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique 4 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 5 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art 5 jours ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 27 juin 2025
« Tipping Point » : les artistes belges s’exportent à Marseille (suite), Interview Grégory Thirion, Le Botanique, co-commissaire 6 jours ago