Carte blanche à Quentin Bajac : Regards. Un siècle de photographie, de Brassaï à Martin Parr 17 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Restitution des concertations de la DGCA avec les organisations professionnelles du secteur 17 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Quel avenir pour les archives photographiques de presse ? 2 jours ago
Un nouveau cycle – Rencontre avec Eric Karsenty, correspondant à l’Académie des Beaux-Arts 3 jours ago
Sous la Surface – Rencontre avec Christoph Wiesner, directeur du festival des Rencontres d’Arles 2 septembre 2024
La Part des Femmes publie une étude de cas visant à changer la lecture et la production des portraits de presse 1 juillet 2024
Masterclass Oeildeep : Maroc, Marrakech, Meknès, Mamicha, Moi… Michèle par Michèle Demier-Fabre 5 juillet 2024
Masterclass Oeildeep : Elles étaient une fois les 3 ELLES…Tamachaôts par Djamila Beldjoudi-Calin 21 juin 2024
Interview avec Sacha Guedj Cohen de la galerie Spiaggia Libera : ouverture de LA PLAGE (Marseille), un « espace de résistance par la création » 17 heures ago
Rentrée de l’art à Marseille, entretien avec Charlie Warde « Marseille a un côté Punk, expérimental et Do It Yourself en flux continu » 3 jours ago
MANIFESTA 15 Barcelone : Hedwig Fijen « Manifesta 15 vise à susciter un engagement plus profond à l’égard des défis et des possibilités propres à la région ». 6 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 9minsSuite de notre article publié hier, mardi 30 mars, consacré à l’exposition d’Alain Keler, « America » à la la Fisheye Gallery à Paris. Cette exposition qui présente ses premières images de New York, réalisées entre 1971 et 1975. Parmi elles, des inédites, exhumées des archives du photographe à l’occasion de la préparation de cette exposition. Un véritable retour aux sources. Time Out – Temps Libre Pour voir au plus près cette exposition, il faut entrer dans l’époque par l’image, remède à la dépression Covid qui s’étend en ce moment, dans une version plus consciente des enjeux présents où pointent de plus en plus ces renoncements aux libertés. Revenir aux 70, c’est de fait évoquer tout l’espace social d’alors en lutte contre l’establishment, comme l’avait été 68 en France. Revenir aux années 70, c’est encore respirer et revendiquer comme expériences toute la critique et tous les arts qui en étaient issus, dans cette respiration qu’offraient tant la Beat Generation, que les luttes pour les droits civiques et les manifestations pacifistes contre la guerre du Viêt-Nam, que la pop music se faisait la maitresse inspirée et pugnace du temps…Joplin, Hendrix, Morison, le Dead, Dylan, Cat Stevens, Guthrie (Arlo), concerts de Central Park, aventures, ballades new-yorkaises, un fond de l’air propre à séduire Alain Keler qui rentre dans la légende de ce NY Beat (frapper, battre) avec ses propres valeurs, inspiré, vibrant, aigu, aimant. America, s’adresse prioritairement aux générations qui n’ont pas connu les années 70, ni le New York de ces années là…Le photographe livre ici un bien beau témoignage de la ville toujours debout en ces années 71/75. Beat the time, time in, time out, toute une problématique est devenue un jeu avec le temps par la photographie. A travers elle, il faut regarder ces visages, ces corps, ces regards et ce qu’ils expriment, pour se retrouver de ce côté ci du miroir… America © Alain Keler / MYOP Alain Keler devient un personnage d’un film de Cassavetes, de Scorcese, de Lumet, ou de ce cinéma du réel des années 70, un cinéma d’actions, de situations et de combats, Beat, Battre, se battre. Toutes les photographies exposées ont la simplicité de l’évidence, tout est clairement présent de cet amour d’Alain pour l’énergie cosmopolite de New York et des new-yorkais, bien des citations affleurent dans ce travail. Et pourtant, tout est marqué, inconsciemment; des correspondances s’effectuent entre différentes œuvres. Une de ces correspondances avec America, America, le film d’Élia Kazan, tisse un réseau de sens non négligeable sur l’antécédence de l’empreinte inconsciente et