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Partager Partager EvénementsL'InterviewPhoto Rencontre avec Béatrice Andrieux, commissaire, semaine de Paris Photo Marie-Elisabeth De La Fresnaye4 novembre 2019 Temps de lecture estimé : 7minsNous avions rencontré Béatrice Andrieux en juillet cette année au CRP/Hauts de France à l’occasion de l’exposition « Inédits dans la collections » dont elle assurait le commissariat (notre interview @9Lives). Nous la retrouvons en cette semaine Paris Photo avec deux projets autour des artistes photographes : Miguel Rothschild (Parcours Saint Germain/ Maison de l’Amérique Latine) et Corinne Mercadier (le salon H). Elle nous livre aussi ses coups de coeur et rendez-vous incontournables d’un agenda qui promet d’être intense ! Commissaire d’exposition indépendante, spécialisée en photographie et en art contemporain, Béatrice Andrieux a été directrice artistique de photo basel en 2016 et a dirigé le festival Alt+1000 en Suisse en 2015. Elle a collaboré à Paris Photo au Grand Palais et à Los Angeles de 2011 à 2014 et a été directrice artistique de Photography Show-Aipad New York en 2018. Elle a assuré différents commissariats dont Silent Significance en 2011 ; Waterland en 2009 et est co-auteure de l’ouvrage Lucien Hervé/Le Corbusier : Contact (Seuil, 2011). Miguel Rothschild le Spectre Maison de l’Amérique latine (en collaboration avec la galerie Bendana Pinel) comment la sensation de désastre et de danger imminents sont ils traduits par l’artiste ? Si les œuvres de la série le Spectre partent d’une fumée blanchâtre, provoquée par un feu dans une forêt du côté de Grenade, elles évoquent plus l’idée de spiritualité que de désastre et de danger imminent. Pour Miguel Rothschild, c’est la question de la représentation, de la double lecture qui l’intéresse. Lorsqu’on regarde ces grands formats, on peut aussi bien y voir une brume matinale qu’une forme spectrale. Toutes les interprétations sont possibles. Ce qu’il tente de restituer, est de l’ordre de la métaphore de l’esprit de la forêt. C’est un paysage dans lequel on suit une forme spectrale blanche dans une forêt qui devient onirique par l’utilisation des brûlures. Toute la surface du tirage photographique est parsemée de brûlures de taille différentes créant un espace tridimensionnel où apparaissent des touches de couleurs évoquant une peinture. Par son action, extrêmement minutieuse, il compose une autre perception de la réalité. L’histoire de l’art et particulièrement le romantisme allemand, très présent dans l’œuvre de Miguel, depuis son installation à Berlin il y a plus de vingt ans, demeure une source d’inspiration constante. Corinne Mercadier le salon H : genèse et parti pris de l’exposition J’ai toujours suivi le travail interdisciplinaire de Corinne Mercadier dont j’apprécie énormément l’approche du médium photographique et le discours qu’elle porte sur lui. Corinne m’a fait découvrir son atelier parisien que je ne connaissais pas pour me présenter ses dernières séries mais aussi ses dessins et Polaroids originaux qui sont peu connus. J’ai adoré ses travaux qui traduisent son univers singulier dans lesquels ses rêves et ses carnets ont une place déterminante. Ces anciens travaux permettent de mieux appréhender l’œuvre globale de Corinne dont les photographies récentes seront exposées sur le stand de la galerie des Filles du Calvaire à Paris Photo. Suite à de nombreuses conversations, Corinne m’a demandé de l’aider à exposer les dessins et polaroids. Peu de temps après, Yael Haberthal, qui a ouvert le salon H en 2013 avec Philippe Zagouri, souhaitait que nous collaborions ensemble. Je lui ai présenté les œuvres de Corinne qu’elle aussi a immédiatement aimées. Dans le très joli espace parisien qu’est le Salon H, 27 Polaroids SX70 originaux réalisés entre 1987 et 2002 et 18 dessins de 2008 à 2014 sont exposés. Le parti pris de l’exposition consiste à mettre en évidence la pratique du dessin dans l’œuvre de Corinne. Place du dessin dans le processus de création de Corinne Mercadier et comment cela se traduit-il dans le parcours ? Drawing © Corinne Mercadier Je dirai qu’il est omniprésent dans le processus de création de