Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective 1 jour ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 1 jour ago
Planches Contact Festival : Interview Veronica Mecchia, Photographe et modèle d’Arno Rafael Minkkinen 2 jours ago
Rencontre Delphine Dumont, directrice Hangar Bruxelles : PhotoBrussels Festival #10, Bicentenaire de la photographie x CNAP 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 1 décembre 2025
« There is a crack in everything » Musée Juif de Belgique, rencontre Barbara Cuglietta : La faille est indissociable de la lumière 6 heures ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 1 jour ago
« L’Empire du sommeil » au Musée Marmottan Monet : insomniaques de l’art c’est pour vous ! 2 jours ago
Partager Partager Pour sa troisième carte blanche, notre invité de la semaine, Florent Basiletti, Directeur de la Fondation Manuel Rivera-Ortiz, partage avec nous les coulisses de la création artistique. Il a choisi deux artistes qui réalisent des explorations singulières étonnantes : Pepe Atocha et Alice Pallot. Pour sa série Chi Del Monte, Pepe utilise des procédés photographiques alternatifs pour créer des images anti-numériques en plein cœur de la forêt amazonienne. Et pour Algues Maudites, a sea of tears, Alice dévoile les coulisses de son exploration des recherches scientifiques, notamment sur les algues vertes qui prolifèrent en Bretagne… En tant que curateur, je découvre souvent les coulisses de la création artistique. Aujourd’hui, je vous partage ma fascination pour les carnets d’artistes, les ateliers et leurs expérimentations. Découvrez avec moi deux artistes explorant le rapport au vivant à travers des backstages révélant des créations sensibles et poétiques sur un monde en évolution, où le vivant s’entremêle à l’homme. Des algues maudites à la création d’images de feu, plongeons ensemble dans ces deux explorations in situ. Chi del monte © Pepe Atocha Chi del monte © Pepe Atocha Pepe Atocha vit et travaille à Tarapoto, en Haute-Amazonie. La forêt amazonienne devient son laboratoire, utilisant des procédés photographiques alternatifs pour créer des images anti-numériques, il développe la série Chi Del Monte. Après une retraite d’ayahuasca, il a eu la vision de créer des photographies avec le feu, capturant l’énergie dans l’obscurité. Les images témoignent de son engagement à explorer de nouvelles techniques dans la photographie contemporaine, avec des détails ludiques et symboliques. Chi, signifiant « flamme » en langue Shipibo, rappelle que la vie est un feu éternel. La série reflète son cheminement, marqué par des erreurs, mais guidé par une quête de compréhension du naturel et du spontané. Les Kichwa Lamistas nomment la nature « El Monte », un lieu de dialogue avec les esprits. Expérimentation et création de Pepe Atocha Expérimentation et création de Pepe Atocha Expérimentation et création de Pepe Atocha Expérimentation et création de Pepe Atocha Exposition de Pepe Atocha À travers ces images, Pepe nous dévoile les coulisses de son travail réalisé à la fin de décembre 2023. Il nous présente son équipement pour la cueillette des champignons, le tabac local utilisé pour la protection, ainsi que les feuilles de coca pour l’énergie. Son laboratoire au cœur de la forêt devient le lieu où l’homme et la nature se confondent. © Pepe Atocha Pepe parle d’une énergie qui habite, nous habite, entre la terre et l’air, des énergies que l’on ne voit pas, mais présente dans ces images ainsi presque distinguables. Algues maudites, a sea of tears © Alice Pallot Algues maudites, a sea of tears © Alice Pallot Algues maudites, a sea of tears © Alice Pallot Alice Pallot explore l’impact des activités humaines sur l’environnement à travers un documentaire d’anticipation, Algues Maudites, a sea of tears. Ses photographies, teintées d’imaginaire science-fictionnel, révèlent des problématiques souvent ignorées, offrant une vision d’un futur proche. Initié lors de la Résidence 1+2 en collaboration avec le Centre Wallonie-Bruxelles et soutenu par WBI, ce projet a été réalisé en deux phases, en Bretagne avec l’association Sauvegarde du Trégor Goëlo Penthièvre, puis à Toulouse avec les scientifiques du CNRS Occitanie-Ouest. Expérimentations Back Stage durant la résidence 1+2 d’Alice Pallot Expérimentations Back Stage durant la résidence 1+2 d’Alice Pallot Expérimentations Back Stage durant la résidence 1+2 d’Alice Pallot Alice nous dévoile les coulisses de son exploration des recherches scientifiques, notamment sur les algues vertes qui prolifèrent en Bretagne, engendrant des problèmes environnementaux et sanitaires. L’installation vivante d’algues qu’elle prépare, axée sur l’accident scientifique, sera réalisée au printemps pour la Villa Pérochon. Algues Maudites, a sea of tears, présente des chapitres narratifs mêlant témoignages, constats, expérimentations, documents scientifiques et imaginaires poétiques. En évoquant la toxicité imperceptible des algues et en capturant des milieux anoxiques, Alice Pallot confronte le spectateur à la fragilité et à l’imprévisibilité du monde naturel, soulignant l’effondrement de la biodiversité et de ses écosystèmes. À travers le film « Anoxie verte », elle interroge les conditions futures d’habitabilité de la terre, utilisant la pollution visuelle comme un filtre photographique pour repousser les limites du médium photographique. Marque-page2
Rencontre avec Johan Creten : ceramic brussels, Beaufort 24, How to explain the sculptures to an influencer ?…
L'Invité·e Carte blanche à Adélie de Ipanema : Laurence Geai. Le baiser du Carillon. Janvier 2016 Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, Adélie de Ipanema, la directrice de Polka, a choisi de revenir sur ...
L'Invité·e Carte blanche à Adélie de Ipanema : Joel Meyerowitz – Rosewood Cottages, 1976 Pour sa deuxième carte blanche, notre invitée de la semaine, Adélie de Ipanema, la directrice de Polka, a choisi le cliché Rosewood ...
L'Invité·e Carte blanche à Adélie de Ipanema : Naissance de Polka. 7 Novembre 2007 Pour sa première carte blanche, notre invitée de la semaine, Adélie de Ipanema, revient sur les débuts de cette aventure familiale qu’est ...
L'Invité·e Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des images qui se rencontrent… et qui se jouent de nous
L'Invité·e Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier
Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective 1 jour ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 1 jour ago
Planches Contact Festival : Interview Veronica Mecchia, Photographe et modèle d’Arno Rafael Minkkinen 2 jours ago
Rencontre Delphine Dumont, directrice Hangar Bruxelles : PhotoBrussels Festival #10, Bicentenaire de la photographie x CNAP 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 1 décembre 2025
« There is a crack in everything » Musée Juif de Belgique, rencontre Barbara Cuglietta : La faille est indissociable de la lumière 6 heures ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 1 jour ago
« L’Empire du sommeil » au Musée Marmottan Monet : insomniaques de l’art c’est pour vous ! 2 jours ago
« There is a crack in everything » Musée Juif de Belgique, rencontre Barbara Cuglietta : La faille est indissociable de la lumière