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Partager Partager Temps de lecture estimé : 4minsPour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invité de la semaine, le photographe, enseignant et co-fondateur de Poltred, Julien Malabry nous fait un petit tour d’horizon de la capitale des Gaules avec ses expositions et ses lieux consacrés au medium photographique. Si vous êtes du coin ou de passage et que vous souhaitez découvrir la scène photographique lyonnaise, armez vous du Carnet Photographie Lyon & Co agenda culturel édité par la galerie le Réverbère qui recense les lieux proposant de la photographie dans la métropole. Après mon billet d’humeur sur l’avenir de la culture, je tenais à finir cette carte blanche sur une note plus joyeuse et vous parler de la photographie à Lyon. Lyon, capitale des Gaules, ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO est connue pour sa gastronomie, son architecture, ses deux fleuves… Riche de plus de 2000 ans d’histoire, la ville de Lyon s’est façonnée au gré des époques. Lyon est aussi la ville des frères Lumière où Auguste et Louis, natifs de Besançon, ont fait avancer la technologie de la photographie et du cinéma, faisant de Lyon une des places mondiales du 8e art. Alter © Aurélien Aumond Et pour preuve, ce mois-ci, le Carnet Photographie Lyon & Co agenda culturel édité par la légendaire galerie le Réverbère, recense pas moins de 20 lieux proposant de la photographie dans la métropole. Une programmation riche répartie entre lieux privés et publics, certains habitués à la monstration de l’image à plat comme les galeries Vrais Rêves, le Bleu du Ciel, l’Abat-jour, POLTRED ; d’autres s’essayant de façon plus ponctuel à l’exercice. Les auteurs ne sont pas en reste, la communauté de photographes professionnels et amateurs lyonnaise est riche avec, en tête de file, de nombreuses associations et collectifs ( ITEM, Photographies Rencontres, Imag’In, Studio Lux… ) et sans oublier les réseaux sociaux où les groupes de passionnés sont nombreux et notamment Life is scene, fort de 195k followers sur Instagram créé par le lyonnais Fabrice Cilpa. Un media papier a même vu le jour l’année dernière. De l’argot lyonnais qui signifie regarder, Chabe! est une revue portée par un collectif de photographes et accompagnée par le media indépendant l’Arrière-cour dont le leitmotiv est Lyon par ses photographes. Le numéro 2 sortira à la rentrée de septembre suite à une campagne de financement participatif menée tambour battant par ces mêmes photographes qui ont à cœur de faire rayonner la création lyonnaise. N’oublions pas les écoles et les laboratoires où là aussi nous ne sommes pas en reste. Et comment ne pas citer la jeune garde d’auteurs avec AAAR, duo d’artistes plasticiens mêlant photographie vidéo et peinture, Charlotte Pilat est son univers dystopique ultra coloré, Sarah Witt notre reporter surfeuse globe trotteuse, Camille Brasselet une des finalistes du prix HSBC 2023 et les ambassadeurs lyonnais déjà bien ancrés dans le paysage comme Céline Villegas, Zachary Godrillot-Roy, Melania Avanzato, Fred Mortagne, Tony Noel, Cédric Rouillat, Karim Kal et le regretté Adrien Blanc alias Canardo, street photographe talentueux, parti trop tôt. Lyon est une place forte de la photographie en France, les initiatives y sont nombreuses, il ne reste plus qu’à créer une biennale de la photographie pour mettre un peu de folie dans ce maillage culturel et pourquoi pas un musée dédié ; la ville de Lyon ne manque pas de bâtiments pour accueillir ce type d’évènement. On pourrait se surprendre à rêver. https://www.facebook.com/PhotographiesLyonCo/ https://www.poltred.fr ACTUELLEMENT À LA GALERIE Poltred, La Maison des Photographes54 Cours de la Liberté 69003 Lyon jeu01jui10 h 00 mindim03sep(sep 3)20 h 00 minAmandine GilouxQueer naturePoltred, La Maison des Photographes, 54 Cours de la Liberté 69003 Lyon Détail de l'événement“Gender is a construct true love isn’t” “QUEER NATURE” représente la complexité des êtres et raconte les endroits sensibles de chacun.e.s. Nous sommes des êtres soumis à des polarités ; ce Détail de l'événement “Gender is a construct true love isn’t” “QUEER NATURE” représente la complexité des êtres et raconte les endroits sensibles de chacun.e.s. Nous sommes des êtres soumis à des polarités ; ce sont nos imperfections et nos contradictions qui pétrissent notre beauté, notre charisme et notre humanité. Cette série photographique manifeste un désir profond d’aller vers l’abolition de toutes sortes de hiérarchies entre les sexes, et, par extension, de toutes formes de discrimination liées au sexe et à la définition de son identité. Ces images sont des icônes, biberronées par une décoction de pop culture, flashs millénials, échauffourée anti-patriarcale et déconstruction de genre, travaillées avec humour et ironie, dont le but est de faire réfléchir à l’influence du genre sur l’expression de soi. Cet engagement dans la parole queer n’est pas un effet de mode, c’est le résultat d’une émotion, le résultat de constats qui nous touchent. Il ne s’agit plus d’offrir des récits fixes, figés et rigides. Nous voulons poser des questions… des questions qui resteront ouvertes, qui accueilleront une multitude de réponses, des questions qui autoriseront les paradoxes… Amandine Giloux a un parcours atypique et résolument artistique. Ses études en design et arts appliqués ainsi que ses nombreux voyages ont grandement façonné son identité créative. Amandine Giloux est une artiste engagée. Ses choix et collaborations reflètent sa guideline, ses convictions et idéaux. Sa rencontre avec Poltred, comme une évidence, est à l’image de son fonctionnement. Une rencontre simple, spontanée, avant tout humaine, et surtout un coup de cœur mutuel. Amandine crée avec la classe des dilettantes, sans compromis. Elle s’adonne à ses envies et passions en surfant, hors des conventions, sur des sujets qui la portent, sans se laisser enfermer dans des cases. Elle aime déstructurer et s’amuser avec les codes du genre et de l’identité, chahuter les esprits et les idées préconçues à travers des images chromatiques et contrastées. Elle veille toujours à prôner la suggestion plutôt que la dénonciation, souvent grâce à une food porn (pornographie culinaire) travaillée et stylisée. Les aliments sont utilisés comme supports artistiques, comme symboles narratifs. Amandine se définit, avant tout, comme une designer d’expériences visuelles. Dans chaque projet qu’elle initie ou auquel elle prend part, elle questionne une narration visuelle autour d’un triple langage : à la fois poétique pour nourrir les émotions, esthétiquement attirante pour stimuler nos sens et symbolique ou métaphorique pour parler à notre intellect ; émouvoir visuellement et gustativement. Le travail chromatique et symbolique d’Amandine met chaque sens en éveil. Puisqu’ils sont les portes qui relient le corps à l’esprit, les sens nous délivrent des messages qui nous permettent alors d’interpréter le monde. Dès lors qu’une nouvelle histoire visuelle s’écrit, elle vient façonner notre culture, notre singularité et notre personnalité. Amandine veut offrir de nouveaux récits, qu’ils soient intimes ou politiques. De plus, l’alimentation (gimmick photographique) est aussi le terrain d’expression privilégié de nos singularités. DatesJuin 1 (Jeudi) 21 h 00 min - Septembre 3 (Dimanche) 7 h 00 min(GMT-11:00) LieuPoltred, La Maison des Photographes54 Cours de la Liberté 69003 Lyon Get Directions CalendrierGoogleCal Favori0
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