Corinne Mercadier qui a commencé par dessiner avant d’approcher la photographie. Elle a toujours continué sa pratique du dessin d’une part pour construire ses séries photographiques sous forme de carnets de travail et dans le même temps en rêvant des images comme je le mentionnais tout à l’heure « le crayon à la main » comme aime à le dire Corinne. Ces dessins très oniriques de la série Black Screen Drawing font réellement écho aux Polaroids que nous exposons. L’importance du dessin et de la peinture est visible particulièrement dans les Polaroids de la série Glasstypes, qui sont des photographies de peintures sur verre. On peut voir dans l’exposition l’évolution entre les Glasstypes de 1987 et ceux de 1998, d’abord des architectures liées à son amour pour Giotto, et plus tard des objets étranges…Les dessins de Black Screen Drawings résonnent aussi avec les Polaroids de la série Une fois et pas plus, dans laquelle Corinne travaille les lancers d’objets pour la première fois dès les années 2000. Quels temps forts attendez-vous pour cette semaine de la photographie à paris ? Paris Photo demeure un moment important pour moi depuis sa création parce que tous les acteurs du monde de la photographie s’y retrouvent. Entre plusieurs rendez-vous, j’irai voir l’exposition de la Fondation A Stichting que je visite régulièrement lorsque je vais à Bruxelles présente dans le Salon d’Honneur à Paris Photo avec des œuvres de Lewis Baltz, de Mitch Epstein et de Paolo Gasparini. L’exposition « Collective Identity » de la J.P Morgan avec le travail de Ayana V. Jackson sera aussi un grand moment. Je suis aussi très curieuse de découvrir le stand de Hauser & Wirth présent pour la première fois à Paris Photo avec des tirages d’August Sander. J’ai noté la conférence Architecture et Photographie avec David Campany. Evidemment pour moi, les temps forts consistent à rencontrer de nombreux directeurs d’institutions afin de leur présenter mes projets curatoriaux et éditoriaux dont celui que j’entame avec Anthony Haughey sur sa série « Home ». Enfin échanger avec mes amis galeristes Frish Brandt, Howard Greenberg, Tim Jefferies, Yossi Milo, Françoise Paviot, Timothy Persons, Renos Xippas et Thomas Zander reste toujours un moment important. À quand remonte votre 1er contact avec le medium ? À la petite enfance. J’ai vécu au Sénégal, à Dakar, de 4 à 6 ans. Mon père avait réalisé un très bel album photo en noir et blanc où se mêlaient nos souvenirs familiaux au quotidien et nos rencontres avec la population locale lors de nos voyages dont un fabuleux en Casamance, dans une Renault 4L ! Après ces deux années solaires, le retour en France avec l’installation à Malakoff fut un choc. Quel contraste ! Je passais du temps à parcourir l’album pour y retrouver des moments joyeux dans ce pays qui m’a profondément marqué. Bien plus tard, mon mémoire de DEA qui portait sur le Land Art m’a permis de découvrir le document et la photographie d’archive, la photographie comme restitution et comme œuvre d’art avec le travail de Georges Rousse notamment. INFORMATIONS PRATIQUES Maison de l’Amérique latine217 Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris mar15oct(oct 15)15 h 20 min2020ven10jan(jan 10)15 h 20 minThe SpectreMiguel RothschildMaison de l’Amérique latine, 217 Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris Détail de l'événementÀ partir du 15 octobre, la Maison de l’Amérique latine offre son espace d’exposition du rez-de-chaussée à l’artiste argentin Miguel Rothschild qui produit à cette occasion une création inédite. Installé Détail de l'événement À partir du 15 octobre, la Maison de l’Amérique latine offre son espace d’exposition du rez-de-chaussée à l’artiste argentin Miguel Rothschild qui produit à cette occasion une création inédite. Installé à Berlin depuis le début des années 1990, Miguel Rothschild développe une œuvre composite mêlant installation, sculpture, verre, matière organique et photographie. Si au début de sa pratique, la performance tient une place importante, il s’en éloigne au fil des années, pour aborder d’autres supports comme la photographie n’hésitant pas à la brûler ou à la trouer. L’ensemble des œuvres de