imaginaire, symbolique, de la portée du cinéma d’Élia Kazan, de ce que veut, voulait dire immigration, exil, exode, terre Promise, passages, Eden. Il est ici question d’une scène primitive explicite à travers le récit que fait Alain Keler de son arrestation par l’immigration, alors qu’il est clandestin. Ce récit renvoie à une scène précise du film, pratiquement à sa fin. Alain écrit la scène de son arrestation par les services de l’immigration, avec un humour de romancier, la paire de chaussures coupable apparait dans le texte comme le signe, la preuve qui le désigne aux yeux de l’immigration. Il est donc arrêté. America, America se clôt pratiquement sur un drame, la dernière scène, si ma mémoire ne fait pas défaut, montre la paire de chaussure d’un des migrants clandestins, restée sur le pont du paquebot trans-océanique qui aborde enfin à Staten Island, (le film raconte la migration du jeune Stavros depuis l’Anatolie fin du XIX siècle, pour NY et toutes les épreuves traversées) et dont on comprend qu’elle constitue la seule trace de sa présence, après qu’il ait préféré se jeter du pont…suicide, disparition, sacrifice…. Le Travelling avant, très lent de la caméra de Kazan accuse une dramaturgie, cette puissance implacable du destin qui broie la vie; elle inscrit toute le drame existentiel que tout migrant doit affronter dans l’épreuve des dangers, de la mort, et cette part funeste d’un des personnages, voulant rejoindre New York, préférant la mort par noyade à l’arrestation de l’immigration et à l’échec. Cette séquence d’America America ne me semble pas étrangère à l’imaginaire du photographe . Elle en constitue un élément actif…. a mon sens dans un rapport secret et différencié à sa Psyché. De fait cette correspondance est présente dans l’exposition …comme une référence et une citation. America © Alain Keler / MYOP On retrouve cette image non photographiée dans le texte qui accompagne les photographies, c’est dire que la paire de chaussures d’Alain évoque une continuité d’America, America de Kazan pour s’affirmer dans une sorte de filiation, comme un passage de témoin. Cette image référente nait de l’écriture, elle n’est pas photographie, elle circule pourtant d’un récit à l’autre, d’une fiction à une réalité, du film America America, au projet d’Alain América, Americas. Toute la magie et le charme du travail d’Alain Keler résident en ces entre-aperçus des moments de vie qui s’éternisent parce que composés au plus près de sa propre fréquence, de son être profond, de la question de l’identité et de l’altérité, de l’exergue rimbaldien, de la réfraction libre du je est un autre, parfaitement assumée artistiquement parlant, face à l’Histoire, car déterminé par la question de la judéité en tant que système moral éthiquement investi. Une vision de l’Homme sous tend celle du Destin et de la liberté de chacun et plonge chacun dans une vie d’épreuves et de coups du sort, appelant ce Beat, ces combats afin de vivre pour faire oeuvre. La vie du photographe est un engagement au côté de la lumière, dans la sensualité de ses nuances , dans le don de cet oeil complice qui révèle et qui montre l’infinité du temps et son imperceptible mouvement, le cours secret du monde. Aujourd’hui c’est la Saint Patrick, Alain remonte Washington square, traverse Manhattan, se rend dans le Bronx, revient sur Soho, Alain arpente en tout sens New York et Photographie. C’est la raison de ce récit fleuve auto-biographique qui donne ses correspondances et qui aide à en prendre la mesure. Alain Keler a tout d’un Film Maker, d’un réalisateur, préférant joindre le texte à l’image sans passer par la caméra, le mouvement et sans doute le temps linéaire du film… Cette opération d’écriture engage une mémoire immense, aujourd’hui il se souvient de tout, des évènements, des gens, des situations, du jour, du temps qu’il fait, de ce qu’il ressent, de tout, et il l’écrit en marge de sa photographie, il raconte la trame même des évènements.. comme si tout s’était passé hier… Il faut lire ses textes, extrêmement instructifs, documentant les situations, expliquant de