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Berlin : Inauguration de l’exposition de Dirk Braeckman
© Dirk Braeckman, 27.1/21.7/023/2014
  • L'Ephéméride
by La Rédaction on 6 avril 2018
611 Views |  Like

Berlin : Inauguration de l’exposition de Dirk Braeckman

Temps de lecture : 4 secondes

La galerie Thomas Fischer, basée à Berlin, inaugure ce soir l’exposition consacrée au photographe belge Dirk Braeckman.

http://www.galeriethomasfischer.de/exhibitions/dirk-braeckman_2

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#Berlin #Exposition

La Rédaction

9 Lives magazine vous accompagne au quotidien dans le monde de la photographie et de l'Image.

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L’Ephéméride

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L’Agenda

Mois en cours
Spectrographies MBAL - Musée des beaux-arts Le Locle Marie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle

sam16fev(fev 16)11 h 00 mindim05mai(mai 5)17 h 00 minSpectrographiesSMITHMBAL - Musée des beaux-arts Le Locle, Marie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le LocleType d'événement:Exposition,Photographie

Détail de l'événement

L’artiste français·e SMITH ( 1985) développe un travail où la métamorphose de soi prend une place centrale. Ses images poétiques invitent à la contemplation et évoquent le souvenir de corps

Détail de l'événement

L’artiste français·e SMITH ( 1985) développe un travail où la métamorphose de soi prend une place centrale. Ses images poétiques invitent à la contemplation et évoquent le souvenir de corps absents. Similaires à des images de laboratoire, ses Spectrographies font référence aux nouvelles technologies qui nous permettent, par l’intermédiaire d’un écran, de regarder, d’échanger, de toucher des êtres pourtant physiquement absents. SMITH s’est armé·e ici d’une caméra thermique afin de poursuivre son exploration d’une anatomie transformée, cherchant à représenter un au-delà du corps. Ses photographies thermiques – ou thermogrammes – sont des spectres conjurant l’absence. Dans le film qui accompagne la série, un personnage déambule seul dans la nuit. Là aussi, le corps se transforme en fantôme, le manque devient une force plastique qui affirme sa présence par surbrillance. Dans ce face-à-face avec l’invisible, l’être disparu fait présence. Il s’agit pour l’artiste de convoquer la philosophie, la littérature, le cinéma, les sciences et la psychanalyse dans une œuvre qui donne à voir l’invisible.

L’exposition est organisée en collaboration avec la galerie Les Filles du Calvaire, Paris. Une interview de l’artiste par Joël Vacheron paraît dans la série « Pouvez-vous nous parler … », publiée trois fois par an par le MBAL.

Dates

Février 16 (Samedi) 11 h 00 min - Mai 5 (Dimanche) 17 h 00 min

Lieu

MBAL - Musée des beaux-arts Le Locle

Marie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le Locle

MBAL - Musée des beaux-arts Le LocleMarie-Anne-Calame 6 CH – 2400 Le LocleOuvert tous les jours de 11h à 17h sauf le lundi et mardi

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Vingt-quatre heures de la vie d’une femme MAMC+ Musée d'Art Moderne et Contemporain - Saint-étienne Métropole rue Fernand Léger 42270 Saint-Priest-en-Jarez

sam01déc10 h 00 min2019dim22sep(sep 22)18 h 00 minVingt-quatre heures de la vie d’une femmeLa collection du mamc+ le temps d’un jour, d’une nuitMAMC+ Musée d'Art Moderne et Contemporain - Saint-étienne Métropole, rue Fernand Léger 42270 Saint-Priest-en-JarezType d'événement:Art Contemporain,Exposition,Photographie

Détail de l'événement

Après un an passé à la tête de ce musée, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme est une première lecture de cette immense et exceptionnelle collection. Une sélection s’est opérée

Détail de l'événement

Après un an passé à la tête de ce musée, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme est une première lecture de cette
immense et exceptionnelle collection. Une sélection s’est opérée sur plus de 20 000 oeuvres acquises entre 1833 et 2019,
couvrant plusieurs siècles et toutes les disciplines, entre peinture, sculpture, dessin, gravure, photographie, design,
installation, embrassant l’art ancien, moderne et contemporain.

