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Partager Partager EvénementsL'InterviewPhoto Cinq histoires de famille Entretien avec Sylvie Hugues Ericka Weidmann29 mars 2022 Temps de lecture estimé : 5minsLe 6 avril, l’Hôtel de Sauroy accueille cinq femmes photographes autour d’une thématique commune, celle des histoires de famille. Une exposition intitulée « Cinq histoires de famille » réunissant cinq auteures éditées par les éditions Filigranes. À cette occasion, 9 Lives magazine vous propose – tout au long de cette semaine – de rencontrer chacune des artistes exposées et de plonger dans leurs histoires familiales respectives. Aujourd’hui, c’est au tour de Sylvie Hugues ne nous présenter « El Pueblo ». Dans ce travail, elle livre une part de son histoire personnelle, celle de l’assassinat de sa mère par son beau-père mêlant albums de famille et clichés récents. Pour l’exposition, son histoire se dévoile à travers 14 cadres, comme les 14 stations du chemin de croix. Quelle est votre première rencontre avec la photographie ? J’ai l’impression que la photo et moi, nous nous connaissons depuis toujours, et que n’avons pas eu besoin d’être présentées. C’est une compagne de vie. Mais tout bien réfléchi peut-être que la rencontre véritablement sérieuse avec la photographie s’est opérée d’abord par le cinéma. J’ai moins de 10 ans lorsque je vois «Johnny’s got his gun » de Dalton Trumbo, une révélation esthétique ! Je suis fascinée par les images en noir et blanc, la façon dont est éclairée la chambre d’hôpital du soldat Joe Bonham . Puis ce sera « M le Maudit » de Fritz Lang, la « Nuit du Chasseur » de Charles Laughton, Bunuel, Antonioni, les films noirs américains… A 18 ans mon père me vend son appareil photo. Le diaph est bloqué à pleine ouverture, je vais photographier à 2,8 pendant des mois, j’adore le résultat… Puis, étudiante et fauchée, je vais faire ma culture photo grâce aux galeries de la Fnac, aux PhotoPoche et à la carterie (un magasin en face de Beaubourg) où j’achète des cartes postales avec des images de Claude Batho, Bernard Plossu, Raymond Depardon… Dans quel contexte et comment avez-vous décidé d’entamer cette série ? Fin 2014 je suis virée brutalement de la revue pour laquelle je travaillais comme rédactrice en cheffe. La violence du licenciement me fait m’évanouir. Au retour de l’hôpital, en ouvrant la porte de mon domicile, je trouve un petit carton avec les seules affaires que je vais pouvoir récupérer de mes 23 ans passés à la rédaction. Cette vision me replonge dans le cauchemar vécu en juin 1978 où, à la descente du car scolaire, on m’annonce l’assassinat de ma mère. Je croyais avoir réglé cette histoire et voilà que le traumatisme resurgit. Je décide alors de revenir en Espagne, retrouver les personnes encore vivantes, mener une enquête en photographie et en textes pour exorciser les démons du passé. J’ai longtemps hésité à rendre mon histoire publique… En quoi pouvait-elle intéresser les autres ? Je craignais de paraître impudique et ne souhaitais pas inspirer la pitié. Mais j’ai senti que c’était nécessaire comme un élan vital, en priorité pour mon fils. Je suis la dernière dépositaire de cette histoire, et voulais lui laisser ce témoignage pour qu’il puisse avoir des réponses le jour où il se poserait des questions. Comment avez-vous décidé de traiter ce sujet? Mon projet, d’abord intitulé « El pueblo » a été pensé pour devenir un livre. Remporter le prix de la Fondation des Treilles en 2019 m’a permis d’avancer en numérisant les images des deux albums de famille et quelques documents en ma possession. J’ai eu aussi du temps pour écrire au calme. Pas assez hélas, car l’écriture demande une disponibilité totale à soi-même. Aussi, j’ai été prise de panique quand la Fondation des Treilles m’a proposé d’exposer le travail. Comment « mettre au mur » cette histoire ? Comment faire en sorte que les spectateurs comprennent ? Comment matérialiser les absents, les morts ? Il était évident qu’il fallait des légendes un peu longues pour accompagner les photos extraites des albums. Des textes factuels, sans pathos. L’idée m’est venue de raconter l’histoire en 14 cadres, comme les 14 stations du chemin de croix. J’ai vécu en Espagne pendant la fin du franquisme, où la religion était encore toute puissante. Ensuite, c’est en échangeant avec Flore, avec qui j’anime une masterclass, que nous avons fini par trouver la forme définitive. Pour