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L'Invité·e David Fourré, des éditions Lamaindonne, est notre invité La Rédaction13 décembre 2021 Partager Partager Temps de lecture estimé : 4minsPour cette dernière semaine, avant le break de fin d’année, nous accueillons David Fourré, des éditions Lamaindonne. En 2021, ce sont 37 invité·es et une agence qui se sont prêté·es au jeu de cette carte blanche éditoriale. Au total, 165 professionnel·les du monde de l’image ont participé à offrir une part de leur vision. Pour terminer l’année en beauté, c’est au tour de David de partager son univers. Chacun de ses ouvrages et un plaisir des yeux, « Monica” d’Yves Trémorin a d’ailleurs été primé finaliste dans la catégorie “Monographie artistique” à l’occasion des HiP, et le petit dernier « On the night that we leave » d’Alisa Resnik est un véritable bijou. David Fourré est entré dans le monde de l’édition avec l’édition jeunesse, en travaillant à partir de 1995 pour les éditions du Rouergue. Encore aujourd’hui, il s’occupe avec Olivier Douzou des albums jeunesse de cette maison d’édition. C’est en 2011 qu’il crée les éditions lamaindonne, une structure d’édition exclusivement dédiée à la photographie d’auteur. Sans ligne éditoriale clairement définie au début, le catalogue existant 10 années plus tard montre néanmoins des orientations communes à l’ensemble des publications, à savoir la mise en avant d’une photographie intime et un soin particulier apporté à l’éditing et à la mise en lumière d’une véritable écriture photographique. Lamaindonne, c’est un catalogue d’une vingtaine de titres et une douzaine d’auteurs : Julien Coquentin, Alisa Resnik, Martin Bogren, Gilles Roudière, Gaël Bonnefon, Gabrielle Duplantier, Yves Trémorin, Ljubisa Danilovic, Joseph Charroy, Denis Roche, Gilles Mora, Guillaume Geneste… http://www.lamaindonne.fr Le portrait chinois de David Fourré Si j’étais une œuvre d’art : Sans doute un tableau de Cézanne, “Les Baigneurs” Si j’étais un musée : Pour tout ce qu’ils représentaient, pour les découvertes que j’y ai faites, pour l’ambiance qu’ils dégageaient et parce qu’ils manquent aujourd’hui, les anciens ateliers SNCF à Arles. Si j’étais un artiste : Fantazio pour sa faculté à toujours étonner à chaque fois qu’on le voit en concert. Si j’étais un livre : “Les Fleurs bleues” de Raymond Queneau, et toute son œuvre en général. Si j’étais un film : “Trains étroitement surveillés” de Jiri Menzel pour la beauté de son image et sa modernité… Si j’étais un morceau de musique : Aguas do março”, interprété par Elis Regina. Si j’étais un photo accrochée sur un mur : Celles que j’ai chez moi sur les murs… Si j’étais une citation : J’avais été marqué par ce que racontait Sarah Moon en évoquant Robert Delpire, dans une émission sur France Inter. Robert Delpire lui disait : “Le bonheur, c’est faire. Le malheur, c’est ne pas faire.” C’est tout simple, mais ça me parle vraiment. Si j’étais un sentiment : la curiosité même si ce n’est pas vraiment un sentiment… Si j’étais un objet : un des cailloux ramenés de vacances, qui traînent devant mon écran d’ordinateur. Si j’étais une expo : “Danser sa vie” à Pompidou, en 2011. La scénographie était vraiment bluffante dans sa diversité. Si j’étais un lieu d’inspiration : Un endroit bien précis en haut d’une colline, entre vignes et forêt, juste au-dessus de chez moi… Si j’étais un breuvage : Un vin blanc sec, le côtes d’Auxerre de Goisot. Si j’étais un héros: Colin et Chloé de “L’Écume des jours” de Boris Vian. Pour moi, ils ne sont pas humains, ce sont des anges… Si j’étais un vêtement : Une chemise colorée faite maison. CARTES BLANCHES DE NOTRE INVITÉ • Carte blanche à David Fourré : SQEVNV : un projet de livre de Celine Croze (mardi 14 décembre 2021) • Carte blanche à David Fourré : la galerie Confluence devient le centre Claude Cahun (mercredi 15 décembre 2021) • Carte blanche à David Fourré : Gabrielle Duplantier et lamaindonne (jeudi 16 décembre 2021) • Carte blanche à David Fourré : France Photobook : promouvoir l’écriture photographique (vendredi 17 décembre 2021) A LIRE Carte blanche à Céline Pévrier : SUBMIT ou de la coédition – dialogue avec David Fourré – éditions lamaindonne Monica, d’Yves Trémorin. L’amour à l’œuvre Lisa Gervassi : Mommy, un projet d’édition qui peut devenir réalité ! Volta de Gabrielle Duplantier réédité ! Le Palmarès de la 3ème édition du Prix HiP du livre de photographie francophone Favori0
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