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Le Gif(t) d’Yves Montand
  • L'Ephéméride
by La Rédaction on 9 novembre 2017
596 Views |  Like

Le Gif(t) d’Yves Montand

Temps de lecture : 3 secondes

L’acteur franco-italien Yves Montand, meurt le 9 novembre 1991 à l’âge de 70 ans.

http://www.yves-montand-site-officiel.com

La Rédaction

9 Lives magazine vous accompagne au quotidien dans le monde de la photographie et de l'Image.

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L’Ephéméride

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L’Agenda

Mois en cours
Museum of the Revolution Fondation Henri Cartier Bresson 79, rue des Archives 75003 Paris

mar26fev(fev 26)0 h 00 mindim02jui(jui 2)0 h 00 minMuseum of the RevolutionGuy TillimFondation Henri Cartier Bresson, 79, rue des Archives 75003 ParisType d'événement:Exposition,Photographie

Détail de l'événement

Lauréat du Prix HCB 2017, attribué grâce au soutien de la Fondation d’entreprise Hermès, le sud-africain Guy Tillim (né en 1962) s’est attaché, avec

Détail de l'événement

Lauréat du Prix HCB 2017, attribué grâce au soutien de la Fondation d’entreprise Hermès, le sud-africain Guy Tillim (né en 1962) s’est attaché, avec cette nouvelle série Museum of the Revolution, à observer les effets de la décolonisation dans les grandes capitales africaines.

De longues déambulations l’ont conduit ces dernières années de Johannesbourg à Durban, Maputo, Beira, Harare, Nairobi, Kampala, Addis-Abeba, Luanda, Libreville, Accra, Abidjan, Dakar et Dar es Salaam. Les avenues, nommées et renommées, agissent en témoins silencieux des flux et reflux des changements politiques, économiques et sociaux. Elles sont devenues «le musée» des deux révolutions majeures qui ont vu le jour dans ces pays lors des dernières décennies : des régimes coloniaux aux régimes postcoloniaux, avec des emprunts aux pratiques socialistes, puis du nationalisme africain aux États capitalistes.

Guy Tillim a reçu de nombreux prix, parmi lesquels le Higashikawa Overseas Photographer Award en 2003, le Daimler-Chrysler Award for South African Photography en 2004, le prix Leica Oskar Barnack 2005. Il a été le lauréat des résidences photographiques du musée du quai Branly en 2015. Le travail de Guy Tillim a fait l’objet de plusieurs expositions personnelles comme celles au Centre photographique d’Ile-de-France, à la Fondation Serralves à Porto ou au musée Peabody à Harvard. Les œuvres de l’artiste ont également été présentées lors d’expositions collectives, notamment Africa Remix, l’art contemporain d’un continent, au Centre Pompidou en 2005, à la Biennale de São Paulo en 2006 et à la documenta 12 à Kassel en 2007. L’exposition à la Fondation HCB est accompagnée d’un ouvrage publié aux Éditions Mack.

Photo : Azikiwe St, Dar es Salaam, Tanzanie, 2017 © Guy Tillim, Courtesy of Stevenson, Cape Town and Johannesburg

Dates

Février 26 (Mardi) 0 h 00 min - Juin 2 (Dimanche) 0 h 00 min

Lieu

Fondation Henri Cartier Bresson

79, rue des Archives 75003 Paris

Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 ParisLa Fondation est ouverte du mardi au dimanche de 11h à 19h. Plein tarif 10 € / Tarif réduit 5 € (sur justificatif)

CalendrierGoogleCal

L’internement des Nomades, une histoire française (1940 - 1946) Mémorial de la Shoah 17 rue Geoffroy–l’Asnier, 75004 Paris

mer14nov(nov 14)10 h 00 min2019dim17mar(mar 17)18 h 00 minL’internement des Nomades, une histoire française (1940 - 1946)Mémorial de la Shoah, 17 rue Geoffroy–l’Asnier, 75004 ParisType d'événement:Exposition,Photographie

Détail de l'événement

D’octobre 1940 à mai 1946, plus de 6 500 personnes, en majorité française dont un grand nombre d’enfants, ont été internées dans plus d’une trentaine de camps pour nomades situés

Détail de l'événement

D’octobre 1940 à mai 1946, plus de 6 500 personnes, en majorité française dont un grand nombre d’enfants, ont été internées dans plus d’une trentaine de camps pour nomades situés sur l’ensemble du territoire métropolitain. En octobre 2016, le président François Hollande, dans un discours sur le site du camp de Montreuil-Bellay, admet la responsabilité de la République dans ces moments sombres de son histoire.