l’intérieur des évènements le pourquoi et le comment. Une narration imprime un climat, donne un tempo, réinstalle sa photographie dans un contexte et la situe dans toutes ses valeurs, documents, fictions, narrations. America © Alain Keler / MYOP La magie des images d’Alain de sa période new yorkaise, de 1971 à 1975, images éclairées de l’intérieur par une poétique de la présence au monde et de la célébration instinctive du vivant, est riche de sympathies, le Manhattan de Woody Allen ou du Greenwitch de Ginsburg, Dylan, au wha café où se croisent le Velvet, Nico, Wharoll, Klein, Kerouac, Patti Smith. Il faut être à l’écoute de ces images et se glisser dans ces aperçus des quotidiens, cette poésie décrite par Ginsberg et Kerouac (qui préfaça d’ailleurs The Americans) d’asphalte, de fumée, à la respiration des manifestations, des bars, de ces petits matins magiques, de ces dimanches habités, de ces quotidiens qui font en ce New York là, la matière même du rêve du photographe. On y voit sa version des Américains, dans une photographie sociale, documentaire, qui rêve sa filiation avec Walker Evans et trouve des correspondances avec ce cinéma du Réel de Robert Kramer, Jonas Mekas, Frederick Wiseman, Nicholas Ray, Wim Wenders, un cinema en Noir et Blanc, où la séparation entre l’approche documentaire et l’approche « fictionnalisante » n’est plus discernable… America © Alain Keler / MYOP … Peut-être faut-il apercevoir derrière Alain Keler, tout un cinéma américain, riche de son mythe, de ses mythologies, de ses reliefs et notamment de la mise en scène du quotidien et de ce qu’il découvre de la part fécondante du drame qui éclaire en contrepoint la beauté de l’éphémère, de ce qui se coule sans cesse au fond du regard et qui devient matière visuelle vivante, éclairs de génie dans l’approche d’une condition humaine, vue ici par le menu de son être là, dans une poétique qui sacre avant tout la vie et le vivant… Tout cela vient de l’exil et du coeur, de la fuite des repères, du magnétisme de l’instant, de la préservation et de l’établissement du cogito barthésien, la photographie est la preuve du ça a existé… le photographe a vécu dans un tremblement intérieur, retenu, passionné, dans une sorte de fièvre et de transe calmes, attitudes paradoxales issues de cette soif inextinguible de faire des photographies où tout d’un coup, un monde respire et se donne pour toujours dans un secret où se répondent le rêve et la réalité, anses du poète où se fait le temps, tout le temps du souvenir à actualité du présent de l’oeuvre. America © Alain Keler / MYOP A signaler l’exposition d’Alain Keler qui a lieu également, en ce moment, à la maison des associations à Rennes, sur le Delta du Mississippi et le Blues des champs de coton, au titre de Juke Joint blues… Magnifique travail du photographe sur ces bluesmen et leurs vies… – Pascal Therme, 18 Mars 2020 A venir aux Editions de Juillet, 2 livres d’Alain Keler, AMERICA, AMERICAS, devrait sortir cet automne et UN VOYAGE EN HIVER ce printemps. https://www.editionsdejuillet.com/collections/catalogue INFORMATIONS PRATIQUES Fisheye Gallery2, rue de l’Hôpital-Saint-Louis 75010 Paris jeu11mar(mar 11)14 h 30 minsam12jui(jui 12)19 h 00 minAmericaFisheye Gallery, 2, rue de l’Hôpital-Saint-Louis 75010 Paris Détail de l'événementAmerica est une exposition retrouvée sur les Etats-Unis des années 70. Certains négatifs n’ont été développés pour la première fois que dans la fin des années 90, et pour d’autres uniquement Détail de l'événement America est une exposition retrouvée sur les Etats-Unis des années 70. Certains négatifs n’ont été développés pour la première fois que dans la fin des années 90, et pour d’autres uniquement l’année dernière. La Fisheye Gallery invite à se plonger dans les images d’un jeune passionné qui deviendra le photographe que l’on connaît. Encore aujourd’hui, Alain Keler est le seul français, avec Gilles Peress, à être honoré du prestigieux Prix Eugene Smith, la plus importante reconnaissance de photojournalisme au monde. Et, pour la première fois, l’artiste signe une série limitée de 30 tirages par œuvre, uniquement disponibles à la Fisheye Gallery. En 1971, Alain Keler, 26 ans, arriva aux États-Unis, il vint par amour pour rejoindre une américaine qu’il a rencontré dans un précédent voyage en Asie. Un billet sans retour pour New-York et un attaché-case de ces photos sous le bras, il y rencontra John G. Morris légendaire directeur de la photographie du New-York Times, pour qui le travail du photographe « is not very exciting » mais qui l’invita à rester en contact. 