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L'EditionPhoto Sortie du 9ème numéro de FemmesPHOTOgraphes Ericka Weidmann3 décembre 2020 Partager Partager Temps de lecture estimé : 5minsElles sont quatre. Quatre femmes artistes visuelles à avoir décidé de créer leur propre magazine pour combattre le manque de visibilité des femmes photographes dans la presse et l’édition. Quatre années se sont écoulées entre le début de ce projet audacieux et la sortie du 9ème numéro dont le thème est “Vu.e.s d’ensemble”. Leur défi était d’éditer 18 numéros. Un numéro par lettre qui compose le nom de leur association : FemmesPHOTOgraphes. À mi-parcours, Kim Lan Nguyên Thi, Isabelle Gressier, Maud Veith et Noémi Aubry ont prouvé qu’il était possible de consacrer une revue aux travaux des femmes photographes, de toutes nationalités et horizons confondus. Quand tout n’aura pas disparu © Dune Varela En 2017, Kim Lan Nguyên Thi, Isabelle Gressier, Maud Veith et Noémi Aubry, photographes et artistes visuelles décident d’agir contre l’invisibilisation des femmes artistes dans le secteur de l’édition et de la presse. Si personne ne souhaite leur donner la place qu’elles méritent, elles décident que cela passera par elles ; ainsi FemmesPHOTOgraphes, revue indépendante et féministe voit le jour. Monter un projet militant d’édition photographique dans cette période de crise est périlleux, mais le public répond rapidement présent à cette initiative, et grâce aux ventes et à quelques subventions de la SAIF et d’Un monde par tous notamment, elles parviennent à un fragile équilibre afin d’imprimer et diffuser la revue, et de reverser symboliquement des droits d’auteur aux photographes publiées. Un effort important dans cette économie. La pandémie est venue ébranler le monde, fragilisant de nombreux secteurs. Le milieu culturel en premier. Les librairies, jugées commerces non essentiels, ont dû fermer leurs portes au public. Ainsi, cette neuvième édition paraît, malgré une situation encore plus difficile qu’à l’accoutumée. Les mers intérieurs © Aglaé Bory Depuis quatre ans, ce sont 75 femmes photographes, venues de 25 pays qui ont été publiées par la revue. Cette neuvième édition en présente neuf inédites. Ce nouveau numéro aborde des vu.e.s d’ensemble singulières qui témoignent des contraintes auxquelles les espaces et les corps sont confrontés collectivement. Tour à tour, nous voyons ressurgir les instincts de survie et les besoins d’appartenance ainsi que notre nécessité à découvrir de nouveaux horizons. Saint-Ouen, France le 4 août 2017 – Retour à Bauer. Privé de leur stade pendant deux années suite à la montée du club en ligue 2 en 2015, le Red Star revient jouer au stade Bauer, berceau du club. Les tribunes du stade débordent, les supporters de la tribune Rino Della Negra chantent leur hymne : « C’est la fierté de nos couleurs, qui nous a donné la ferveur, à Bauer comme à l’extérieur… ! ». © Jeanne Frank / Planète Z Au sommaire du numéro : Silent Slogan, Marianne Mispelaëre “Silent Slogan répertorie des gestes utilisés collectivement et publiquement par des individus pour transmettre leurs message ou point de vue. […]. Ils prennent le relais des mots lorsque le dialogue est rompu. » Black Lives Matter, Patience Zalanga Remontée dans le temps jusqu’au meurtre de George Floyd à Minneapolis. Témoignage d’une photographe vivant dans cette ville. “A quoi ça ressemble de photographier une révolte ou un mouvement à une époque de surveillance de masse ? Comment la police a-t-elle utilisé les réseaux sociaux des manifestants pour les identifier? A quoi ça ressemble de photographier l’histoire et de rendre compte de ses moments les plus authentiques ? » Looking North, Jessica Auer Comment l’industrie du tourisme en Islande a-t-elle imposé des parcours et points de vue ? De quelle manière exploitons-nous des lieux et les transformons-nous en produits. Planète Z, Jeanne Frank Une cité HLM surplombant un stade de foot, quatrième tribune rythmant la vie de tous ses habitants. Mitigating Trust-Covid, Nicky Woo Au Viêt Nam, suite à une première vague du coronavirus maitrisée, les rassemblements à la mer se multiplient bravant les interdits du tout hygiéniste. Entre cluster et besoin d’être ensemble, les distances sont floues. Mitigating Trust Covid © © Nicky Woo Quand tout n’aura pas disparu, Dune Varela Quand tout n’aura pas disparu » constitue une forme d’archéologie fictive de ce qui aurait perduré dans et à travers la destruction. […] Les grands ensembles signalent l’échec d’une modernité urbaniste dysfonctionnelle, que l’on tente aujourd’hui de faire disparaître. Communauté, Léonora Miano « Tout le monde en parle, de la communauté, de ta communauté, et si tout le monde en parle tellement depuis un certain temps, c’est surtout pour dire que ce ne serait pas bien qu’elle existe, ta communauté […] » Shipibo-Konibo, Florence Goupil Dans la tradition des soins ancestraux, un peuple d’Amazonie délaissé par le gouvernement péruvien fait face à l’épidémie de Coronavirus. Les mers intérieures, Aglaé Bory Ces portraits face à la mer font état d’un processus de passage, où les corps quittent l’activité de la vie diurne et s’immobilisent. L’horizon comme appartenant à chacun.e. Graphite, Emmanuelle Blanc Existe-t-il encore en France beaucoup de paysages naturels, sauvages, sans traces humaines ? INFORMATIONS PRATIQUES FemmesPHOTOgraphes #9 15€ Achat possible en ligne ou en librairie Abonnement : – 1 an > 25 euros – 2 ans > 50 euros – Tous les numéros à venir > 115 euros http://www.femmesphotographes.eu A LIRE : Rencontre avec les fondatrices de Femmes PHOTOgraphes Marque-page4
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