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Partager Partager Temps de lecture estimé : 10minsLe Champ des Impossibles.03, dont la thématique centrale est l’arbre, se déroule jusqu’au 12 juin 2022. Parmi les nouveaux sites du Parcours Art et Patrimoine, le Cent8 à Nogent-le-Rotrou accueille trois artistes, qui, chacun à sa manière, offrent une vision singulière du rapport de l’homme avec la nature. Découvrons aujourd’hui Raphaëlle Peria, Thierry Bronchart et Ashley Ashford Brown. Le Parcours Art et Patrimoine du Champ des Impossibles en Perche s’élargit cette année à de nouvelles communes, dont Nogent-le-Rotrou, la capitale du Perche. Parmi les trois lieux d’exception choisis pour héberger des expositions, le Cent8 (108, rue Saint-Hilaire) est un hôtel dont la construction remonte aux XVIe et XVIIe siècles. Trois artistes – une dessinatrice, peintre et photographe ; un graphiste féru d’aquarelle et de fusain ; et un peintre celte combinant pigments et… ciment – investissent son rez-de-chaussée pour célébrer l’arbre et le monde végétal, au cœur de la thématique du Parcours cette année. Raphaëlle Peria – Questionner la dualité homme-nature Née en 1989, Raphaëlle Peria, formée à l’École d’art de Bretagne, elle expérimente diverses techniques artistiques : gravure, peinture, dessin, sculpture, sur différents supports : papier, bois, métal, etc. Puis elle explore la photographie, lors d’un tour du monde et initie sa photothèque personnelle. Éprouvant une attirance pour les cultures asiatiques, principalement japonaise et chinoise, elle en a adopté certains fondements artistiques : « En occident, on parle du paysage en se situant à l’extérieur, dans une sorte d’opposition. En orient, l’homme est partie intégrante du paysage. Dans mon travail, je questionne la dualité entre l’homme et la nature, dans un engagement qui est plus poétique que politique, qui laisse chacun libre d’interpréter l’œuvre qui lui est proposée, mais qui célèbre aussi la liberté de l’artiste de choisir ses supports et ses thématiques. » Raphaelle Peria, Hopea Odorata #5, 2019, Dorure et grattage sur photographie, 60×45 cm, Courtesy de l’artiste et Galerie Papillon Raphaelle Peria, Hopea Odorata #6, 2019, Dorure et grattage sur photographie, 60×45 cm, Courtesy de l’artiste et Galerie Papillon Dans ses œuvres présentées au Cent8, Raphaëlle Peria a développé une technique inédite de grattage sur photographie qui symbolise les assauts répétés à l’encontre de la biodiversité. Une première série, intitulée « Hopea Odorata » (une plante cambodgienne en voie de disparition), propose des images d’arbres envahissant des temples, taillés par l’homme qui ne peut ni les laisser pousser, ni les enlever, au risque de faire disparaître le patrimoine. Outre le grattage des clichés, l’artiste ajoute parfois des dorures ou des touches d’encre, pour souligner le caractère sacré des temples et traquer ce qui subsiste des attaques du temps et de l’homme. La deuxième série, plus personnelle, a été réalisée lors d’une résidence d’artiste de 6 mois en Picardie, sa région d’origine. « On parle souvent de paysages « naturels », mais l’idée me semble un peu idyllique. Il n’existe plus de lieux « sauvages » en France, les paysages sont entièrement façonnés par l’homme. Cet homme qui se contemple dans le paysage… En grattant une portion de l’image, j’obtiens un espace « vide », c’est à dire blanc – la couleur de l’oubli, selon Pastoureau. J’utilise une gouge, ou un scalpel, ou encore une fraise de dentiste ! Je m’efforce de produire des images à la fois belles et dérangeantes ». Avec la photographie grattée, cette plasticienne met en relief la fragilité de la nature, sous la violence des coups de l’homme, dans une sorte d’inventaire visuel mi-réel, mi-imaginaire. Thierry Bronchart – Mourir pour mieux renaître Portrait de Thierry Bronchart © Garance Corteville « Chaque printemps, les arbres semblent renaître avec de jeunes feuilles, selon un cycle que rien ne semble arrêter. Cette vie qui ne meurt que pour renaître est le contraire d’une tragédie ». Cette citation de Florence Burgat, Directrice de recherche à l’INRA, résume parfaitement le travail proposé par Thierry Bronchart. Diplômé de l’École des Arts Appliqués Duperré, ce graphiste fut Directeur artistique en agence et se consacre, depuis qu’il est freelance, à l’identité visuelle et l’édition d’art. Sans titre, Série Bryophyta, 2022, Fusain sur papier © Thierry Bronchart Sans titre, Série Bryophyta, 2022, Aquarelle © Thierry Bronchart Sans titre, Série Bryophyta, 2022, Aquarelle © Thierry Bronchart Crusifix, Série Bryophyta, 2021-2022, Aquarelle © Thierry Bronchart Demeurant dans le Perche depuis 2016, dans une maison du XVIe siècle, au bout d’un chemin, il a assouvi son rêve « de créer un jardin pour observer et comprendre avant de le peindre ». Lui qui ne se « considère pas comme un artiste mais comme un dessinateur, c’est à dire avant tout un observateur, à la manière d’un dessinateur de presse » a produit une première série d’aquarelles sèches sur vélin et de dessins au fusain qui revisitait la tradition des planches botaniques, en représentant des végétaux après leur maturité, c’est à dire quand elles se dégradent. Le titre de cette série – « Sénescence » – est une référence à Bacon, son peintre préféré, qui aimait lui aussi souligner que « tout est mortel ». La nouvelle série qu’il présente au Cent8, dans le cadre du Champ des Impossibles .03 s’attache aux mousses, aux lichens qui colonisent les morceaux de bois disséminés dans la forêt. Aquarelles sèches et fusains de différentes tailles célèbrent ce foisonnement de vie insoupçonné qui s’accroche et se multiplie sur du bois mort. « Je peins d’après nature ou de mémoire ou encore à l’aide de photos. L’idée de la série est de dépasser le constat de Bacon pour mettre en relief le cycle incessant vie-mort qui rythme nos saisons. En réalité, comme l’explique Florence Burgat, il n’y a rien de mort dans la nature. En prenant le temps d’observer, on prend conscience de cette abondance intense de la vie. Même en automne ou en hiver, on remarque des mousses flamboyantes, les morceaux de troncs ressemblent à des membres et on peut reconnaître des formes singulières dans l’écorce. Plus on regarde, plus le monde végétal dévoile ses secrets, laissant entrevoir une force qui nous dépasse ». Patiemment, à coups de pinceaux précis, Thierry Bronchart entre dans le détail de cette force végétale et invite à méditer sur la place que nous occupons au milieu de cette nature pleine de vie, dans des aquarelles s’apparentant à des natures mortes… vivantes. D’ailleurs, humus, homme et humilité partagent la même racine latine. Ashley Ashford Brown – Des arbres dans l’alphabet celtique Série L’alphabet des arbres © Ashley Ashford Brown Série L’alphabet des arbres © Ashley Ashford Brown Série L’alphabet des arbres © Ashley Ashford Brown Né en Angleterre, Ashley Ashford Brown a été élevé près de Stonehenge, au cœur de la région qui concentre le plus de monuments néolithiques en Europe. Il vit en France depuis les années 60 et s’est installé dans le Perche il y a 6 ans. Sa jeunesse au milieu des lieux sacrés néolithiques l’a profondément marquée. Arrivé en France les poches vides, il se livre à diverses expérimentations pour remplacer la peinture, un produit plutôt coûteux à l’époque. La découverte de Tàpies et d’autres artistes travaillant la matière l’encourage dans cette voie. Rapidement, le ciment blanc devient le fondement de sa démarche. Mélangé avec un liant acrylique, un peu de poussière et des pigments opposés sur le