26 ans plus tard, c’est le même homme qui l’appellera pour lui dire qu’il est le lauréat du Prix Eugene Smith – le plus prestigieux prix remis à un photojournaliste et toujours le seul français, avec Gilles Peress en 1984, à en être titulaire. Le fils de John G. Moris, Oliver, l’introduit à la Soho Photo Gallery, une galerie collaborative dont Alain Keler s’occupera et où il achètera son premier Leica M3 grâce à une myriade de jobs dégottés par l’employement agency tenue par Stanley sur West Broadway. L’appareil d’Alain Keler photographie sur son temps libre la ville à hauteur de foules, dans les rues de New-York ou de Washington lors de la seconde investiture de Richard Nixon, entre protestation et célébration. Son regard s’aiguise sur la ville américaine avant de rentrer en France et de rejoindre l’agence Sigma. Alain Keler est membre de l’Agence M.Y.O.P. depuis 2008. Il a auparavant travaillé pour les agences Sygma et Gamma, et a été co-fondateur d’Odyssey Pictures en 1989. Il a réalisé des reportages sur des conflits depuis les années 1980, au Liban, en Tchétchénie, en Israël, en Palestine, sur la révolution en Iran, sur la guerre civile au Salvador, … . Il a également travaillé sur la discrimination des Tsiganes en Europe. Ce dernier travail a donné lieu à une bande dessinée créée par Emmanuel Guibert et Frédéric Lemercier : Des Nouvelles d’Alain (2011). Il a réalisé deux documentaires : Le dernier voyage (2014), qui raconte l’histoire du convoi numéro 66 vers Auschwitz de sa mère ; et Parias, les Roms en Europe (2011). En 2015, il a publié, 1982, tiré de son blog qui est disponible à l’adresse http://alain-keler.tumblr.com En 2018, sa première monographie, Journal d’un Photographe, est publiée aux Éditions de Juillet. Il a reçu le prix Paris Match du photojournalisme (1986) pour son reportage « L’Éthiopie sous la pluie », et le World Press Photo dans la catégorie nature. En 1997, il a remporté le prix W. Eugene Smith pour son travail sur les minorités dans l’ancien bloc communiste. Un livre issu de ce travail, « Eastern Winds », a été publié par Marval en 2000. En 2004, il a été lauréat de l’Association 3P à Paris pour son projet Le pays de la terre qui brûle, sur la complexité du conflit israélo-palestinien. DatesMars 11 (Jeudi) 14 h 30 min - Juin 12 (Samedi) 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuFisheye Gallery2, rue de l’Hôpital-Saint-Louis 75010 Paris Fisheye Gallery2, rue de l’Hôpital-Saint-Louis 75010 ParisOuvert du Jeudi au Samedi 14h - 19h et le Dimanche 11h - 16h. Le matin sur rendez-vous. Get Directions CalendrierGoogleCal Maison des Associations Rennes6 cours des Alliés 35000 Rennes lun01fev10 h 00 minmer19mai(mai 19)18 h 00 minJuke Joint BluesAlain KelerMaison des Associations Rennes, 6 cours des Alliés 35000 Rennes Détail de l'événementPour l’année 2021, l’Espace d’exposition de la Maison des associations ouvre sa programmation avec l’exposition Juke Joint Blues du photographe Alain Keler. Elle s’inscrit dans le cadre du Festival Travelling Détail de l'événement Pour l’année 2021, l’Espace d’exposition de la Maison des associations ouvre sa programmation avec l’exposition Juke Joint Blues du photographe Alain Keler. Elle s’inscrit dans le cadre du Festival Travelling organisé par l’association Clair Obscur. Incontournable berceau du blues entre Memphis et Vicksburg, le Delta du Mississippi est considéré comme l’une des régions les plus défavorisées économiquement des États-Unis. Comme dans la majorité des États du Sud, la ségrégation y était très présente et les Noirs américains en