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Partager Partager NewsPhoto Pas de photographie Africaine à Arles pour l’édition 50 Anna-Alix Koffi5 juillet 2019 Temps de lecture estimé : 3minsL’an passé le festival des Rencontres d’Arles avait été interpellé par l’association La part des femmes sur la trop forte absence des femmes photographes. Le courrier écrit par Marie Docher était resté sans réponse, mais il avait été entendu puisque pour cette 50ème édition, 47% des expositions individuelles sont consacrées à des femmes photographes ! Une première victoire. Mais ce n’est pas le seul combat à mener, puisque la scène photographique africaine est à son tour inexistante dans la programmation. Pour l’occasion, Anna-Alix Koffi, fondatrice de la revue “Something we africans got” a décidé d’éditer le journal “UN / INVITED GUEST“, disponible gratuitement, qui recueille des textes et entretiens sur la photographie africaine d’un point de vue international. L’idée est de montrer avec élégance et bienveillance que la photographie africaine existe depuis des décennies et qu’elle intéresse tout le monde… sauf le premier festival de photographie au monde ! Ce soir et demain Anna-Alix vous donne rendez-vous de 22h à minuit au 32 rue de la Liberté à Arles pour des projections au UN / INVITED GUEST ROOM ! EDITO – Il n’est pas élégant de venir sans être convié. Mais il n’est pas légitime de laisser des protagonistes méritants à la porte du grand jubilé de la photographie internationale. C’est une faute. Pour la photographie, comme pour l’art en général, il est anormal que France et pays africains – surtout francophones – s’ignorent, et que les deux parties jugent systématiquement plus moderne de regarder ailleurs. Un côté pense folklore, l’autre taxe de ringardise. Je serai malhonnête de victimiser l’«Afrique» qui entretient et rend bien l’indifférence ou l’ignorance crasse qu’on lui manifeste. Dans le meilleurs des mondes, il faudrait que sur les braises encore ardentes du douloureux passé, les deux parties cultivent le jardin commun que la brutalité de l’Histoire leur a imposé. Ce terreau très riche – certes beaucoup plus pour certains que pour d’autres – peut permettre les meilleures réalisations. Et pas seulement sous prétexte d’une «saison» ou d’une «année». Arles édition 50 sans photographie africaine. Soit. Pas question jouer des coudes et de mettre les pieds sur la table. Ce journal et les projections organisées du jeudi au samedi soir au 32 rue de la Liberté – le tout réalisé avec des moyens inexistants – essaient de faire remarquer, avec calme et détermination, une absente dont le talent est bien trop grand pour n’être remarqué que dans un « cadre ». Anna-Alix Koffi somethingweafricansgot.com Bookmark0
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