spectre des couleurs (surtout des terres pour aller vers le bleu), le ciment, à la fois robuste et souple, donne une qualité mate et crayeuse aux toiles de l’artiste. Celui-ci se transforme parfois en alchimiste, ajoutant du thé à son mélange, « l’artiste et l’œuvre partageant alors la même boisson ! ». Si le calcaire contenu dans le ciment reflète la lumière de façon différente selon l’heure du jour, le thé offre des blancs d’une profondeur intense. La culture celte est au cœur de l’œuvre d’Ashley Ashford Brown. Il s’intéresse notamment à un texte vieux de plusieurs millénaires – le « Duan Amhairghine » – qui est à la fois un chant et un récit épique des mythes fondateurs Irlandais, analysé en détail par Robert Graves dans « The White Goddess » (publié en 1948). Série L’alphabet des arbres © Ashley Ashford Brown Série L’alphabet des arbres © Ashley Ashford Brown « L’arbre est un élément central de cette culture multimillénaire, longtemps transmise de génération en génération par voie orale. Les 25 lettres de l’alphabet celtique portent des noms d’arbres ou de plantes sacrées. Elles sont reliées également aux saisons et l’alphabet devient ainsi un calendrier. L’arbre cosmique est au cœur des mythes fondateurs de nombreuses civilisations. « Le lien entre le monde souterrain et le monde céleste » selon Taghore. Celui qui relie nos origines – les racines – et le ciel, dans un mouvement d’élévation de la conscience. Mais également celui que l’on oublie, duquel on s’éloigne, dans nos sociétés dites modernes. De l’arbre, je suis naturellement passé au paysage : si l’arbre est une lettre, les forêts sont des phrases ou des textes ». Ashley Ashford Brown puise également son inspiration dans d’autres civilisations anciennes, comme dans les songlines (pistes de rêve) des aborigènes australiens ou l’art pariétal de Chauvet ou Lascaux, dans une volonté de remonter aux origines de l’art, qu’on associe souvent au chamanisme. Au Cent8, l’artiste présente une dizaine de toiles de grand ou très grand format, issues de cette thématique récurrente dans son œuvre depuis 30 ans. Ces toiles peintes au ciment, d’où débordent parfois quelques lettres plus ou moins dissimulées symbolisant la mémoire qui fait défaut, comportent une touche minérale, voire tellurique, ainsi qu’un effet de relief, atténué par des teintes douces, rappelant celles des tapisseries anciennes aux couleurs un peu passées. Des œuvres magnifiées par la lumière de la véranda du Cent8, qui se prête idéalement aux jeux de couleurs imaginés par cet artiste, à la fois maçon, historien, alchimiste et naturaliste. *** Le Cent8, un hôtel construit au XVIIe siècle, conservant quelques pièces plus anciennes comme les caves du XVIe, a été repris par Annick et François Attali en juillet 2021. Il est formé de plusieurs corps de logis, dont un central flanqué deux ailes latérales, et d’un joli jardin que l’on admire depuis la magnifique véranda. Vivant dans le Perche depuis une quinzaine d’années, ce couple désireux de soutenir les artistes contemporains le transforme en lieu d’exposition, qu’il va combiner avec un salon de thé proposant toute la journée une restauration rapide (snacking). A terme, au salon de thé, sera adossée une boutique d’objets artisanaux uniques. Les œuvres seront renouvelées fréquemment, avec l’ambition « de métisser les artistes et les supports ». Plus d’information : www.lechampdesimpossibles.com INFORMATIONS PRATIQUES Moulin Blanchard11 Rue de Courboyer 61340 Perche-en-Nocé sam07mai(mai 7)10 h 00 mindim12jui(jui 12)18 h 00 minLe Champ des ImpossiblesParcours Art et Patrimoine en Perche .03Moulin Blanchard, 11 Rue de Courboyer 61340 Perche-en-Nocé Détail de l'événementL’édition 2022 alimente le perche sud d’un souffle contemporain en investissant des lieux d’exception