Miguel Rothschild qui seront exposées à la Maison de l’Amérique latine à Paris est lié par le thème central de son travail : le spectre. En ce sens, l’artiste donnera à voir aux visiteurs son installation chorale « Grosse Spectre » composée de six tirages photographiques. En écho à cette présentation l’artiste conçoit pour la Maison de l’Amérique latine une vitrine inédite d’où s’élève un panache blanc de fumée. Une métaphore de l’esprit des forêts. Rampant le long de la surface transparente comme s’il cherchait à la percer et à la saisir, à la recherche d’une possible évasion… Dans le cadre du parcours PhotoSaintGermain 2019 DatesOctobre 15 (Mardi) 15 h 20 min - Janvier 10 (Vendredi) 15 h 20 min(GMT+00:00) LieuMaison de l’Amérique latine217 Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris Maison de l’Amérique latine217 Boulevard Saint-Germain, 75007 ParisOuvert de 10h à 20h tous les jours, de 14h à 18h le samedi et fermé le dimanche Get Directions CalendrierGoogleCal Le salon H6/8 rue de Savoie, 75006 Paris mer06nov(nov 6)14 h 30 minven20déc(déc 20)19 h 00 minCorinne MercadierPolaroids et dessins Le salon H, 6/8 rue de Savoie, 75006 Paris Détail de l'événementLe Salon H présente des oeuvres uniques de Corinne Mercadier, Polaroids SX70 originaux réalisés entre 1987 et 2002, et dessins sur papier à l’encre et au crayon de couleur de Détail de l'événement Le Salon H présente des oeuvres uniques de Corinne Mercadier, Polaroids SX70 originaux réalisés entre 1987 et 2002, et dessins sur papier à l’encre et au crayon de couleur de 2008 à 2014. Corinne Mercadier a toujours dessiné, et passant à la photographie elle a continué d’une part pour construire ses séries à partir de 2005 sous forme de carnets de travail, d’autre part en rêvant des images le crayon à la main et ce sont ces dessins-là, de la série Black Screen Drawings qui accompagnent les Polaroids au Salon H. Corinne Mercadier a surtout exposé des tirages de grand format réalisés à partir de Polaroids SX70. Cependant sa méthode de travail la menait à réaliser un certain nombre de Polaroids semblables au cours d’une même prise de vues. Ce sont certains d’entre eux que nous présentons. Les Polaroids exposés sont issus de deux séries : Glasstypes et Une fois et pas plus. Les Glasstypes sont des photographies d’objets peints sur verre par l’artiste, isolés sur un fond sombre. Ils sont entourés d’une aura lumineuse qui leur donne un aspect fantomatique. Les plus anciens (1987) sont des variations à partir d’architectures peintes de Giotto, alors que les plus récents (1997-99) figurent des objets incertains autour du corps, vêtement, élément de mobilier ou d’architecture. Un livre d’artiste, Dreaming Journal (1999), paru aux éditions Filigranes, accompagne ce travail. Il met en parallèle photographies issues des séries Glasstypes et Intérieurs et un texte de Corinne Mercadier. Dans ce texte les évènements au fil des jours se mêlent aux rêveries, au travail en train de se construire. Série Une fois et pas plus (2000-2002) Cette série fait suite aux Glasstypes. Elle passe de la photographie de peintures sur verre à la mise en scène dans l’espace réel : des volumes évoquant le vêtement réalisés par l’artiste sont en suspension dans un paysage. Des personnages sont parfois présents, et sont mis en relation avec un objet flottant, lancé pour la prise de vues. Par la présence éphémère de l’objet en l’air, ces images évoquent le destin, ce qui arrive. Elles mettent en jeu hasard, vitesse et mouvement. La couleur, proche du noir et blanc, permet à l’objet volant de se fondre dans le décor. Comme d’autres Polaroids de Corinne Mercadier depuis 1987, par exemple les séries Paysage et Où commence le ciel?, ils sont réalisés en rephotographiant des tirages argentiques. Il en résulte une mise à distance du réel qui entraîne vers un monde rêveur. La fabrication de la pellicule Polaroid SX70 a pris fin en 2008, tous les Polaroids de cette exposition sont des pièces uniques vintage. La présence d’images semblables témoigne de la méthode de travail de Corinne Mercadier et elles n’en sont pas moins uniques. La série Black Screen Drawings (2008-2014, encre, crayons de couleurs