Découvrez les lauréats du programme Frutescens 2025

Le programme Frutescens, initié en 2022 par le Centre photographique Rouen Normandie visa à soutenir la jeune création photographique française. Pour cette édition 2025, ce sont quatre nouveaux lauréats qui ont été choisis pour bénéficier d’un accompagnement professionnel de la part de l’équipe de l’institition normande avant de rejoindre FUTURES, un réseau européen qui met en commun les ressources et les programmes dédiés à la jeune photographie des institutions culturelles de toute l’Europe afin de soutenir la création contemporaine. Découvrez les nouveaux lauréats : Sixtine de Thé, Maxime Guedaly, Constantin Schlachter et Elliott Verdier.

SIXTINE DE THÉ

© Sixtine de Thé

Dans son projet le plus récent, Sixtine de Thé plonge dans l’obscurité du laboratoire avec des personnes qui ont perdu la vue et ré-envisage avec elles ce qu’est voir et faire image.
Établie à Paris, Sixtine de Thé (1991) est diplômée en 2021 des Beaux-Arts de Paris. Elle a préalablement étudié l’histoire de l’art à l’École Normale Supérieure et à l’École du Louvre.

MAXIME GUEDALY

© Maxime Guedaly

Maxime Guedaly met le corps en mouvement — le sien et celui d’autres, danseurs et marcheurs — au cœur de son expérience des environnements urbains et ruraux comme préalable à une expérience renouvelée de l’être au monde.
Ingénieur de formation, Maxime Guedaly (1987) est photographe autodidacte et s’est formé au projet d’auteur à l’École nationale supérieure de photographie d’Arles en 2018.

CONSTANTIN SCHLACHTER

Polyphonies des invisibles © Constantin Schlachter

Au centre des récentes expérimentations de Constantin Schlachter se trouvent d’étranges formes de vie. Le photographe observe les infra-mondes et invente de nouveaux outils pour les faire surgir à la surface du papier.
Diplômé des Gobelins en 2014, Constantin Schlachter (1992) vit et travaille à Paris.

ELLIOTT VERDIER

© Elliott Verdier

Coutumier du voyage, Elliott Verdier s’est assigné pour son dernier projet une destination incarnant les confins. Le photographe s’en va au grand froid, prenant le chemin du lointain Détroit de Béring et d’une île délaissée pour documenter autant un territoire blessé, que dessiner son propre désir de décentrement.
Elliott Verdier (1992) est diplômé des Écoles de Condé en 2015. Il est basé à Paris.

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