« On a souvent établi des parallèles entre la communauté juive et les communautés Sinti et Roma. Ne serait-ce que par le destin de stigmatisation, de mise au ban de la société, depuis des millénaires, jusqu’à l’idéologie nazie distinguant la race aryenne de toutes les autres races dites « inférieures » dont faisaient partie les Juifs et les Tsiganes. »
Simone Veil, discours prononcé à l’occasion de la remise du prix européen des droits civiques Sinti et Roma*, Berlin, Allemagne, 2010

Avec cette exposition-événement, le Mémorial de la Shoah propose pour la première fois un éclairage complet sur la politique menée par la France entre 1939 et 1946 envers ceux que la loi française désignait sous le terme de Nomades. Si elle fut différente de la politique allemande menée dans le reste de l’Europe envers les « Zigeuner » (Tsiganes), cette politique constitue un épisode parmi les plus dramatiques de la Seconde Guerre mondiale sur notre territoire, une page terrible dont la mémoire fut longtemps occultée.

Au-delà de l’Occupation et de la présence allemande, la persécution des nomades est une histoire française qui s’amorce au tournant du 20e siècle. Dès 1895, l’Etat opère un recensement général et un fichage de tous les « nomades, bohémiens et vagabonds ». À partir de 1912, les autorités françaises identifient les familles nomades et surveillent leurs déplacements avec la mise en place du carnet anthropométrique, du carnet collectif et du carnet forain.

Assignés à résidence, enfermés dans des camps, les nomades, hommes, femmes et enfants sont spoliés, internés dans des conditions indignes, empêchés de travailler librement, sous-alimentés et contraints aux travaux forcés. Nombre d’entre eux décèdent dans ces camps. A partir de 1943, certains internés sont déportés vers l’Allemagne dans le cadre du travail forcé. D’autres, libérés des camps français, sont raflés dans le nord de la France et déportés vers Auschwitz en 1944. L’internement des nomades se poursuit après la fin de la guerre et le dernier camp français ferme en mai 1946.

Cette histoire tragique est évoquée dans l’exposition par le biais de témoignages et photographies inédits, de documents d’archives personnels ou administratifs, qui attestent de la souffrance morale et du dénuement matériel des internés. Demandes de libération, pétitions collectives, tentatives d’évasions, actes de rébellion sont autant de manifestations de résistances et de solidarités déployées par les familles internées dans les camps.

Après les expositions Le premier génocide du XXe siècle – Herero et Nama dans le sud-ouest africain allemand (1904-1908), Le génocide des Arméniens de l’Empire ottoman : stigmatiser, détruire, exclure et Rwanda 1994 : le génocide des Tutsi, le Mémorial de la Shoah perpétue avec L’internement des nomades, une histoire française (1940-1946) sa mission primordiale pour l’étude et la mémoire de tous les génocides.

*Les Sinti désignent à l’heure actuelle les membres de la minorité vivant en Europe occidentale et centrale et les Roms ceux d’origine orientale et sud-européenne. Roma est utilisé comme un nom pour la minorité complète en dehors des régions germanophones.

Dates

Novembre 14 (Mercredi) 10 h 00 min - Mars 17 (Dimanche) 18 h 00 min

Lieu

Mémorial de la Shoah

17 rue Geoffroy–l’Asnier, 75004 Paris

Mémorial de la Shoah17 rue Geoffroy–l’Asnier, 75004 ParisDe 10h à 18h tous les jours, sauf le samedi. Nocturne jusqu’à 22h le jeudi. Fermetures annuelles : le 1er janvier, le 1er mai, le 14 juillet, le 15 août, le 25 décembre. Fermetures certains jours de fêtes juives