et gouache sur papier, environ 18×15 cm), offre une entrée différente dans un univers qui a pris forme au travers de la photographie. Alors que les dessins des carnets de travail, rapides et utiles, préparent les photographies mises en scène et permettent de concevoir les sculptures lancées, ceux de Black Screen Drawings s’élaborent à partir d’une rêverie. D’un fond d’encre émergent des formes qui s’éclairent et se colorent peu à peu. Ce qui est commun à tous ces dessins, outre l’unité de format et de technique, est l’apparente cohérence des sources de lumière, des ombres et de la perspective. Ces scènes sans réalité prennent l’aspect détaillé dont la mémoire ou l’observation auraient pu rendre compte. Les moirures du fond d’encre sont interprétées comme des territoires géographiques, et les formes construites sur ces territoires, proches de l’abstraction, sont hors d’un temps ou d’un espace mesurable. Il ne s’agit pas de paysage, mais plutôt de lieu de spectacle en extérieur sans décor, ni costumes ni personnages. Un théâtre. C’est la permanence d’une scène, imaginaire ou réelle, qui lie les dessins aux photographies de Corinne Mercadier où se produisent rêves et apparitions. Commissariat de Béatrice Andrieux DatesNovembre 6 (Mercredi) 14 h 30 min - Décembre 20 (Vendredi) 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuLe salon H6/8 rue de Savoie, 75006 Paris Le salon H6/8 rue de Savoie, 75006 ParisOuvert du mardi au samedi de 14h30 à 19h et tous les jours sur rendez-vous Get Directions CalendrierGoogleCal Le Grand Palais3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris jeu07nov(nov 7)10 h 00 mindim10(nov 10)19 h 00 minParis Photo 2019Le Grand Palais, 3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris OrganisateurParis Photo - Reed Expositions Détail de l'événementParis Photo, première foire internationale dédiée au medium photographique, se tient chaque année sous la verrière du Grand Palais à Paris. Depuis 1997, la foire œuvre au développement et au Détail de l'événement Paris Photo, première foire internationale dédiée au medium photographique, se tient chaque année sous la verrière du Grand Palais à Paris. Depuis 1997, la foire œuvre au développement et au soutien de la création photographique en promouvant le travail des galeristes, des éditeurs et des artistes. Paris Photo rassemble près de 200 exposants venus du monde entier, offrant ainsi aux collectionneurs et amateurs d’art un panorama complet de la photographie. Galeries émergentes et confirmées exposent des œuvres historiques et contemporaines, allant des chefs d’œuvres modernes aux jeunes talents. Éditeurs spécialisés ainsi que marchands de livres d’art présentent des éditions rares et limitées, des lancements de livres ainsi que de nombreuses signatures avec les plus grands artistes contemporains. Paris Photo propose à ses visiteurs un accès au monde de l’art et la possibilité d’approfondir leurs connaissances du médium photographique. Le programme comprend des expositions d’institutions publiques et privées, des prix, des séries de discussions animées par les artistes, commissaires, critiques invités ainsi que des événements spéciaux explorant l’histoire de ce médium ; les différentes visions et les pratiques émergentes. En association avec nos partenaires institutionnels, une sélection d’expositions à travers la ville est proposée dans le cadre du programme « A Paris pendant Paris Photo ». La 23ème édition de Paris Photo se tiendra du 7 au 10 novembre 2019. La journée de vernissage le mercredi 6 novembre (uniquement sur invitation). Dates7 (Jeudi) 10 h 00 min - 10 (Dimanche) 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuLe Grand Palais3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris OrganisateurParis Photo - Reed ExpositionsLearn More Get Directions CalendrierGoogleCal A LIRE : Paris capitale de la photographie, les immanquables de la semaine ! Rencontre avec Béatrice Andrieux, commissaire, les Inédits du CRP/, Hauts de France Rencontre avec Corinne Mercadier, Conseillère artistique de la Résidence des Rencontres de la Jeune Photographie à Niort Favori0
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