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Partager Partager Les noms des deux lauréat·es de la première édition des Bourses Ronan Guillou ont été révélés ce week-end, il s’agit de la photographe greco-belge Aliki Christoforou et du français Charles Thiefaine pour leurs projets respectifs : « Spéculations Liquides » et « L’île au trésor ». Cette bourse créée en hommage au photographe Ronan Guillou disparu en octobre dernier, vise à explorer la relation de l’homme à la mer, afin de redonner un sens commun à nos cultures européennes et agir sur les grands enjeux face à l’Océan. Lancées par l’association Eyes Wide Open, les Bourses Ronan Guillou sont dotées de 4.000€, les photographes lauréat·es bénéficient également d’un hébergement à Sète pour réaliser leurs projets. À partir d’un même territoire, pour cette première édition la région Occitanie, les deux photographes réaliseront chacun un projet photographique engagé, dont les résultats seront partagés lors d’évènements à Sète (octobre 2023) et à Tanger (décembre 2023). Aliki Christoforou « Spéculations Liquides » © Aliki Christoforou « SEASCAPES » Spéculations Liquides cherche à élargir notre compréhension de ce que la mer recycle, de ce qu’elle métabolise, en liant la crise humanitaire qui se déroule actuellement en Méditerranée à un autre phénomène observable le long des côtes Méditerranéennes : la prolifération des méduses. Le rapport à la mer que ce projet explore porte en lui des fantômes de passages humains, des souvenirs d’assujettissements et de contrôle de ressources, depuis l’ère historique jusqu’à notre point de bascule actuel dans l’ère de l’Anthropocène : l’ère des proliférations. Née en 1992 à Bruxelles, Aliki Christoforou est une photographe plasticienne belgo-grecque qui vit et travaille entre la Belgique et la Grèce. Après avoir exercé en tant qu’architecte et scénographe, elle décide s’éloigner de son activité professionnelle pour se consacrer à sa pratique artistique. Elle intègre en 2020 le master de photographie et arts visuels de la Cambre, à Bruxelles. En 2021, elle remporte le Libraryman Award et édite son premier livre, «Anamnesis». Imprégné de ses deux cultures, son travail s’articule autour de problématiques écologiques et sociales et invite à une réflexion quant à notre temps présent. Charles Thiefaine « L’île au trésor » © Charles Thiefaine, « Les emeraudes » Une boxeuse du Gant d’or, un pêcheur de la criée, un jeune jouteur et sa famille : dans la série l’île au trésor, Charles Thiefaine ira à la rencontre des habitants de l’île de Thau pour tenter de dresser un portrait de ce quartier populaire du nord de Sète. Ce projet consistera à documenter un territoire cosmopolite et métissé bâtit sur l’eau. La série l’île au trésor re- dessinera les contours d’une société parfois stéréotypée en introduisant de l’imaginaire et en créant de nouveaux récits. Photographe et journaliste originaire de Roubaix, Charles Thiefaine vit entre la France et le Moyen-Orient où il mène des projets artistiques tels que Iraq – territory, Ala Allah, et plus récemment Marcher avec les dragons. Sa pratique se situe à la frontière entre le documentaire et la photographie de point de vu. Il découvre et agence des histoires qui lui semblent évocatrices et tente de proposer un document singulier autour de territoires marqués notamment par des périodes de conflit. Charles Thiefaine collabore avec la presse française (M le monde, Libération, Mouvement) et internationale (Washington Post, T le temps, Vice). Ses travaux font également l’objet d’expositions (Circulation(s), Rencontres du Xème, Copenhagen Photo festival) et d’un ouvrage sortie en 2021 (Tahrir). http://theeyeswideopen.eu Marque-page0
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