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Julie Béna Jeu de Paume 1, place de la Concorde 75008 Paris

mar12fev(fev 12)11 h 00 mindim02jui(jui 2)21 h 00 minJulie BénaSatellite 12 - Le Nouveau SanctuaireJeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 ParisType d'événement:Exposition,Photographie

Détail de l'événement

Julie Béna travaille sur des environnements s’inspirant des univers de la littérature, du cinéma, du théâtre et de la culture populaire. Procédant par le biais d’incongruités, de changements et de

Détail de l'événement

Julie Béna travaille sur des environnements s’inspirant des univers de la littérature, du cinéma, du théâtre et de la culture populaire. Procédant par le biais d’incongruités, de changements et de déplacements, Béna détourne les images et les objets du quotidien. Ces derniers deviennent progressivement sujets à une variété de fictions poétiques et étranges. À travers l’installation, la photographie, la vidéo et la performance, l’artiste étudie des moments de transition, comme le passage qui sépare la nuit du coucher de soleil.

Julie Béna (1982, France) vit et travaille entre Paris et Prague. Elle est diplômée de la Villa Arson de Nice et de la Gerrit Rietveld Academie d’Amsterdam. Elle a récemment été nominée pour le prix AWARE destiné aux artistes femmes. Son travail a été exposé au Centre d’art Passerelle, à Brest ; à la galerie Joseph Tang, Paris ; au FUSED Space, San Francisco ; au Mathew, New York, et à BOZAR, Bruxelles. Elle a récemment pris part à des performances institutionnelles à la Fondation Ricard, Paris ; au M, Louvain ; à l’ICA, Londres, et au Palais de Tokyo, Paris. En 2018, Béna est invitée à la prochaine Biennale de Rennes. Cette même année, elle présente des performances à l’Independent, à Bruxelles ; au Centre Pompidou, à Paris, et au MRAC de Sérignan. Elle est représentée par la galerie parisienne Joseph Tang.

Un catalogue est publié à l’occasion de l’exposition. Coédition Jeu de Paume et Musée Amparo de Puebla, Mexique. Bilingue français-anglais, 15 x 21 cm, 64 pages, 14 €. Également disponible au format e-pub au prix de 6,99 €

Dates

Février 12 (Mardi) 11 h 00 min - Juin 2 (Dimanche) 21 h 00 min

Lieu

Jeu de Paume

1, place de la Concorde 75008 Paris

Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h.

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La Chambre interdite Galerie 127 127 avenue Mohamed V 04000 Marrakech

jeu21fev15 h 00 minjeu21mar19 h 00 minLa Chambre interditeCarolle BénitahGalerie 127, 127 avenue Mohamed V 04000 MarrakechType d'événement:Exposition,Photographie

Détail de l'événement

La chambre interdite, une installation, photographies et objets d'arts. Dans l'univers de Carolle Bénitah, l'écriture et l'image sont indissociables. L'image pour dire, les mots pour montrer. Elle pratique l'introspection, sans détours, comme

Détail de l'événement

La chambre interdite, une installation, photographies et objets d’arts.
Dans l’univers de Carolle Bénitah, l’écriture et l’image sont indissociables. L’image pour dire, les mots pour montrer.
Elle pratique l’introspection, sans détours, comme ses contemporaines écrivains que sont Annie Ernaux ou encore Elena Ferrante.

L’artiste marocame coud, et en découd avec ses questionnements et sa quête du bonheur. Elle utilise le fil de soie, ou de soi. Tantôt le fil rouge des émotions violentes, tantôt le fil noir des angoisses ou encore le fil or pour la fidélité. Ils symbolisent, dans le corpus, le lien familial ou amoureux.

A Marrakech, dans cette « chambre interdite », il sera question de rêves et cauchemars, plaisirs et désirs, tabous, interdits et paroles libérées, conjugués au féminin voir au féminisme.

C’est en parallèle de la 1:54 African art fair qui se tiendra dans la ville ocre, que Carolle Bénitah et moi-même vous attendons dans« La chambre interdite», du jeudi 21 février au 25 février de 15h à 19h, et lors de La nuit des galeries le samedi 23 février jusqu’à 22 heures.
L’exposition durera jusqu’au 21 Mars 2019.

