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L'Invité·ePhoto Les Coups de Cœur pour le Prix ANI/PIXTRAKK 2020 par Stefana Fraboulet & Laetitia Guillemin 2/2 La Rédaction13 septembre 2019 Norma, la fondatrice de La Patronas, emmène un groupe de migrants dans sa voiture pour les aider à prendre le bus. Le groupe a peur de traverser la ville car elle surveillé par la police migratoire. Après plus de 3 semaines de voyage dangereux, être expulsé n'est pas une option. Des milliers de migrants du Honduras, du Salvador et du Guatemala empruntent chaque jour les routes du Mexique pour fuir les gangs et la violence qui frappent leurs pays respectifs. Pour eux « La frontière des Etats-Unis commence au sud du Mexique ». © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 Partager Partager Temps de lecture estimé : 7minsPour leur quatrième et dernière carte blanche, nos deux invitées de la semaine, Stefana Fraboulet & Laetitia Guillemin co-présidentes à l’ANI (Association nationale des iconographes), nous présentent une nouvelle sélection de portfolios repérés cette année lors des lectures de portfolio organisées à Visa pour l’Image Perpignan. Ces sujets seront d’ailleurs proposés pour la 10ème édition du Prix ANI/PIXTRAKK pour remporter 5000€. Frontière Sud Jeoffrey Guillemard Jeoffrey Guillemard suit les migrants qui souhaitent rejoindre les Etats-Unis. Ce reportage au long court a commencé à l’investiture du président des Etats Unis Donald Trump en 2017. Des migrants centraméricains se lavent avant une nouvelle journée de marche.En moyenne les migrants parcourent une trentaine de kilomètres par jour sous des températures avoisinant les 40degrés. 29/03/18 San Pedro Tapanatepec, Oaxaca, Mexique. © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 Un migrant marche sur le chemin de fer qui relie la ville d’ Arriaga (Chiapas) à Chahuites (Oaxaca). Cette route est connue par les migrants comme un passage où les attaques à main armé son très fréquentes. Sur le chemin la plupart des migrants se font voler leurs sac à dos et leurs chaussures. © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 Deux migrants se réveillent d’une deuxième nuit sur la « Bestia ». Il est dangereux et difficile de dormir sur la Bestia, certains utilisent une corde ou une ceinture pour éviter de chuter durant la nuit. Des milliers de migrants du Honduras, du Salvador et du Guatemala empruntent chaque jour les routes du Mexique pour fuir les gangs et la violence qui frappent leurs pays respectifs. Pour eux « La frontière des Etats-Unis commence au sud du Mexique ». © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 Des migrants de la « Maison du migrant 72 « découpent une vache donnée par un fermier au refuge des migrants. Le refuge a été nommé ainsi après le massacre de 72 migrants à San Fernando dans l’ états de Tamaulipas en 2010. © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 La « Caravane » de plus de 1500 migrants marche en direction de la ville de Niltepec. Partis le 25 mars de la ville de Tapachula au sud du Mexique, à la frontière du Guatemala, plus de 1500 hommes, femmes et enfants migrants réalisent une « Caravane » d’un mois jusqu’ à la ville mexicaine de Tijuana à la frontière avec les Etats Unis. Cette marche est organisé par « Pueblos sin fronteras (Peuples sans frontières), pour les protéger des autorités mais aussi des gangs et des cartels dont ils sont régulièrement victimes quand ils sont isolés. © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 La « Caravane » de plus de 1500 migrants marche en direction de la ville de Niltepec. Partis le 25 mars de la ville de Tapachula au sud du Mexique, à la frontière du Guatemala, plus de 1500 hommes, femmes et enfants migrants réalisent une « Caravane » d’un mois jusqu’ à la ville mexicaine de Tijuana à la frontière avec les Etats Unis. Cette marche est organisé par « Pueblos sin fronteras (Peuples sans frontières), pour les protéger des autorités mais aussi des gangs et des cartels dont ils sont régulièrement victimes quand ils sont isolés. © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 Norma, la fondatrice de La Patronas, emmène un groupe de migrants dans sa voiture pour les aider à prendre le bus. Le groupe a peur de traverser la ville car elle surveillé par la police migratoire. Après plus de 3 semaines de voyage dangereux, être expulsé n’est pas une option. Des milliers de migrants du Honduras, du Salvador et du Guatemala empruntent chaque jour les routes du Mexique pour fuir les gangs et la violence qui frappent leurs pays respectifs. Pour eux « La frontière des Etats-Unis commence au sud du Mexique ». © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 Un jeune migrant se repose à la « Maison du migrants 72 », un refuge pour migrant. Le refuge a été nommé ainsi après le massacre de 72 migrants à San Fernando dans l’ états de Tamaulipas en 2010.© Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 Deux enfants jouent dans le sable, à côté d’eux le mur qui sépare le Mexique des États-Unis. Le mur de Tijuana a été construit en 1994 et rend le passage de la frontière beaucoup plus dangereux pour les migrants. 