Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective 10 décembre 2025
Planches Contact Festival : Henrike Stahl déconstruit le mythe du prince charmant et de la vie de château 6 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Veronica Mecchia, Photographe et modèle d’Arno Rafael Minkkinen 9 décembre 2025
Rencontre Delphine Dumont, directrice Hangar Bruxelles : PhotoBrussels Festival #10, Bicentenaire de la photographie x CNAP 8 décembre 2025
« There is a crack in everything » Musée Juif de Belgique, rencontre Barbara Cuglietta : La faille est indissociable de la lumière 1 semaine ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 10 décembre 2025
Partager Partager Eric Guglielmi était photojournaliste, photographe et éditeur, sa galerie vient d’annoncer sa tragique disparition à l’âge de 51 ans. Autodidacte, c’est au début de son adolescence qu’il commence à faire de photos. Il débute sa carrière en chambre noire, qu’il lui donnera une véritable passion pour le tirage. Il quitte le laboratoire pour parcourir et raconter les histoires du monde qu’il confie à la presse. Il arrête le photojournalisme pour des travaux aux longs cours et troque son boîtier pour une chambre grand format. Sa dernière série, telle une prophétie, s’intitulé « Paradis Perdu »… Nous partageons ici l’hommage, de sa galerie. Eric Guglielmi © Thierry Arensma Éric fut l’un des tout premiers artistes de la galerie Maubert, présentant ses clichés du fleuve Niger dès la troisième exposition, il y a 10 ans. Il laisse une œuvre monumentale, passant plus de 30 ans à sillonner le monde : en Europe, en Amérique du Sud et surtout en Afrique. Artiste bouleversant et bouleversé, il quitte le photojournalisme en 2002 pour construire une réflexion de long cours, à revers de l’actualité, nous permettant de « voir différemment ». Fidèle à ses origines ardennaises, il signe deux séries cultes autour du poète Rimbaud et de la forêt ardennaise. Sa dernière série Paradis Perdu nous amène dans la forêt du bassin du Congo, deuxième poumon vert de la terre, auprès des tribus Baka, victimes de la déforestation. Au delà de son rôle de photographe, Éric marque d’une empreinte inoubliable la Galerie Maubert, lui permettant de découvrir, dans son atelier, le travail caché de Payram, ou nous présentant, toujours bienveillant, le travail d’Arnaud Lesage via la sublime édition d’Anatopée aux Éditions GANG, qu’Éric avait fondées en 2010. Puriste du tirage, il n’hésitait pas à accompagner les autres artistes de la galerie, Laurent Goldring, Jonas Delhaye, Nicolas Floc’h, qui lui seront éternellement reconnaissants. Nos pensées vont à ses trois enfants, sa compagne, ses parents, ses fidèles amis, tous les jeunes photographes qu’il a formés et aidés, sans hésitation, notamment Franck et Louis, tous ses admirateurs du Doc, où il a créé le laboratoire argentique pour tous les artistes qui souhaitaient s’y essayer (du tirage aux sels d’argent au Platine palladium ou bien à la gomme bichromate qu’il venait tout juste de dompter), tous les collectionneurs, directeurs d’institution, amis de musée qui venaient l’écouter avec passion. Franc, engagé, honnête, passionné, généreux, Éric était un ami. C’est en sa compagnie que nous avons passé les plus beaux moments à l’écouter refaire le (son) monde. Son amour de l’autre, son engagement et sa lutte contre l’indifférence resteront à jamais gravés dans sa magnifique oeuvre que nous continuerons à faire vivre grâce à vous. https://www.galeriemaubert.com/eric-guglielmi Marque-page1
Une féministe à l’Académie des Beaux-Arts ? Une candidature trop audacieuse Entretien avec Marie Docher
9Lives Dernière halte avant 2026 ! C’est l’heure du bilan, le temps suspendu de l’édito de fin d’année. J’ai l’impression que celui de 2024 date d’hier – ou ...
Photo Échos d’un monde en mouvement par Céline Ravier Cette semaine, pour clore l’année 2025, nous vous proposons de découvrir le dernier portfolio : Dans le souffle incessant du monde, de ...
L'Interview Planches Contact Festival : Henrike Stahl déconstruit le mythe du prince charmant et de la vie de château Née en Allemagne, Henrike Stahl s’installe à Paris après son Bac comme assistante-photographe, et travaille rapidement dans la mode et la presse, ...
Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective 10 décembre 2025
Planches Contact Festival : Henrike Stahl déconstruit le mythe du prince charmant et de la vie de château 6 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Veronica Mecchia, Photographe et modèle d’Arno Rafael Minkkinen 9 décembre 2025
Rencontre Delphine Dumont, directrice Hangar Bruxelles : PhotoBrussels Festival #10, Bicentenaire de la photographie x CNAP 8 décembre 2025
« There is a crack in everything » Musée Juif de Belgique, rencontre Barbara Cuglietta : La faille est indissociable de la lumière 1 semaine ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 10 décembre 2025