Avec 275 oeuvres de plus de 135 artistes réparties sur plus de 1000 m2, cette exposition se veut le reflet d’une collection multiple regardée par les yeux d’une femme1, racontant vingt-quatre heures de la vie d’une autre femme, imaginaire.

L’exposition propose un cheminement dans les espaces sous la forme d’un tour horaire, dans le sens des aiguilles d’une
montre, figurant l’écoulement du temps, depuis le matin jusqu’à la nuit. En dix sections – L’éveil ; Le bain ; Dehors, le
monde ; Le travail ; Le déjeuner ; Le repos ; La promenade ; La rencontre ; La fête ; La nuit, les rêves – le visiteur parcourt le quotidien d’une femme aux mille visages, tantôt ouvrière, secrétaire ou oisive bourgeoise. Les oeuvres réunies traduisent des actions, des gestes, des habitudes à différents moments de la journée, donnent le ton de lieux foulés ou d’intérieurs au mobilier soudain familier, mais convoquent aussi des souvenirs, des images surgies de l’esprit d’une jeune femme indépendante.

Chaque section, dans sa thématique, rapproche des oeuvres très différentes, jouant sur la mise en perspective d’attitudes
de personnages, d’effets de matières, de compositions, de chromatismes, donnant ainsi au spectateur la possibilité de
sentir ou de vivre certains moments de la journée ou de la nuit, revêtant une autre peau. Vingt-quatre heures de la vie
d’une femme, titre emprunté au livre éponyme de Stefan Zweig, déconstruit les catégories esthétiques habituelles ou
chronologiques pour raconter une autre histoire de l’art, par le biais d’une fiction.

L’exposition, dans cette forme volontairement narrative, a pour but de montrer la proximité étonnante des artistes de ces
siècles derniers dans leur approche formelle et sensible : une lithographie maculée de Dubuffet semble dans la droite
lignée d’un tableau postimpressionniste d’Henri Lebasque. La nonchalance d’un nu photographié par Nadar résonne dans
un tableau moderne de Marcel Gromaire. L’hésitation dans la rencontre de deux carrés d’André Valensi se retrouve dans ce
couple dansant pour la première fois d’André Lhote. La nuit, les constellations du tableau de Lucio Fontana semblent surgir d’un paysage au clair de lune d’Albert Gosselin, de 1900, à moins que ce soit l’esprit étoilé de cette femme aux yeux fermés, photographiée par Walker Evans, dans le métro.

La narration comme cheminement, plutôt que l’histoire de l’art dans sa stricte chronologie : c’est un parti pris de
commissaire, dans la volonté d’examiner les oeuvres autrement, de les montrer au public autrement, peut-être dans un
élan plus proche du quotidien de chacun, en reconnectant l’art au présent. Il s’agit de raconter une autre histoire de l’art, par le prisme du sensible, de l’émotion et de la vie.

Dates

Décembre 1 (Samedi) 10 h 00 min - Septembre 22 (Dimanche) 18 h 00 min

Lieu

MAMC+ Musée d'Art Moderne et Contemporain - Saint-étienne Métropole

rue Fernand Léger 42270 Saint-Priest-en-Jarez

MAMC+ Musée d'Art Moderne et Contemporain - Saint-étienne Métropolerue Fernand Léger 42270 Saint-Priest-en-JarezOuvert tous les jours de 10 h à 18 h sauf les mardis

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En Égypte le long du Fleuve - Hommage à Youssef Chahine LUX Scène Nationale de Valence 36 bd du Général de Gaulle 26000 Valence

jeu24jan(jan 24)14 h 00 minlun04mar(mar 4)20 h 30 minEn Égypte le long du Fleuve - Hommage à Youssef ChahineBernard PlossuLUX Scène Nationale de Valence, 36 bd du Général de Gaulle 26000 ValenceType d'événement:Exposition,Photographie

Détail de l'événement

« En 1977, pour continuer mon ample projet sur le désert africain, je décidais d’aller en Egypte, très exactement le long du Nil. Nous partîmes des amis et moi rejoindre

