Carte blanche à Pauline Caplet : Collaborations, réseaux, et cartographie de la photographie à Bruxelles 8 minutes ago
Biennale de la Photographie de Mulhouse : Pablo Castilla, lauréat de l’appel à candidature Sédimentation(s) 1 jour ago
Rencontre Claire Bernardi, directrice musée de l’Orangerie : « Dans le flou, un impensé des Nymphéas de Monet et de l’histoire de la représentation » 2 jours ago
Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle 19 mai 2025
Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! » 16 mai 2025
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 13 mai 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 7 mai 2025
Rencontre Claire Bernardi, directrice musée de l’Orangerie : « Dans le flou, un impensé des Nymphéas de Monet et de l’histoire de la représentation » 2 jours ago
POUSH, interview Yvannoé Kruger, directeur : D’un espace refuge à un écosystème devenu prescripteur ! 3 jours ago
Partager Partager EvénementsPhoto Le marathon de Martin Parr au Frac Bretagne, une première mondiale ! Marie-Elisabeth De La Fresnaye23 juin 2020 Temps de lecture estimé : 3minsEtienne Bernard, directeur du Frac Bretagne se félicite du nombre de visiteurs venus découvrir cette exposition synonyme de réouverture après des mois de confinement. Il faut dire que « Parrathon », (mot inventé qui dérive de photomaton), est un évènement, une première mondiale, produite avec Magnum Photos regroupant 14 séries du célèbre photographe et 500 photos de l’ensemble de sa carrière. Martin Parr est ce collectionneur obsessionnel d’images. On se souvient de la Planète Parr au Jeu de Paume en 2009 et c’est avec la même gourmandise que l’on plonge dans les dérives de ce collecteur d’images mondialisées dans une scénographie en « all over » qui innerve l’ensemble du Frac et déborde même sur les murs de l’Orangerie du Parc du Thabor, dans le centre de Rennes. « La hiérarchie est essentielle chez Martin Parr » comme le rappelle Etienne Bernard et les classes, que l’on passe de « The Cost of Living » ou « Last Resort » avec la classe ouvrière à la high society dans « Establishment ou Luxury » cette jet set, adepte des courses de chevaux, de polo et des défilés de mode. Il revendique une approche démocratique entre tendresse et sarcasme. Documenter les intérieurs des gens le fascine et il ira jusqu’à mettre en scène son propre salon. L’humour est toujours à fleur de peau et cette fameuse auto-dérision si chère aux anglais to laugh at yourself. « J’aime et je haie la Grande Bretagne en même temps » déclare t-il soulignant le Brexit notamment. Le bon goût et le mauvais goût vont jusqu’à l’obséder et c’est alors au spectateur de décider. « Poursuivre l’ambiguité de ma relation avec ce pays par la photographie est thérapeutique ! »confie t-il. Le tourisme de masse est l’autre de ses préoccupations constantes dont la perche à selfie est devenue l’emblème. Curieux de revoir ses vues saturées de Venise ou des salles du Louvre quand on sort du vide du confinement ! Il y ajoute une touche très personnelle se prenant en photo lui-même lors de ses voyages dans la série « Self Portraits », endossant différents costumes (le cosmonaute aux côtés des chiens embarqués dans l’espace) ou uniformes (Vladimir Poutine). » Je suis consommateur comme n’importe qui d’autre. Il y a 15 ans, je photographiais des Britanniques qui venaient en France pour acheter de l’alcool à bas prix. Et le confinement a fait ressortir cette frénésie de la grande consommation. » déclare le britannique, qui se dit avoir été frustré pendant cette période. Il se lance alors comme nouveau défi de capturer les différentes files d’attentes et la vie au temps de la distanciation sociale. Et parce que l’Angleterre manque de masques, La Martin Parr Foundation va vendre des masques customisés par le photographe au profit de jeunes photographes émergents fragilisés par la crise. A LIRE : Matthieu Chedid & Martin Parr : accords et désaccords ! Rencontre avec Etienne Bernard, directeur du Frac Bretagne : « Faire archipels » Covid-19 et les agences : Rencontre avec Pauline Sain, Directrice de Magnum Photos Paris INFOS PRATIQUES : FRAC Bretagne19 Avenue André Mussat, 35000 Rennes sam13jui(jui 13)12 h 00 min2021dim24jan(jan 24)19 h 00 minParrathon, une rétrospective de Martin ParrFRAC Bretagne, 19 Avenue André Mussat, 35000 Rennes Détail de l'événementIntitulée Parrathon, cette rétrospective de l’iconique photographe anglais retrace la carrière de l’artiste du milieu des années 1970 à aujourd’hui, à travers 14 séries emblématiques. Au total, ce sont près Détail