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« Chaque vie est une histoire », 13 artistes internationaux pour lever le voile au Musée national de l’histoire de l’immigration 24 heures ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 5minsPour ses deux dernières cartes blanches, notre invité de la semaine, le photographe plasticien François Delebecque partage avec nous une sélection de photographes dont il apprécie la continuité et la démarche. Aujourd’hui, nous vous présentons l’univers des six derniers photographes, en texte et en images : Isabelle Chapuis, Jacques Pugin, Jean de Pomereu, Lionel Bayol Thémines, Nicolas Dhervillers et Sanjyot Telang ! Lorsque je contemple une oeuvre -quelque soit sa nature- j’aime pouvoir y déceler l’esprit de son (sa) créateur (créatrice). Voici une sélection d’une douzaine de photographes dont j’apprécie la continuité de la démarche. Ailées © Isabelle Chapuis Ailées © Isabelle Chapuis Ailées © Isabelle Chapuis Isabelle Chapuis & Duy Anh Nhan Duc, série « C’est en croyant aux roses qu’on les fait éclore. Isabelle Chapuis développe une approche holistique de la photographie, embrassant l’être humain dans ses dimensions physiques, mentales, énergétiques, émotionnelles et spirituelles… tout ceci transparait dans cette exposition inaugurale de la Galerie le 110 à Paris. Enfin un travail sur le corps positif, d’une poétique et d’une douceur magnifique, et qui nous élève ! Certaines images sont faites en association avec le plasticien végétal Duy Anh Nhan Duc, quelle sublime connivence ! La 110 Galerie110 rue Saint Honoré 75008 Paris ven03jui(jui 3)11 h 00 minven30sep(sep 30)20 h 00 min« C’est en croyant aux roses qu’on les fait éclore… »Isabelle Chapuis & Duy Anh Nhan DucLa 110 Galerie, 110 rue Saint Honoré 75008 Paris Détail de l'événementPour son exposition inaugurale, du 3 juin au 24 septembre 2022, la 110 Galerie célèbre le végétal et le vivant. L’exposition, composée de trente oeuvres, rassemblera les travaux personnels de Détail de l'événement Pour son exposition inaugurale, du 3 juin au 24 septembre 2022, la 110 Galerie célèbre le végétal et le vivant. L’exposition, composée de trente oeuvres, rassemblera les travaux personnels de la photographe plasticienne Isabelle Chapuis ainsi que deux séries réalisées en collaboration avec le plasticien végétal Duy Anh Nhan Duc dontsept pièces seront inédites. Le thème de cette exposition s’inspire de l’histoire du lieu : en effet, en 1922, une fleuriste ouvre ses portes au 110 rue Saint Honoré. « C’est en croyant aux roses qu’on les fait éclore » sera la première présentation de la série VIVANT d’Isabelle Chapuis. Cette série explore le thème de la parure de la façon la plus intime qui soit. La parure qu’évoque Isabelle Chapuis est intrinsèque et ne peut se passer d’une peau pour être : elle est la singularité avec laquelle nous venons au monde, celle qui mue au fur et à mesure des années. La photographe célèbre ici la beauté riche et complexe du vivant. Les deux séries collaboratives présentées montreront également ces alliances entre humain, végétal et animal : le végétal pare le corps et illumine les portraits et les natures mortes, donnant naissance à des beautés photographiques éphémères et poétiques. Dandelion est la première série collaborative d’Isabelle Chapuis et Duy Anh Nhan Duc : réalisée en 2014, cette série met en lumière la fragilité de l’insaisissable pissenlit. En 2022, les deux artistes se sont à nouveau réunis pour l’ouverture de la 110 Galerie et ont imaginé une nouvelle série collaborative spécialement pour le lieu. Sept oeuvres photographiques seront présentées et dialogueront dans l’espace avec une création végétale conçue pour l’occasion.Une composition à quatre mains qui montre comment deux artistes, à la créativité très marquée, peuvent se croiser et se nourrir mutuellement de la même source d’inspiration. Le travail d’Isabelle Chapuis se déploie de la photographie plasticienne à celle de la photographie thérapeutique. C’est un positionnement vivant, dont le coeur est le corps humain. Diplômée de l’ESAG-Penninghen en arts graphiques (2005),elle opte résolument pour la photographie et son regard s’oriente vers des créations conjuguant le portrait et la mise en scène, embrassant les différentes formes du vivant. Elle remporte le Prix Picto en 2010. Deux ans plus tard, sa série BARBAPAPA, primée par la Bourse du Talent est exposée à la Bibliothèque nationale de France FrançoisMitterrand qui l’intègre dans son fonds photographique. Son travail est régulièrement exposé dans des galeries et institutions, notamment au Centre d’Art Contemporain du Château des Adhémar à Montélimar ou à l’Espace Snap auxEtats-Unis. En Asie, à la Galerie Paris 1839 à Hong Kong et en Chine où elle expose au sein du mois Franco-Chinois de l’environnement dans cinq grandes villes. Depuis décembre 2016, sa série RITUELS est entrée dans la collection permanente du Grand Musée du Parfum à Paris. En 2017, les Hôtels Pullman, lui demandent de réaliser une création, dédiée à leur collection d’art contemporain. En septembre 