Dates

Février 21 (Jeudi) 15 h 00 min - Mars 21 (Jeudi) 19 h 00 min

Lieu

Galerie 127

127 avenue Mohamed V 04000 Marrakech

Galerie 127127 avenue Mohamed V 04000 MarrakechDu mardi au samedi de 15H à 19H. Fermé le lundi

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Cartes et territoires Jeu de Paume 1, place de la Concorde 75008 Paris

mar12fev(fev 12)11 h 00 mindim02jui(jui 2)21 h 00 minCartes et territoiresLuigi GhirriJeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 ParisType d'événement:Exposition,Photographie

Détail de l'événement

Cette première rétrospective des photographies de Luigi Ghirri (1943-1992) hors de son Italie natale est centrée sur les années 1970. Elle retrace une décennie au cours de laquelle Ghirri a

Détail de l'événement

Cette première rétrospective des photographies de Luigi Ghirri (1943-1992) hors de son Italie natale est centrée sur les années 1970. Elle retrace une décennie au cours de laquelle Ghirri a bâti un corpus d’images en couleur sans équivalent dans l’Europe de l’époque.

Géomètre de formation, Luigi Ghirri commence à photographier durant le week-end au début des années 1970, arpentant les rues, places et faubourgs de Modène, échafaudant des projets et des thématiques. Il pose sur les signes du monde extérieur un regard attentionné et affectueux en observant, sans les commenter ouvertement, les modifications apportées par l’homme au paysage et à l’habitat de sa province d’origine, l’Émilie-Romagne, baromètre d’un vernaculaire local exposé à l’avènement de nouvelles formes d’habitat, de loisirs et de publicité.

« Je m’intéresse à l’architecture éphémère, à l’univers de la province, aux objets considérés comme de mauvais goût, kitsch, mais qui, pour moi, ne l’ont jamais été, aux objets chargés de désirs, de rêves, de souvenirs collectifs […] fenêtres, miroirs, étoiles, palmiers, atlas, globes, livres, musées et êtres humains vus par l’image. »

À la fin de cette décennie, Luigi Ghirri a accumulé des milliers de vues et élaboré un style singulier et un cadre conceptuel complexe pour présenter son travail. Cette première décennie culmine avec deux temps forts : la publication, en 1978, de Kodachrome, un ouvrage photographique véritablement exceptionnel, et une exposition majeure, « Vera Fotografia », qui se tiendra en 1979 au centre d’exposition de l’Université de Parme, organisée par Arturo Carlo Quintavalle et Massimo Mussini, et qui, à travers quatorze projets et thèmes, retrace le mode de pensée et d’action propre à Luigi Ghirri.

« Cartes et territoires » reprend la cartographie poétique de l’exposition de 1979 où l’on trouvait à la fois des projets très cadrés comme Atlante (1973), constitué de photographies de pages d’atlas, et Colazione sull’erba (1972-1974), où l’artiste observe l’interface entre artifice et nature dans les petits jardins de Modène, et des groupes plus diversifiés comme Diaframma 11, 1/125, luce naturale (1970-1979), qui portent sur la façon dont les gens photographient et sont photographiés, ou le paysage des signes de l’Italie provinciale dans Italia ailati et Vedute (1970-1979).

Luigi Ghirri éprouve une fascination indéfectible pour les représentations du monde, pour les reproductions, images, affiches, maquettes et cartes et pour la façon dont ces représentations s’insèrent dans le monde, en tant que signes au sein de la ville ou du paysage.

La médiation de l’expérience par l’image dans une Italie partagée entre ancien et nouveau a constitué, pour Luigi Ghirri, une source inépuisable d’étude, «une grande aventure dans le monde de la pensée et du regard, un grand jouet magique qui réussit à faire coïncider miraculeusement notre connaissance adulte et le fabuleux monde de l’enfance, un voyage continu dans le grand et le petit, dans les variations à travers le règne des illusions et des apparences, des labyrinthes et des miroirs, de la multitude et de la simulation. »

Dates

Février 12 (Mardi) 11 h 00 min - Juin 2 (Dimanche) 21 h 00 min

Lieu

Jeu de Paume

1, place de la Concorde 75008 Paris

Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h.

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