résumer, l’exposition se compose de deux parties : 14 cadres 24×30 (photos et textes), plus des images que j’ai réalisées dans ce village espagnol où j’ai vécu de 6 à 12 ans. Le livre, à paraître au mieux fin 2022, réunira de nombreux textes, des documents, des images issues des albums plus mes photographies. En abordant le thème de la famille dans votre série, pensez-vous que la photographie joue un rôle de thérapie ? Dans mon cas, c’est évident. Ce n’est pas par hasard que je suis devenue photographe et que je travaille dans le milieu de la photographie en étant au service des photographes. La seule chose que je vais pouvoir conserver de mon enfance en Espagne, ce sont deux albums de famille… Et ce sera grâce aux images contenues dans ces albums que je réussirai à enquêter sur cette tragédie, retourner en Espagne pour y réaliser des photographies, retrouver les protagonistes de l’histoire, tenter de recoller les pièces du puzzle et essayer de comprendre ce qui s’est passé… Hormis la thématique, y a t-il un lien qui vous rassemble toutes les cinq ? Un lien fort puisque nous sommes toutes les cinq chez le même éditeur, Filigranes. C’est d’ailleurs Patrick Le Bescont qui a eu l’idée de cette exposition, j’en profite pour lui exprimer ma gratitude puisqu’il m’a permis de mieux connaître quatre photographes brillantes et très attachantes. INFORMATIONS PRATIQUES Hotel de Sauroy58 Rue Charlot 75003 Paris mer06avr(avr 6)15 h 00 mindim17(avr 17)20 h 00 minCinq histoires de famillecinq regards — cinq artistesHotel de Sauroy, 58 Rue Charlot 75003 Paris Détail de l'événementCette exposition rassemble cinq auteures éditées par Filigranes Éditions qui ont en commun de travailler chacune sur le thème de la famille. Cinq écritures singulières qui explorent ce sujet du Détail de l'événement Cette exposition rassemble cinq auteures éditées par Filigranes Éditions qui ont en commun de travailler chacune sur le thème de la famille. Cinq écritures singulières qui explorent ce sujet du plus intime au plus universel. Recherches dans les albums pour Catherine Poncin, recomposition d’une famille éclatée pour Rima Samman, récit intime chez Laure Vasconi, révélation d’un secret chez Alexandra Bellamy ou encore enquête sur son passé pour Sylvie Hugues. À l’aide d’archives, de textes ou d’interventions sur le papier photographique, ces cinq histoires recomposent un puzzle qui démontre la richesse de ce thème devenu un genre à part entière ces dernières années. Avec : Alexandra Bellamy Sylvie Hugues Catherine Poncin Rima Samman Laure Vasconi Bellamy / Bellamy Alexandra Bellamy Le projet éditorial Bellamy / Bellamy s’inscrit dans la lignée des contes, des mythologies, histoires dans lesquelles les secrets de famille sont omniprésents. Il est d’abord le travail photographique d’Alexandra Bellamy autour de son secret de famille, autour de Claude, Dieter et de Mother. Mais aussi de Carine et les autres. Un secret de famille qui entoure sa naissance en 1970 et qui lui est révélé par sa mère, 22 ans plus tard. Dans sa pratique de la photographie documentaire, Alexandra Bellamy cherche toujours l’envers du décor, le pas de côté. Elle éprouve les différentes strates des histoires passées et présentes, leur densité, leurs mythologie. Progressivement, elle prend conscience que son travail est très empreint de l’histoire de ce secret. Il y a la réalité telle qu’elle apparaît depuis l’enfance et derrière ces apparences, une autre réalité. Durant ce long parcours personnel, et photographique, elle rassemble les photographies des lieux de son enfance ou des lieux qui l’évoquent, des portraits, des photogrammes (issus de séquences vidéos) et des archives. Les archives sont diverses : lettres, Polaroïds issus d’albums de familles et dessins. Ici chaque photographie et documents collectés ont un sens et une valeur, directement reliés au secret. En 2017, à la suite de sa rencontre avec ses demi-frères et sœurs, elle ressent la nécessité de donner une forme à ce récit familiale qu’elle réécrit, pas après pas, depuis ses 22 ans. En 2019, avec la graphiste Marion Kueny, commence l’élaboration d’une édition. L’idée centrale est de créer un récit non linéaire qui soit un équivalent à son expérience du secret. La numérotation des pages devient des dates. La chronologie est bousculée. Les points de vue se succèdent comme dans une pièce de théâtre. Avec cette publication, le secret n’en est plus un. Comme