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Partager Partager Si la Poste a annoncé l’arrêt du timbre rouge au profit d’une version dématérialisée au 1er janvier 2023, après 174 ans de bons et loyaux services, il n’est pas question de faire entièrement disparaître la gamme de timbres. Heureux seront les nostalgiques et les philatélistes. Le 27 février, vous pourrez même acheter (ou recevoir) un timbre signé Dominique Issermann. Pour cet événement insolite, c’est une photographie de la main de Laetitia Casta qui a été choisie pour sublimer vos envois postaux ! © La Poste – Dominique Issermann – Tous droits réservés À défaut de voir une exposition monographique de la photographe française Dominique Issermann – décidément les musées et les institutions éprouvent vraiment des difficultés à exposer des photographes du territoire vivants ! – vous pourrez contempler une de ses œuvres en timbre postal. C’est une photographie de la main de Laetitia Casta, réalisée par la photographe et académicienne Dominique Issermann qui a été choisie pour illustrer le timbre de la série artistique 2023. Disponible à partir du 27 février, la feuille composée de 9 timbres d’un format de 52x40mm sera vendu 2,32 € et éditée à 612 000 exemplaires. « Comme une petite fenêtre qui s’ouvre dans la façade de l’enveloppe – toujours la fenêtre 1er étage à droite – sur un visage, un paysage, un souvenir de voyage, une cathédrale, le Taj Mahal… le timbre se place, se colle inexorablement avant le départ du courrier. J’ai toujours aimé entendre le coup du tampon qui, comme les trois coups au théâtre, donne le signal du départ, imprime la date et le pays d’origine, autorise le périple de la lettre, de la carte, du colis, qui entreprennent le voyage en passant de main en main jusqu’à leurs destinataires. L’enveloppe qu’on lèche indifféremment pour l’ami ou l’inspecteur, scelle le secret des courriers. Le timbre solidement collé nous donne des indices sur les sentiments de l’expéditeur, chat irrésistible, cheval fougueux, profil de médaille, cœur palpitant… Le moment du départ est arrivé, mon timbre peut faire le tour du monde, pour une modeste somme. La dîme est payée. Les avions, les bateaux, les voitures, les vélos se relayent et la main s’apprête à sonner, à faire ouvrir la porte. La main du facteur met fin au voyage du timbre, mission accomplie. La main de Laetitia Casta effleure la pierre, cherche une fissure dans le mur, comme pour envoyer un message, pour poser des questions, pour attendre des réponses, pour confier des secrets enveloppés dans un peu de papier timbré d’une image, en haut à droite, à la fenêtre. C’est la première page du livre que j’ai réalisé avec Laetitia Casta dans les Thermes de Vals bâtis en Suisse par Peter Zumthor ». Dominique ISSERMANN Marque-page0
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