de l'événement Intitulée Parrathon, cette rétrospective de l’iconique photographe anglais retrace la carrière de l’artiste du milieu des années 1970 à aujourd’hui, à travers 14 séries emblématiques. Au total, ce sont près de 500 images qui attendent le public au Frac Bretagne et dans le Parc du Thabor à Rennes. Comptant aujourd’hui parmi les photographes les plus célèbres au monde, sans conteste un des regards les plus espiègles de la photographie actuelle, Martin Parr est le « chroniqueur de notre temps » d’après Thomas Weski, spécialiste international de la photographie contemporaine et biographe officiel de l’artiste. Ses images colorées et décalées, pleine de dérision et d’ironie, semblent, à première vue, exagérées voire grotesques. Les motifs qu’il choisit sont étranges, les couleurs criardes et les perspectives inhabituelles. Tourisme de masse, loisirs de classes ou objets du quotidien glanés autour du monde, les sujets de ses images nous montrent de façon pénétrante comment nous vivons, comment nous nous présentons aux autres, et ce que nous valorisons. Le Frac Bretagne présente la première mondiale de la rétrospective Parrathon conçue par l’artiste et produite avec l’agence Magnum Photos en collaboration avec Fovearts. Celle-ci réunit ses obsessions, son goût du kitsch, son attirance pour la surabondance, son regard intuitif et critique sur notre société sans jugement de valeur, mais marqué de son goût très anglais pour le sous-entendu ironique. Dates13 Juin 2020 12 h 00 min - 24 Janvier 2021 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuFRAC Bretagne19 Avenue André Mussat, 35000 RennesOther Events FRAC Bretagne19 Avenue André Mussat, 35000 RennesOuvert tous les jours de 12h à 19h sauf le lundi FRAC Bretagne Get Directions CalendrierGoogleCal > Frac Bretagne, Rennes Du mardi au dimanche de 12h à 19h 3€ tarif plein/2€ tarif réduit > Parc du Thabor, Orangerie, Rennes Été : tous les jours de 7h30 à 20h30 Hiver : tous les jours de 7h30 à 18h30 Gratuit Marque-page1
Art & déconfinement : Eric Mouchet, #VisitonsNosGaleries est le témoignage de la solidarité d’un quartier tout entier !
Carte blanche à Céline Pévrier : TELEPOETICS par Patricia Morosan et Bianca Oana La télépathie en temps d’éloignement
L'Invité·e Carte blanche à Pauline Caplet : Collaborations, réseaux, et cartographie de la photographie à Bruxelles Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, Pauline Caplet, fondatrice de L’Enfant Sauvage nous parle de l’importance de créer ...
Actu Art Contemporain Effervescence arty à Bruxelles Ouverture de galeries, d’artist-run-spaces, d’espaces de résidences, de collections.., Bruxelles ne cesse d’élargir son écosystème fertile. A l’occasion de la nouvelle foire ...
L'Ephéméride Né un 29 mai : Le photographe René-Jacques Si vous êtes né·e un 29 mai, vous partagez votre anniversaire avec le photographe René-Jacques, de son vrai nom, René Giton. Il ...
Evénements Rencontre Claire Bernardi, directrice musée de l’Orangerie : « Dans le flou, un impensé des Nymphéas de Monet et de l’histoire de la représentation »
Evénements Harold Feinstein et l’expérience américaine. Exposition La roue des merveilles¹ à la Maison de la Photographie Robert Doisneau
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Carte blanche à Pauline Caplet : Collaborations, réseaux, et cartographie de la photographie à Bruxelles 8 minutes ago
Biennale de la Photographie de Mulhouse : Pablo Castilla, lauréat de l’appel à candidature Sédimentation(s) 1 jour ago
Rencontre Claire Bernardi, directrice musée de l’Orangerie : « Dans le flou, un impensé des Nymphéas de Monet et de l’histoire de la représentation » 2 jours ago
Le Monde selon l’IA, Jeu de Paume : Interview avec Ada Ackerman, commissaire associée. Ce que l’IA fait à la culture visuelle 19 mai 2025
Photo London 2025, Interview Sophie Parker, directrice : « Une édition emblématique pour célébrer les 10 ans de Photo London ! » 16 mai 2025
L’effet boomerang : Contre l’oubli et l’indifférence, le Collectif Argos documente la lutte climatique 13 mai 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 30 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 7 et fin) 7 mai 2025
Rencontre Claire Bernardi, directrice musée de l’Orangerie : « Dans le flou, un impensé des Nymphéas de Monet et de l’histoire de la représentation » 2 jours ago
POUSH, interview Yvannoé Kruger, directeur : D’un espace refuge à un écosystème devenu prescripteur ! 3 jours ago
Carte blanche à Pauline Caplet : Collaborations, réseaux, et cartographie de la photographie à Bruxelles