Détail de l'événement

« En 1977, pour continuer mon ample projet sur le désert africain, je décidais d’aller en Egypte, très exactement le long du Nil. Nous partîmes des amis et moi rejoindre au Caire Ahmed Mehrez, grand ami de Youssef Chahine. Après quelques jours au Caire, nous louâmes une Peugeot, avec un chauffeur, ce qui nous permit de constamment quitter la route principale et de nous enfoncer dans des petites routes et pistes au hasard, loin du tourisme. Descendant petit à petit jusqu’à Louxor, en passant par El Minya, Amarna, Kom Ombo, longeant le fleuve et photographiant ses rives, ses habitants, ses felouks, les paysans, les marchés, les puits : l’eau est tellement importante pour la vie rurale ! Toutes les photos ont été faites en noir et blanc, avec juste le sobre objectif de 50 mm, que ce soit les paysages, les portraits, les routes, la chaleur à midi, la poussière, les camions pleins à craquer, l’aube dans la brume, sans aucun effet spectaculaire. Et malgré les voitures (dont la nôtre !), la vie rurale nous plongea constamment dans une Egypte éternelle, celle des habitants de ce fleuve extraordinaire, comme si nous étions des siècles plus tôt, dans une civilisation ancestrale, où chaque geste a sa raison, tout cela bercé par les appels à la prière des muezzins. Nous avions quitté le temps – C’est cela, le cadeau de ce pays. Et ces photographies fluviales et rurales sont un hommage à l’humanisme du grand Youssef Chahine ». Bernard Plossu

Né au Vietnam, nourri de la contre-culture américaine et de l’esthétique de la Nouvelle Vague, Bernard Plossu souhaitait au milieu des années 1950 devenir cinéaste. Ce cinéphile averti et passionné sera dans les années 1960 photographe. De 1960 à 1965, il fréquente la Cinémathèque où il voit les classiques de Dreyer, Bergman, Buñuel, Eisenstein, Bresson et bien sûr Truffaut, Godard, Jessua. Il s’intéresse également au Néoréalisme italien et au Western. Il apprend l’image à travers le cinéma.

C’est en photographe atypique, inclassable qui se trace ainsi depuis le début des années 1960 un parcours en solitaire, en marge du reportage, de la photographie plasticienne et des modes, « pour être, nous dit-il, de plainpied avec le monde et ce qui se passe. »

Dates

Janvier 24 (Jeudi) 14 h 00 min - Mars 4 (Lundi) 20 h 30 min

Lieu

LUX Scène Nationale de Valence

36 bd du Général de Gaulle 26000 Valence

LUX Scène Nationale de Valence36 bd du Général de Gaulle 26000 ValenceLes Mardi, jeudi et vendredi de 14h à 20h30, le Mercredi de 14h à 19h, le Samedi de 16h à 20h30 et le Dimanche de 16h à 19h

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Appel à candidature Incadaqués 2019

mar15jan(jan 15)0 h 00 mindim30jui(jui 30)0 h 00 minAppel à candidature Incadaqués 2019 Organisateur: Festival InCadaques Type d'événement:PhotographieType d'événement 2:Concours

Détail de l'événement

La seconde édition du concours Incadaqués est ouverte ! Les photographes sont invités à soumettre leurs projets en participant au concours 2019. 15 projets seront sélectionnés et exposés

Détail de l'événement

La seconde édition du concours Incadaqués est ouverte ! Les photographes sont invités à soumettre leurs projets en participant au concours 2019. 15 projets seront sélectionnés et exposés à “The sala de l’Amistat” durant le festival. Le jury, composé de professionnels du monde de la photographie, sélectionnera les projets les plus intéressants.

Jury du concours 2019

Valmont Achalme, Président du festival Incadaqués (Espagne)
Julia de Bierre, Galerie 8, Arles (France)
Sofia Sanchez & Mauro Mongiello, photographes (Argentine)
François Bouchara, Directeur de Granon digital (France)
Patrick J. Domken, galleriste (Espagne)
Wilfrid Estève, fondateur du studio hans lucas (France)
Olivier Chamarin, galeriste (UK)
Esther Friedman, photographe (Allemagne)
Neil Gordan, réalisateur (Irlande)
Huc Malla, galeriste & curator (Espagne)
Dominic Turner, photographe & gagnant du concours 2018 (Irlande)

Conditions & information

Il n’y a pas d’âge limite ou de thème imposé
/!\ Les frais d’inscription sont de 20€ par personne et sont à régler en ligne
Chaque candidature doit être composée d’une série de 15 images maximum (10 minimum)
Toute candidature incomplète ne sera pas prise en compte!

