Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 1 jour ago
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 1 jour ago
Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IAEntretien avec Sylvie Fodor, Directrice générale du CEPIC 5 jours ago
Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement. Entretien avec Isabelle Tessier et Coline Miailhe 6 jours ago
Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art. Entretien avec Isabelle-Cécile Le Mée et Edouard de Saint-Ours 1 semaine ago
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 13 mai 2025
Masterclass Oeildeep : Masterclass Oeildeep : Naître d’entre les mondes – Aux frontières de l’incarnation par Albane Noor 6 juin 2025
Tipping Point, la scène belge à Marseille (suite) : Entretien avec Adrien Grimmeau, co-commissaire 4 jours ago
Nouveau Printemps de Toulouse : « Faire famille » avec Yandé Diouf, commissaire invitée par Kiddy Smile, Interview 5 jours ago
Partager Partager L'EditionPhoto Chose Commune rend hommage à Issei Suda dans « 78 » Ericka Weidmann12 mai 2020 Temps de lecture estimé : 2minsCet ouvrage aura réussi à parcourir un chemin semé d’embûches, pour voir le jour en pleine période de confinement… Avec « 78 », la petite maison d’édition française Chose Commune rend ici hommage au photographe japonais Issei Suda, en rassemblant 78 photographies inédites au sein d’un recueil tout en délicatesse… « À travers ce livre, la vision profondément urbaine et surprenante de Suda se déploie en contrastes et clins d’oeil. La présence inattendue des animaux, ou les regards mutins des enfants rebondissent sur des scènes de rue aussi quotidiennes qu’étranges. De Tokyo à ses préfectures avoisinantes, l’univers du photographe s’imprègne des dynamiques de la ville pour en restituer – non sans ironie – tout le souffle. Cette même énergie affleure dans la profondeur des noirs et le tranchant des contrastes d’Issei Suda qui font la singularité de son oeuvre. ». C.S.P.K. Lorsque Cécile Sayuri Poimboeuf-Koizumi, fondatrice de Chose Commune, souhaite consacrer un ouvrage au photographe japonais, Issei Suda, nous sommes en janvier 2019. Elle contacte alors le photographe qui lui répond immédiatement, pour lui proposer une rencontre. La venue de l’éditrice au Japon étant prévue en automne de cette même année, le rendez-vous est convenu. Malheureusement, rattrapé par le temps, Issei Suda meurt au mois de mars. Cécile décide tout de même de rencontrer l’épouse de l’artiste, Yokshiko. Elle découvre alors qu’Issei avait préparé une boîte de tirages de photographies qui n’avaient jamais été publiées. Un ensemble d’images prises essentiellement dans les rues de Tokyo entre 1971 et 1983. En feuilletant ces archives, l’éditrice sélectionne les photos, celles qui formeraient l’ouvrage, dont le projet avait débuté avant la disparition de l’auteur. 78, c’est le nombre de tirages qu’elle choisit. 78 c’est également l’âge à laquelle Issei Suda est mort. Étrange coïncidence. C’est ainsi que le titre du livre est né. Après plusieurs mois de travail, Chose Commune réalise un splendide livre posthume, sorti en pleine crise sanitaire du covid-19, à l’occasion de l’anniversaire de la disparition du photographe. Sensible hommage. INFORMATIONS PRATIQUES 78 Issei Suda Couverture rigide 24 x 28 cm 78 photographies 128 pages Français / anglais / japonais Date de publication : 1er avril 2020 ISBN: 979-10-96383-16-0 55€ https://chosecommune.com/fr/book/issei-suda-78/ À LIRE : Covid-19 et les éditeurs : Entretien avec Cécile Sayuri Poimboeuf-Koizumi, Chose Commune Marque-page1
L'Edition Alexandre Silberman, une fable urbaine au cœur de La Courneuve Le photographe Alexandre Silberman signe avec cette première monographie un travail d’une grande sensibilité. Lauréat du Prix Taylor Wessing Portrait de la ...
News L’artiste photographe iranienne Hannah Darabi est la lauréate du Prix Elysée 2025 Un jury international* vient de dévoiler le nom de la lauréate du Prix Elysée 2025, il s’agit de l’artiste photographe iranienne Hannah ...
L'Ephéméride Né un 17 juin : le photographe Ervin Marton Si vous êtes né·e un 17 juin, vous partagez votre date d’anniversaire avec le photographe franco-hongrois Ervin Marton (1912 – 1968). Son ...
L'Edition L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique
L'Edition Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 1 jour ago
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 1 jour ago
Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IAEntretien avec Sylvie Fodor, Directrice générale du CEPIC 5 jours ago
Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement. Entretien avec Isabelle Tessier et Coline Miailhe 6 jours ago
Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art. Entretien avec Isabelle-Cécile Le Mée et Edouard de Saint-Ours 1 semaine ago
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 13 mai 2025
Masterclass Oeildeep : Masterclass Oeildeep : Naître d’entre les mondes – Aux frontières de l’incarnation par Albane Noor 6 juin 2025
Tipping Point, la scène belge à Marseille (suite) : Entretien avec Adrien Grimmeau, co-commissaire 4 jours ago
Nouveau Printemps de Toulouse : « Faire famille » avec Yandé Diouf, commissaire invitée par Kiddy Smile, Interview 5 jours ago