08/05/2017 Tijuana, Baja California, Mexique. © Jeoffrey Guillemard / ANI 2020 « La frontière des Etats-Unis commence au sud du Mexique ». C’est comme cela que les migrants Centre-Américains racontent leur voyage pour atteindre le rêve américain. Tout commence à la frontière du Mexique et du Guatemala sur des radeaux de fortune lancés sur le rio Suchiate. Ils doivent ensuite marcher pendant des jours entiers avant de s’aventurer sur « La Bestia » (La Bête), ce fameux train de marchandises qui traverse le pays. Seul ou en caravane, malgré la longueur du voyage et les nombreux dangers, des milliers de migrants du Honduras, du Salvador et du Guatemala empruntent chaque jour cette route pour fuir les gangs et la violence qui frappent leurs pays respectifs. Ils y perdent leur argent, leur dignité et parfois même la vie. The IVF boom in Gaza Why one of the poorest and most overpopulated countries worldwide has massively turned to the In Vitro Fertilization? Daniela Sala La photographe Daniela Sala a ramené un reportage étonnant réalisé à Gaza, où les couples font de plus appel à la médecine pour aider à la procréation, notamment grâce à la pratique Fécondation in vitro. Gaza City, Al Helou clinic. Iman Juju (28) talk to a colleague, during her shift as volunteer nurse at Al Helou clinic. Above her, a sign advertising maternity service offered by the clinc. Iman is 8 months pregnant through an IVF she had in the same in clinic. She also has two twins (Talin and Alin, 5 1/2 years old) from a previous IVF. © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City, Shujeya. A building in front of Fadi Bhar house. He and his wife are married since 2005 and have two daughters (Minna, 11, and Rimas, 9) who were both born naturally. Afterwards they had problem conceiving and it turned out he had a fertility problem. Fadi blames the chemicals contained in the missiles dropped in 2008, as the area where they live was heavily bombed during the past three wars in the Gaza Strip. © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City. Alam caresses her belly at Al Helou clinic, while she waits for a visit with the gynaecologist. She is the second wife of Walid al Nasassra (45). They are married since 9 years but had no kids, thus they decided to attempt (successfully) an IVF: she is now 6-months pregnant. © Daniela Sala / ANI 2020 Beit Lahia, Gaza Strip. Nidal Zayed (fisherman, 31) and his wife Maali (30, former nurse) at home with their 11-months-old kids. They tried having kids since the very beginning but it soon turned out that he is infertile. The couple tried IVF for the first time in 2013: it did not work and they could not afford to try again. In 2017 they applied to get an IVF treatment by Fata, an NGO funded by the Jaleela Dahlan (the wife of the former Fatah leader Mohammad Dahlan). Nidal and Maali succeeded getting treatment for free and this time the IVF was successful. © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City, Basma Clinic. A doctor in the lab of Basma Clinic for IVF, while isolating a patient’s oocytes from a sample of her tissue. Behind him, a oocyte as seen at the microscope. © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City, Al Helou clinic. Iman Juju (28) sitting on a bed during her shift as a volunteer nurse at Al Helou clinic. She is 8 months pregnant through an IVF she had in the same in clinic. She also has two twins (Talin and Alin, 5 1/2 years old) that she had from a previous IVF. © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City. Women waiting at the reception at Al Basma clinic. Al Basma clinic is specialised in IVF and was the first one to opening the Gaza Strip in 1997 and currently assists an average of 15 patients a month. © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City. At Basma clinic for IVF, Mersal, a nurse (right) is injecting her weekly dose of hormones to Mervat Hinnawi (42), a patient with no kids who is trying IVF for the first time. Hormones injections are part of the IVF treatment, and required during the ovarian stimulation phase. Mervat gets three injections at a time and, according to her, especially the injection on the shoulder is quite painful. © Daniela Sala / ANI 2020 © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City. In the OR at Al Helou clinic, Mohammed Al Helou, (son of the clinic founder) is retrieving oocytes from Hala Hoda (24). The surgery is normally performed with conscious sedation and takes around 20 minutes. The whole IVF procedure costs around 2500$ to 3000$ and success rate is around 30%. © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City. Lureen Bhar’s aunt in the waiting room at Al Basma clinic. as she waits for her niece to finish her first IVF surgery, consisting in oocyte retrieval. The surgery is normally performed with conscious sedation and takes around 20 minutes. © Daniela Sala / ANI 2020 Gaza City. Doctor Ghada Al Qrenawi is isolating a patient’s oocytes from a sample of her tissue at Al Helou clinic lab. Oocytes will be then fertilised by the patient’s husband sperm. 