> Etape 1
Procédez au paiement en ligne

> Etape 2
Créez un fichier .zip contenant le reçu de votre paiement ainsi que les images en jpg basse définition.
Toutes les images doivent être nommées ainsi: nom_prénom_nomserie_numeroimage.jpg
Vous trouverez un tutoriel pour la création d’un fichier .zip ici

> Etape 3
Copiez le lien wetransfer une fois le téléchargement terminé
Si vous avez besoin d’aide pour créer un lien wetransfer, cliquez ici

> Etape 4
Remplissez le formulaire d’inscription en ligne en n’oubliant pas d’y inclure votre lien wetransfer

Le gagnant du concours 2019 exposera sa série durant le festival incadaqués 2019.
Une sélection de 3 images de chacun des 14 autres photographe sélectionnés sera exposée durant le festival.
Les tirages de l’exposition seront réalisés par le festival et le laboratoire Granon digital
L’espace d’exposition sera aussi dédié à la présentation des portfolios des photographes sélectionnés s’ils le souhaitent
Les tirages, le logement durant le week-end d’ouverture ainsi que le transport est offert par le festival pour le gagnant.
Les 14 autres photographes sélectionnés se verront offrir un pass vip s’ils souhaitent venir au festival.

Pour en savoir plus : info@incadaques.com

Dates

Janvier 15 (Mardi) 0 h 00 min - Juin 30 (Dimanche) 0 h 00 min

Organisateur

Festival InCadaquesinfo@incadaques.com

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Déclarations Musée de l'Homme 17 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 Paris

sam08déc(déc 8)10 h 00 min2019dim30jui(jui 30)18 h 00 minDéclarationsSebastião SalgadoMusée de l'Homme, 17 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 ParisType d'événement:Exposition

Détail de l'événement

La participation de Sebastião Salgado à la saison En droits ! est exceptionnelle et montre non seulement son adhésion à la Déclaration universelle des droits de l’Homme mais aussi son

Détail de l'événement

La participation de Sebastião Salgado à la saison En droits ! est exceptionnelle et montre non seulement son adhésion à la Déclaration universelle des droits de l’Homme mais aussi son attachement au Musée de l’Homme, institution qui cherche à comprendre l’humain dans toute sa complexité.

Pour le Musée de l’Homme, Sebastião Salgado raconte l’histoire des droits de l’Homme telle qu’il l’a ressentie tout au long de ses 40 ans de carrière dans une vingtaine de pays. Le photographe et la commissaire ont porté un regard rétrospectif sur son œuvre et a sélectionné 30 photographies réalisées dans 20 pays : Afghanistan, Angola, Algérie, Bosnie, Brésil, Éthiopie, France, Hong Kong, Inde, Indonésie, Italie, Kenya, Mexique, Mozambique, Philippines, Rwanda, Somalie, Soudan et Tanzanie. Il témoigne ainsi de la nécessité de faire vivre au quotidien les droits énoncés dans la Déclaration quelle que soit la région du monde concernée, soulignant ainsi la portée universelle de ce texte. Ces images illustrent, entre autres, le droit à la vie, le droit à l’asile, à la liberté de pensée, de conscience et de religion ou le droit au travail et répondent aux œuvres des street artistes qui feront leur apparition dans le musée entre janvier et février 2019.

photo © Moment de prière dans les grandes dunes de sable à Maor, Tadrart. Sud de Djanet. Algérie. 2009. © Sebastião Salgado

Dates

Décembre 8 (Samedi) 10 h 00 min - Juin 30 (Dimanche) 18 h 00 min

Lieu

Musée de l'Homme

17 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 Paris

Musée de l'Homme17 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 ParisOuvert tous les jours de 10h à 18h sauf le mardi.

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