subissaient lourdement les conséquences. Avec cette série de clichés capturés durant l’année 1986, le prestigieux photographe français Alain Keler nous invite à découvrir cette région à travers un voyage photographique rythmé par les clubs de blues locaux, les Juke Joint. Un moment contemplatif riche en histoire « là où la musique rythme les danses accompagnées de rires et d’une liberté que personne ne pourra contester. » Entrée libre – Port du masque obligatoire Des visites guidées de l’exposition sont prévues le 17 février et le 10 mars à 15h30, 16h30, 17h30 (réservation conseillée) DatesFévrier 1 (Lundi) 10 h 00 min - Mai 19 (Mercredi) 18 h 00 min(GMT+00:00) LieuMaison des Associations Rennes6 cours des Alliés 35000 Rennes Get Directions CalendrierGoogleCal Exposition à visiter sur rendez-vous uniquement ! A LIRE : Juke Joint Blues : Alain Keler nous dévoile son périple au Delta du Mississippi Alain Keler, un jour puis un autre… Alain Keler, D’un jour à l’autre Seconde partie La Comète : Rencontre avec le photographe Alain Keler Alain Keler annonce la sortie de son livre « Un voyage en hiver » aux éditions de Juillet Yves Bigot, donne carte blanche à Alain Keler Photographier n’est plus un long fleuve tranquille… Première monographie d’Alain Keler aux éditions de Juillet Lecture de Journal d’un photographe Carte blanche à Philippe Guionie : L’incertitude de l’Histoire Alain Keler Favori1
L'Edition Doppelgänger (Wild Morvan Tour) par Manu Jougla & Simon Vansteenwinckel On sous-estime trop souvent les potentialités de certains lieux. Le Morvan, par exemple, est rarement vu comme la Mecque de la street ...
Evénements Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Restitution des concertations de la DGCA avec les organisations professionnelles du secteur La 5ème édition du Parlement de la Photographie sur la thématique « Penser ensemble le futur de la Photographie » s’est déroulée au Palais ...
L'Invité·e Carte blanche à Quentin Bajac : Regards. Un siècle de photographie, de Brassaï à Martin Parr Pour sa deuxième carte blanche, notre invité de la semaine, le directeur du Jeu de Paume, Quentin Bajac nous dévoile la sortie ...
Evénements Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Quel avenir pour les archives photographiques de presse ?
Evénements Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Performance, une commande photographique du Cnap
Evénements Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Carte blanche aux Etats généraux de la Photographie (2nd partie)
Carte blanche à Quentin Bajac : Regards. Un siècle de photographie, de Brassaï à Martin Parr 17 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Restitution des concertations de la DGCA avec les organisations professionnelles du secteur 17 heures ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Quel avenir pour les archives photographiques de presse ? 2 jours ago
Un nouveau cycle – Rencontre avec Eric Karsenty, correspondant à l’Académie des Beaux-Arts 3 jours ago
Sous la Surface – Rencontre avec Christoph Wiesner, directeur du festival des Rencontres d’Arles 2 septembre 2024
La Part des Femmes publie une étude de cas visant à changer la lecture et la production des portraits de presse 1 juillet 2024
Masterclass Oeildeep : Maroc, Marrakech, Meknès, Mamicha, Moi… Michèle par Michèle Demier-Fabre 5 juillet 2024
Masterclass Oeildeep : Elles étaient une fois les 3 ELLES…Tamachaôts par Djamila Beldjoudi-Calin 21 juin 2024
Interview avec Sacha Guedj Cohen de la galerie Spiaggia Libera : ouverture de LA PLAGE (Marseille), un « espace de résistance par la création » 17 heures ago
Rentrée de l’art à Marseille, entretien avec Charlie Warde « Marseille a un côté Punk, expérimental et Do It Yourself en flux continu » 3 jours ago
MANIFESTA 15 Barcelone : Hedwig Fijen « Manifesta 15 vise à susciter un engagement plus profond à l’égard des défis et des possibilités propres à la région ». 6 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photo 2024 : Restitution des concertations de la DGCA avec les organisations professionnelles du secteur