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Partager Partager L'Invité·ePhoto Carte blanche à Francine Deroudille : Laurence Fontaine, profession architecte scénographe La Rédaction6 mars 2020 Temps de lecture estimé : 2minsPour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invitée de la semaine, Francine Deroudille fille de Robert Doisneau et cofondatrice de l’Atelier éponyme, a tenu à mettre en avant un métier de l’ombre, celui d’architecte scénographe ! Et pour cela, elle nous présente Laurence Fontaine. En 2005 la Mairie de Paris organisa un concours pour le projet de scénographie de l’exposition « Doisneau – Paris en liberté » que nous allions créer dans la Salle Saint Jean de l’Hôtel de ville. Concours de grande tenue dont un dossier survolait tous les autres. La lauréate s’appelait donc Laurence Fontaine, était architecte scénographe au Centre Pompidou et allait devenir notre complice indispensable. On nous propose parfois de présenter des expositions dans des lieux aussi splendides qu’impossibles. Refus immédiat : il ne faut pas risquer le ridicule en faisant cohabiter photographie et lieux d’exception. Sauf … si nous menons ce projet avec Laurence Fontaine ajoute-t-on… Car avec Laurence tout redevient possible. Et si passionnante à inventer, cette mise en place, en volume, en lumière, des photographies dans des lieux qui ne sont pas faits pour les accueillir. Ensemble nous avons exposé dans un château fort (Malbrouck) dans des grands magasin (Tokyo et Kyoto) dans un ancien hôpital Royal à Versailles (Espace Richaud), dans un gouffre tout récemment (Padirac). Parfois le tirage devient immense, parfois le vintage 18×24 se regarde sur une console, parfois la photo est débitée en tranches pour mieux réapparaitre un peu plus loin, parfois elle donne à voir son reflet… Bien sûr Laurence Fontaine exerce son talent pour d’autres artistes, d’autres lieux. Et j’applaudis avec la même vigueur le superbe dispositif inventé pour « la Subversion des images » la si belle exposition de Quentin Bajac et Clément Chéroux sur la photographie surréaliste en 2009 à Beaubourg, « Devant Verdun » de Jacques Grison dans une pénombre sombre et intense à la Chapelle Saint Nicolas de Verdun en 2016, « Jardins » au Grand Palais en 2017… C’est à chaque fois l’occasion de redécouvrir des espaces, de lire les œuvres dans un rythme, une circulation juste. De redécouvrir que la photographie n’est jamais plus belle que lorsqu’elle est mise en scène, présentée comme un vrai spectacle, accompagnée par une mise en espace réfléchie. Chaque fois, on attend avec impatience la prochaine aventure à vivre ensemble. C’est le cas en ce moment, une toute prochaine exposition est en préparation et … vous allez voir … Marque-page2
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