choisis en dialogue avec les oeuvres présentées. le parcours irrigue 70 km de vallons, à partir Détail de l'événement L’édition 2022 alimente le perche sud d’un souffle contemporain en investissant des lieux d’exception choisis en dialogue avec les oeuvres présentées. le parcours irrigue 70 km de vallons, à partir de son épicentre le Moulin Blanchard et la commune de Perche-en-Nocé pour s’élargir à d’autres communes avoisinantes de la CDC Coeur de perche, St Cyr la Rosière et cour Maugis sur Huisne. La capitale du perche, Nogent-le-Rotrou ouvre pour la première fois quelques-uns de ses lieux secrets. D’une douzaine de lieux en 2019 à 14 en 2021, ce sont 17 sites, patrimoniaux pour la plupart qui ouvrent leurs portes pour cette 3ème édition. dans les villages, églises, belles demeures et galeries s’ouvrent au public les week-ends, tandis que des institutions comme l’ecomusée du perche et le parc naturel régional du perche seront ouvertes en semaine, permettant aux visiteurs de découvrir l’ensemble du parcours sur deux à trois jours. Les expositions offrent une belle représentativité de la scène française, donnent à voir les travaux réalisés par les artistes en résidence et ceux d’autres auteur(e)s vivants sur ce territoire riche en créateurs. au total 32 artistes sont présentés pour la plupart à travers une exposition personnelle ou une installation in-situ tandis que le jardin du Moulin Blanchard commence à s’orner de quelques sculptures monumentales. Le fil conducteur de cette troisième édition est l’arbre. Thème fédérateur, il traverse l’humanité, abreuve la littérature et l’histoire de l’art. il est au centre de nos préoccupations environnementales, qu’il soit sujet, matière première, cosa mentale ou au coeur des débats citoyens, il étaye des démarches artistiques qui répondent par leur diversité à la volonté d’ouverture de la commissaire générale. Christine Ollier propose à travers cette trame un large panel d’expressions contemporaines en faisant résonner création et lieu d’exposition. enfin ce beau thème, s’il est de toute actualité, il rend aussi hommage au perche, territoire ancestral aux vastes étendues forestières et dont le sens éponyme signifierait “grande forêt”. LE CHAMP DES IMPOSSIBLES.03 PARCOURS ART ET PATRIMOINE EN PERCHE 2022 L’ensemble des expositions démontre de la diversité des expressions et des contenus que peuvent susciter une telle thématique. La photographie est au coeur du festival et représente plus de 50% des expositions avec des écritures fort différentes les unes des autres. Certaines forment des odes végétales aux quatre saisons avec des portraits d’arbres séculaires sublimés par l’usage de la chambre presque aussi ancestral – Chritian Vallée et Philippe Grunchec. D’autres se réapproprient des techniques anciennes, les transposent pour offrir de nouveaux regards – Anaïs Boudot, Philippe Durand. Deux plasticiennes ont mis au point des écritures inédites : Raphaëlle Peria redessine sur la surface du tirage au scalpel tandis que Lisa Sartorio exprime les écorchures de l’histoire et du temps à travers un travail aux frontières de la photographie, du volume et de l’installation. D’autres photographes fleurtent avec les mythologies intérieures – Israel Ariño, Sandra Städeli. L’inventaire des typologies forestières à travers le monde de Laurent Monlaü évoque ce qu’il reste de la majesté de nos paradis perdus tandis qu’Andréa Mantovani raconte à travers une série documentaire – fiction l’épopée des dernières forêts primaires de l’est de l’Europe et la lutte de ceux qui se battent pour leur sauvegarde. D’autres photographes ont oeuvré sur le territoire du Perche. Patrick Bard a pénétré les taillis de la forêt plantée de milliers d’arbres par l’artiste et architecte autrichien F. Hundertwasser, site secret