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Partager Partager L'Invité·e Stéphane Brasca, directeur de publication De l’Air, est notre invité de la semaine La Rédaction28 septembre 2020 Temps de lecture estimé : 4minsLe magazine De l’Air souffle cette année ses 20 bougies. Un anniversaire célébré dans un contexte difficile. Leur 74ème numéro Spécial 20 ans a été bouclé en pleine période de confinement. Afin de rendre hommage à cette revue photographique, nous avons convié Stéphane Brasca, véritable chef d’orchestre du magazine. Nous explorerons l’histoire de De l’Air à travers 4 cartes blanches parcourant les découvertes des deux dernières décennies. Reporter de formation, Stéphane Brasca, 51 ans, a participé à la création à Paris du quotidien Le jour et du magazine féminin DS dans les années 90. En 2000, il fonde le magazine de l’air avec rien mais surtout en compagnie des photographes Grégoire Korganow et Julien Chatelin, le graphiste Gilles Poplin, les journalistes Daniel Roux et Christophe Dinocheau. Au fil des années et des numéros, de l’air devient un acteur incontournable de la presse photo se distinguant par une promotion permanente de la photographie d’auteur, notamment contemporaine. Servi par une maquette audacieuse et élégante, de l’air donne à voir une sélection de travaux photographiques issus du reportage, mais aussi de la mode, du land art, du portrait, du nu etc. Ce parti-pris lui permet de célébrer ses 10 ans à la MEP lors d’une grande expo justement intitulée « Génération de l’air ». Afin de donner de l’oxygène à de l’air, Stéphane Brasca développe très vite une activité plus rémunératrice en concevant et réalisant des magazines pour des groupes de presse ou des entreprises. Il signe ainsi dès 2003 pour Lafayette Gourmet la revue gastronomique Fantaisies ou la seconde version du mensuel culturel parisien En Ville. A force de publier des photos dans des magazines, Stéphane Brasca va être amené à les intégrer dans des livres à travers la maison d’éditions de l’air, des livres en édition limitée (avec Bernard Plossu, Antoine d’Agata, Olivier Roller, Marc Pollini, Marcel Bataillard…) ou sur des murs à travers des expos (comme chez agnès b., rue Dieu pour une rétrospective de l’air) ou dans des galeries, des musées (à Nice avec notamment Patrick Swirc Bertrand Desprez ou Elene Usdin), des festivals (à Arles en 2016, pour Western Colors avec Bernard Plossu). Depuis 2016, Stéphane Brasca vit et travaille entre Paris et Nice, sa ville natale où sont désormais installés les bureaux du magazine de l’air. https://delair.fr/ Portrait chinois de Stéphane Brasca Si j’étais une œuvre d’art : un dîner chez Mauro Colagreco à Menton Si j’étais un galerie ou un musée : celui ou celle que j’ouvrirai Si j’étais un artiste (tous domaines confondus) : Jeanloup Sieff Si j’étais un livre : Voyage au bout de la nuit Si j’étais un film : La ligne rouge, le nouveau monde, Paris Texas, le temps des Gitans, Carlito way’s, Mange tes morts Si j’étais un morceau de musique : Le Condamné à mort de Jean Genet par Etienne Daho et Jeanne Moreau Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Les baigneuses japonaises de Bertrand Desprez accrochées sur mes murs successivement depuis quinze ans Si j’étais une citation : Vis aujourd’hui, comme si c’était le dernier jour. Et fais des projets, comme si tu étais là pour l’éternité. Agatha Christie Si j’étais un sentiment : la joie, l’amour, la colère, la compassion… bref la confusion ! Si j’étais un objet : un livre Si j’étais une expo : « Un dictateur en images » au Pavillon Populaire à Montpellier en 2018. Commissariat d’Alain Sayag Si j’étais un lieu d’inspiration : La Méditerranée Si j’étais un breuvage : Un blanc de blancs Dom Ruinart Si j’étais un héros ou une héroïne : Tintin Si j’étais un vêtement : une combinaison en lin bleu Retrouvez les cartes blanches de notre invité > Carte blanche à Stéphane Brasca : Islande, île noire de Marc Pollini (le mardi 29 septembre 2020) > Carte blanche à Stéphane Brasca : Le photographe Julien Chatelin (le mercredi 30 septembre 2020) > Carte blanche à Stéphane Brasca : Prix Swisslife à 4 mains, l’un des prix les plus innovants dans la photo (le jeudi 1er octobre 2020) > Carte blanche à Stéphane Brasca : La photographe Elene Usdin (le vendredi 2 octobre 2020) Favori0
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