3 to 5 days later the fertilised egg (embryo) will be implanted in her uterus. © Daniela Sala / ANI 2020 Suspended amidst hope and fear, tens of husbands and wives wait outside the OR in a clinic in Gaza City. Their ways of coping with fear are different: many pray, others keep walking back and forth. But they all have the same dream: getting a baby. Long-term living conditions in Gaza are some of the worst in the Middle East. A report by the UN in 2015 noted that the economic well-being of Palestinians living in Gaza was worse than in 1995 and that it may be « uninhabitable » by 2020; last year the organisation said that conditions were already « unliveable ». Gaza Strip 2 millions inhabitants are one of the youngest population in the world and have one of the highest number of children per family (4,5). Yet, In Vitro Fertilisation has been a business on the rise for the past decades. And it still is. Couple are ready to sell whatever they can, save money for years and even get into debt, while the enlarged families is usually willing to support them with any means in order to afford the treatment. The cost of the whole procedure in Gaza is around 2500 $: a sum that is considerably high. But giving birth is priceless. Along the Strip, there are are at least 5 clinics (mostly in Gaza City) specialised in fertility treatments. The first one was founded by the doctor Baha Al Ghalayieni in 1997.As its founder, recalls, at the very beginning they contacted Muslim scholars in order to confirm that IVF is Halal, or permitted, in Islam (as long as it is performed by a married couple). The clinic currently assists an average of 15 patients a month. An IVF treatment normally consists in hormonal treatments for the woman, followed by a first surgery, consisting in oocytes retrieval from the woman uterus. Oocytes will be then fertilised by the husband’s sperm. 3 to 5 days later the fertilised egg (embryo) will be implanted in the woman uterus. Strong social and family pressure to have children, combined with increased male infertility rate – though not supported by scientific research – is thought to be pushing more and more couples to try IVF. And in the past years even a NGO, (Fata, funded by Jaleela Dahlan, wife of former Fatah leader Mohammad Dahlan) started offering free IVF treatment to poor Gaza families, allocating more than half of their budget for it. Ils pissent vert et rouge 18 mois avec les légionnaires du 2REP de CALVI AU MALI Jérémy Lempin Le photographe Jérémy Lempin a décidé en juin 2017 de suivre la Légion Etrangère, afin de découvrir qui étaient vraiment ces hommes, connaître leurs traditions, rencontrer leur famille et essayer de percer le mystère qui se cache derrière le mythique du 2ème Régiment Etranger de Parachutiste plus connu sous son acronyme du 2REP. Pour fêter le départ du capitaine commandant leur compagnie, les légionnaires se sont jetés dans le port de Calvi avec lui comme le veut la tradition de cette compagnie. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Le capitaine Guillaume et sa famille réuni au grand complet après que celui-ci soit parti 4 mois au Mali en opération extérieur. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Pour fêter leur cinquante ans d’implantation à Calvi, des festivités ont été organisé sur le camp Rafffalli avec la présence nottament d’une Kermesse et de jeux pour les enfants légionnaires. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Popote de rentrée pour les officiers du 2REP au coeur de la citadelle de Calvi. Cette tradition permet de créer du lien et de la cohésion pour las anciens cadres et les nouveaux arrivants. Ici la présentation du menu par le plus jeune des lieutenants au chef de corps. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Visite de la salle d’honneur par les jeunes légionnaires fraîchement arrivés au 2ème régiment étranger de parachutistes. La légion étrangère est le corps d’armée ayant perdu le plus de combattants depuis la première guerre mondial , 60% des soldats morts au combat depuis la fin du19ème siècle sont légionnaires. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Exercice d’aguerrissement pour les jeunes recrues sur le centre d’entraînement nautique du 2ème Régiment étranger de parachutistes situé dans la baie de Calvi. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Entraînement en zone urbaine pour les légionnaires de la 1ère compagnie du 2ème régiment étranger de parachutistes dans les ruines de l’aéroport de Calvi. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Messe de Noël pour les légionnaires du 2ème REP dans l’église du centre ville de Calvi. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Marc en patrouille avec ses hommes. L’essentiel de la mission consiste à patrouiller dans les villages du pays pour montrer la présence des forces française et recueillir d’éventuelles informations. © Jérémy Lempin / ANI 2020 Dans l’armée française, la Légion Etrangère est un corps à part. Un des meilleurs au monde mais aussi un des plus dur. Composée d’engagés volontaires étrangers de 140 nationalités différentes, elle est régie par ses propres règles de tradition et animée d’un très fort esprit de cohésion. Les hommes qui la composent sont donc difficiles à approcher en profondeur. Le 2ème Régiment Etranger de Parachutiste (REP) m’a pourtant permis de le faire en m’ouvrant ses portes pendant 18 mois. Igor, 36 ans, brésilien, ancien Forces Spéciales dans son pays natal, a tout quitté pour rejoindre les paras de la Légion Etrangère sur l’île de beauté. Tout comme les Népalais qui parcourent plus de 7000km et dépensent plus de 8000 euros pour venir se battre pour la France. Je peux aussi vous parler, de Christian, roumain, Cristin, moldave, Pedro, portugais, et de tant d’autres. Tous viennent du monde entier pour réaliser leur rêve, intégrer le mythique 2ème REP. De Calvi au Mali, des jeunes volontaires étrangers fraîchement engagés aux plus anciens du régiment, je tente de suivre et de comprendre le fil invisible du quotidien, qui conduit ces soldats à faire de l’île de Beauté leur Patrie, de Calvi leur capitale, du départ en Mission Opérationnelle leur raison d’être et du 2ème REP, leur éternelle famille. Depuis sa création en 1948, ce régiment d’élite est envoyé sur tous les champs de bataille où sa dimension aéroportée le rend nécessaire. Il est installé depuis 50 ans à Calvi, en Corse, et fait désormais partie du paysage local. Unlimited Youth Susana Girón Dans cette série, Susana Girón s’est intéressés aux compétitions sportives, un peu particulières… Puisqu’elles s’adressent aux vétérans, dont certains sont centenaires… Dorothy McLennan, 82 years old masters Athletics on an staged portrait during her participation at European Masters Athletics Championship in Madrid. Handwritting: Watch these Masters games and never give up on your ambitions and you will stay healthy and succeed. © Susana Girón / ANI 2020 Danielle Justin, is a 64-year-old Belgian athlete specializing in cross-country racing. During the moments prior to the competition, perform the pre-stretching and warm-up necessary to take part in the 1500 m race of the World Championships in Veteran Athletics held in Daegu (South Korea). © Susana Girón / ANI 2020 A group of masters Athletes before to take part on the competition at European Masters Athletics Championship in Madrid.© Susana Girón / ANI 2020 Several Veterans Athletes compete in the 800-meter race during the World Veterans Athletics Championships in Daegu (South Korea).© Susana Girón / ANI 2020 An Australian master athlete during his race on the 3000 meters obstacles at world masters athletics championship in Malaga. © Susana Girón / ANI 2020 © Susana Girón / ANI 2020 Teresa Liras, master athlete 67years old, hold her gold medal at Madrid local championchip in Shot put at Gallur athletics stadium. © Susana Girón / ANI 2020 A group of masters athletes awaits on the field to take part on 60 meters race due to a trouble on the measure system. Madrid European Masters Athletics. © Susana Girón / ANI 2020 Giuseppe Ottaviani, Italian Master Athlete 102 years old, portrayed at Madrid during the European Masters Athletics championship. © Susana Girón / ANI 2020 Every year, thousands of Master athletes take part on official competitions around the world, getting to be one of the most crowded sporting events in the world. In these competitions, the categories to compete change every 5 years so that they are more balanced. Thus, starting at the age of 35, categories are established up to sometimes reaching +100 years … Like example, the 2018 World Masters Athletics saw more than 8200 athletes from 101 different nationalities take part in the official competitions. 25% of these athletes were older than 65 years old. The oldest ones, the Italian Giuseppe Ottaviani 102 years-old or the Indian woman Man Kaur 101 years-old, were the most extraordinary cases within a fascinating group of people that keep training and competing during the third age. The great majority began training at the age of 40 or 50 looking for a healthy lifestyle. But now, beyond the marks or records, competition is also an opportunity for traveling, making friends, keeping the illusion for life and getting older in a healthy way. They are just a group of elder people, that run quite fast, throw really far and jump incredibly high, but far from that they are an example for society, where values like effort, passion, determination or will not only belong to sport values but to human values too. Promoting what they do, on the one hand, will make people realize these inspiring activities, and on the second hand will give more value to elders in society, a group of age, that tend to be undervalued. In addition to photographing these athletes in action, jumping or running, I invited them to posses for a staged portraits after taking part on the competitions and write in their own handwriting an advice that they would give to a young person. INFOS PRATIQUES https://www.ani-asso.fr/ compte Instagram ANI @ani_assoc Marque-page1
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