l’écrit Marie Robert dans la postface du livre « Il est devenu histoire, imago, images. » El Pueblo Sylvie Hugues À 12 ans, la vie de Sylvie Hugues bascule. Elle habite alors à Cullera un village situé près de Valencia, en Espagne. Au retour d’une sortie scolaire, on lui apprend que sa mère vient d’être tuée par son deuxième mari, qui exerce le métier de policier. Elle doit alors quitter subitement l’Espagne, et le paradis de l’enfance, pour retrouver dans les cités de la banlieue parisienne un père qui ne sait pas l’aimer et une belle-mère agressive. À la douleur du deuil, s’ajoute celle de l’exil. De cette période de sa vie, il ne lui reste qu’un album de famille, quelques papiers jaunis et le jugement du tribunal. Son beau- père n’avait écopé que de deux années de prison. Crime passionnel, disait-on alors… Aujourd’hui on parlerait plutôt de féminicide. À 18 ans, elle coupe les ponts avec sa famille et se lance dans le cinéma, la photographie et l’écriture. Le souvenir de sa mère et de ce drame continue de la hanter, mais c’est en 2014, avec une nouvelle » « violence, sociale cette fois, que cette plaie s’ouvre de nouveau. Un licenciement brutal et injuste la replonge dans son passé. Elle décide alors de retourner en Espagne, afin de retrouver les traces de son enfance, revoir ses copines de classe, saluer les religieuses qui l’ont recueillie à la mort de sa mère. Elle prévoit aussi de revoir le fils du meurtrier qu’elle considérait, enfant, comme son grand frère. Sur place elle prend des notes, fait des photos et décide de bâtir un récit autobiographique où vont se mêler ses propres mots, ses propres images avec ses photos de famille et les rares documents administratifs retrouvés. Ainsi naît le projet « El Pueblo » qui sera réalisé en partie à la résidence des Treilles. Il va s’agir de construire une exposition, un livre de textes et de photographies, pour exorciser les démons du passé et proposer une œuvre « autonome » où l’intime devient universel. Par Monts et Vallons Catherine Poncin Catherine Poncin, photographe de l’image par l’image, s’est immergée dans les Archives départementales de l’Orne sur les fonds patrimoniaux tels que Lancre – Pasquis – Grignon, pour y découvrir des ensembles photographiques de grande qualité. Elle en a tiré des compositions qui font revivre des personnages d’une époque révolue. Leurs histoires familiales résonnent encore dans la mémoire des anciens à travers les personnages, les architectures, les paysages que l’artiste a mis en perspectives par des associations d’images en diptyque. Par ailleurs, l’artiste est entrée dans les fermes et autres demeures pour y rencontrer les habitants qui lui ont confié secrets et photographies de famille. Tout comme avec les images d’archives, elle a composé, parfois associée, fragments photographiques du fonds départemental IXe aux trouvailles découvertes dans les albums de famille datant du XXe siècle. Ce travail est un hommage vibrant à ces territoires cachés dans les intimités familiales. Il renvoie le visiteur à l’histoire locale que ce soit la sienne ou celle de son voisin et plus largement à l’histoire de nos campagnes. Le travail de Catherine Poncin laisse place à l’imaginaire de chacun, pour réactiver des morceaux d’une histoire qu’il ou elle aura projetée ou vécue. Le regard est porté par la beauté intemporelle des images anciennes dont la profondeur des noirs et des blancs est accentuée par le travail de réappropriation de l’artiste et des jeux d’irisations leur conférant une aura contemporaine. À l’inverse, l’aspect décolorisé des images à l’instamatic, des Polaroïds ou des diapositives 24 x 36 datant des années 60/70 en font une matière privilégiée pour réactiver des pans mémoriels. Avec elles, le temps qui a passé se mesure et transporte dans l’univers, pas si lointain, des parents et grands-parents. – Christine Ollier Proposition curatoriale de Christine Ollier avec la Pocket Galerie et le Parc National du Perche Carte blanche résidence – Art Culture & Co – 2021 L’amour se porte autour du cou Rima Samman J’ai longtemps oublié que j’avais une famille, à cause des circonstances de la vie qui ont produit éloignement et rupture des liens. Issue d’une famille libanaise, je suis la benjamine d’une fratrie de trois enfants, aujourd’hui tous installés à l’étranger. Mes frères vivent à San Francisco et à Dallas, moi à Paris. Mes parents, eux, sont restés au Liban. Depuis notre