où il avait implanté une colonie d’artistes dans les années 60-90. Lors de sa résidence au long cours à Perche-en-Nocé Grégoire Eloy du collectif Tendance Floue, a exploré une parcelle de forêt toute proche et les êtres qui l’habitent, ou, la transforment. Il a conçu une installation documentaire à partir de l’expérience qu’il a partagé avec son complice Marc-Emmanuel Berville constructeur d’une cabane clandestine cachée parmi les arbres. Lors de ses divers séjours en 2021, le photographe Adrien Boyer a porté son regard sur le territoire percheron et ses paysages au fil des saisons. Cet ample travail documentaire est l’occasion d’un beau parcours en extérieur dans le Parc du Manoir de Courboyer qui durera tout l’été. Cette résidence a fait l’objet d’un carnet à même titre que 6 autres à paraitre en avril Chez Filigranes en coédition avec Art Culture & Co sur les artistes Grégoire Eloy, Enzo Mianes, Loïc Pantaly, Catherine Poncin, Lisa Sartorio et Edouard Wolton en conversation avec des auteurs aussi divers que Marc-Emmanuel Berville, Emmanuel Berck, Christian Michel, Christian Gattinoni, Selma Bella Zarhloul et Youry Timsit. En dessin, il fut difficile de sélectionner tant il y a pléthores de pratiques. Pour n’en montrer que quelques-unes ont été privilégiées : les dessins au graphite de Mathieu Maignan, invité par le Manoir de Lormarin, qui donne à voir de grands portraits en pied subtilement stylisés par le trait et les surfaces au noir ; les aquarelles inédites de Thierry Bronchart qui esquisse précieusement des motifs auxquels il confère une autonomie plastique inattendue. Entre sculpture et dessin les arbres tranchés et les racines trouvées d‘Enzo Mianes réactivent le corps et l’histoire qui y est inscrite. En complément, La délicatesse des dessins en broderie de Frédérique Petit dialogue avec les fresques de la précieuse église de St Jean La Forêt. Ailleurs, l’installation de grandes aquarelles conçues par la jeune Salomé Fauc résonnera avec la richesse décorative de l’église de Courcerault grâce au soutien du Fonds Regnier pour la création. En peinture, même si le sujet est plus rare chez nos contemporains Gaël Davrinche, Edouard Wolton, Ashley Ashford-Brown relèvent le défi et peignent des univers où le végétal forme le trait et porte haut la couleur. Quant aux céramistes Manoli Gonzales et Murielle Joubert, elles usent de la délicatesse du biscuit pour conserver la trace des écorces ou des feuilles. La vidéo est également présente dans ce parcours d’art contemporain grâce aux films de Marcel Dinahet et de Jean-Claude Ruggirello. Enfin des sculpteurs-installateurs présentent des volumes à partir de l’arbre lui-même comme Martin Monchicourt et Sylvain Ristori. L’arbre de S. Ristori, également financé grâce au Fonds Régnier pour la Création, est placé de façon pérenne dans le jardin de sculptures du Moulin Blanchard, qui sera ouvert jusqu’en septembre pour un 1er petit parcours. Cette oeuvre monumentale voisine le Belvédère de Rico D’Ascia et d’Antoine Lauvaux mis en place en 2021 et animé des siestes sonores d’Anne Pastor et The Wholly of Holies de Téo Bétin présentée à 2019 et réinstallée au printemps dans ce futur parc tandis que la grande cour accueille les oeuvres offertes par Frédérique Petit et Pierre Tual et qu’enfin les images de Patrick Bard habitent le petit verger. 9 Lives magazine est partenaire de l’événement. DatesMai 7 (Samedi) 21 h 00 min - Juin 12 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuMoulin Blanchard11 Rue de Courboyer 61340 Perche-en-Nocé Get Directions CalendrierGoogleCal Les samedis et dimanches de 14h00 à 19h00 Entrée 10 euros pour les 17 sites d’expositions du Parcours – tarifs réduits (5 euros) et gratuité jusqu’à 18 ans Favori0
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