2018, elle présente une installation au Palais Galliera, musée de la mode de Paris. Invitée en résidence pour la 9ème édition du festival Planche(s) Contact, elle expose sa série ANITYA, à Deauville. En 2020, elle fait partie des finalistes du Prix BMW avec son projet VIVANT. Pour sa troisième résidence, Isabelle était à la Fondation Albert Gleizes en 2021, sur une invitation du Centre de photographie contemporaine le Bleu du Ciel. Plasticien du végétal, poète de l’éphémère, Duy Anh Nhan Duc, artiste vietnamien né en 1983 à Hô Chi Minh-Ville etvivant à Paris, fait de la nature la matrice de ses oeuvres, créant des installations poétiques à partir de matières qui le fascinent. Après avoir exposé au sein du centre d’arts et de nature du domaine de Chaumont-sur-Loire, au centre d’art de Chateaugiron, chez Colette à Paris, Duy Anh Nhan Duc a présenté en ce début d’année une exposition carte blanche au musée national des arts asiatiques Guimet à Paris et il travaille aujourd’hui sur une oeuvre d’envergure pour une des futures gares du Grand Paris. Fruits d’inlassables cueillettes, ses installations sont une invitation à tisser un lien avec le vivant. Pissenlit, salsifis, chardon, blé, trèfle… forment sa palette et deviennent les matières d’une oeuvre sensible.Observateur des cycles du vivant, l’artiste tisse un dialogue avec les végétaux et invente une nature poétique en équilibre sur la fragilité de l’instant. Située entre le Louvre et la Bourse de Commerce, la 110 Galerie mettra en avant, au rythme de 10expositions par an, la scène artistique française contemporaine. Une ligne artistique exigeante et paritaire qui fera la part belle aux approches pluridisciplinaires : photographie, sculpture, installations, vidéo, peinture, dessin… sous la direction artistique de Sidonie Gaychet. DatesJuin 3 (Vendredi) 22 h 00 min - Septembre 30 (Vendredi) 7 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa 110 Galerie110 rue Saint Honoré 75008 Paris La 110 Galerie110 rue Saint Honoré 75008 ParisHoraires d’ouverture : du mardi au samedi de 11h à 20h Get Directions CalendrierGoogleCal http://isabellechapuis.com/ https://le-110.fr/galerie Glaciers Rhonegletscher © Jacques Pugin Glacier offset Moiry trient © Jacques Pugin Jacques Pugin, série « La désalpe » S’il est respecté par ses photographies de glaciers (en tant que suisse c’est la moindre des choses), Jacques Pugin lui aussi ne cesse d’explorer le médium. Voici qu’il compose des images sur la « désalpe » (une fête folklorique qui accompagne le retour des vaches (à cloches) des hauteurs vers les basses plaines), mais elles circulent sur des ponts autoroutiers distordus issus de Google Earth…une interrogation en image sur les dérives numériques de notre société. https://jacquespugin.ch/ https://ewgalerie.com/ Vue d’exposition « Echos » de Jean de Pomereu à la Galerie Bigaignon Vue d’exposition « Echos » de Jean de Pomereu à la Galerie Bigaignon Vue d’exposition « Echos » de Jean de Pomereu à la Galerie Bigaignon Jean de Pomereu, série « Echos » Grand choc esthétique pour moi lors de l’exposition en novembre 2021à la galerie Bigaignon: une vision et un traitement graphique poussé à un extrême esthétique pur, des structures géographiques et forcément glaciaires de l’Antarctique par interprétation minimaliste de la topographie, d’après des photographes aériennes et cartographiques en pleine guerre froide. Le tout accompagné de sculptures blanches linéaires. https://www.jeandepomereu.com/ https://bigaignon.fr/jean-de-pomereu-echos Art center, Caen, Installation Lionel Bayol-Thémines Planet terre © Lionel Bayol-Thémines Nancy Art center, Caen, Installation Lionel Bayol-Thémines Lionel Bayol-Thémines Lionel Bayol Thémines Un autre explorateur des multiples possibilités plastiques de la photographie et de notre société numérique. Après un gigantesque leporello de paysages numériques inquiétants (Silent Mutation), voici la terre et la lune réduites à une portion congrue de quelques pixels mais exposées en 2m/1m… Ou le Grand Est en cartographie de camouflage façon Google Earth … https://bayolthemines.fr/ © Nicolas Dhervillers © Nicolas Dhervillers © Nicolas Dhervillers Nicolas Dhervillers, série « Uncertain fates » Voilà un poète de la construction d’images, alliant différentes techniques au profit d’une mythologie personnelle aux références picturales mémorables (dans ces fameux « Uncertain fates » de 2019), et de constructions sans cesse renouvelées, et plus récemment de magnifiques cieux associant photographies et pastels…du grand art ! http://www.nicolasdhervillers.com https://editions-dilecta.com © Sanjyot Telang © Sanjyot Telang © Sanjyot Telang © Sanjyot Telang Sanjyot Telang Sanjyot Telang est une photographe indienne installée à Paris depuis 2012. Elle a initié un travail de peinture au doigt sur tirages papier… Au-delà des épaisseurs des matières et du geste pictural il se dégage une profonde recherche sur ses origines ou ses vies antérieures en vision tonique et positive. https://sanjyottelang.com/ Marque-page1
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