départ, la famille s’était réunie deux fois en trente-quatre ans : une fois à Détroit, l’autre à Dallas. Cherchant à comprendre cet étrange phénomène de nous voir si peu en une si longue période, j’ai sorti un jour mes vieilles photos de famille, afin d’y déceler des indices avant coureurs d’un fait d’autant plus inhabituel pour une famille libanaise, chez qui la notion d’appartenance clanique est fortement constitutive de notre identité intime et sociale. Or, en me plongeant dans mes vieux albums de famille, je n’y ai trouvé que la preuve éclatante et univoque qu’avant, on était vraiment ensemble. Qu’avant, on formait une « vraie » famille : harmonieuse, heureuse et unie. Cherchant à réparer ce que le temps et l’exil avaient à mes yeux défait et terni, je me suis auto missionnée d’assembler ma famille éclatée, en la réunissant une troisième fois au Liban. Or en en touchant un mot à mon frère cadet, celui-ci m’a dit sur un ton décomplexé : « Mais quelle famille ? Il n’y a pas de famille ! » Ces mots ont résonné en moi comme une poignée de cailloux jetée au fond de ma torpeur. Me suis-je donc naïvement fourvoyée toutes ces années, en me reprochant d’avoir abandonné et oublié une famille qui n’existait pas vraiment ? Mais alors, que signifient toutes ces photos de famille qui mettent en scène notre bonheur d’être ensemble ? Quelle valeur, quel crédit accorder à ces images argentiques, muées avec le temps en images mentales ? Né de ces questions liées aux constructions mentales de nos représentations identitaires, L’amour se porte autour du cou s’attache à rajouter de la représentation fictionnelle et fantasmagorique à la représentation collective du groupe familial. Cela pour conter avec une ambivalence joyeuse notre penchant à réinventer et à fantasmer nos identités et nos origines. L’imaginaire familial me passionne dans ce qu’il a d’excessif, de ridicule, de touchant, de drôle et de profondément humain. Dans ce qu’il a d’enfantin et de créatif. Et dans ce qu’il est parfois nécessaire pour intérioriser des événements qui nous auraient probablement sans cela détruits. Laure Vasconi L’Après Jour C’est un retour sur images, un état des lieux, un flux de notes, un éditing d’archives sans chronologie et de toute provenance. Un laboratoire qui croise les recherches, personnelles ou professionnelles, les commandes, les projets, réalisés ou non et qui fait écho à une pratique photographique du quotidien tel un carnet de route. De l’ordre de l’essai photographique, c’est une tentative libérée des codes de la série ou du sujet, c’est une quête ; de sens, de mémoire, d’un médium à redéfinir dans toutes ses formes de production et de diffusion. C’est une plongée dans un matériel d’archives qui se fabrique depuis plus de vingt ans, un instant où les choses se posent pour continuer, un corpus créé tel un geste libérateur, un livre pour garder une trace. Leonard At Home Début mars, je me suis retrouvée confinée avec mon fils Leonard, jeune trisomique âgé de 16 ans. J’ai été confrontée à certaines de ses questions face à cette nouvelle réalité abstraite, le coronavirus. Face au temps, devenu libre et élastique, vécu comme une expérience « cooooool » par Leonard dans un premier temps, il a fallu progressivement s’adapter. Leonard a alors mis en place un jeu en convoquant des personnages fictifs qui l’ont aidé à trouver des réponses à ses interrogations quotidiennes et en réaction à sa propre compréhension. Un rituel d’une photo par jour s’est ainsi instauré, tel un dialogue entre nous pendant tout ce temps suspendu à l’intérieur de la maison. Une situation extra-ordinaire qui requiert des réponses extra-ordinaires. Cette série fait écho à cette situation exceptionnelle, telle une expérience qui s’inscrit dans la continuité de mon travail, nourri de l’intime et du monde. Ces photographies ont été réalisées pendant le confinement de Mars à Mai 2020. Dates6 (Mercredi) 15 h 00 min - 17 (Dimanche) 20 h 00 min(GMT-11:00) LieuHotel de Sauroy58 Rue Charlot 75003 Paris Hotel de Sauroy58 Rue Charlot 75003 Parisdu lundi au samedi, de 11h à 19h nocturne les jeudis jusqu’à 21h entrée libre Get Directions CalendrierGoogleCal A LIRE : Cinq histoires de famille Entretien avec Alexandra Bellamy Cinq histoires de famille Entretien avec Rima Samman (à venir) Cinq histoires de famille Entretien avec Catherine Poncin (à venir) Favori0
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