Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective 23 heures ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 23 heures ago
Prix Mentor 2025 : Paloma Laudet primé pour sa série sur la reconstruction des jeunes rwandais 2 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Veronica Mecchia, Photographe et modèle d’Arno Rafael Minkkinen 2 jours ago
Rencontre Delphine Dumont, directrice Hangar Bruxelles : PhotoBrussels Festival #10, Bicentenaire de la photographie x CNAP 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 1 décembre 2025
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 23 heures ago
« L’Empire du sommeil » au Musée Marmottan Monet : insomniaques de l’art c’est pour vous ! 2 jours ago
Luxembourg Art Week 2025 : Rencontre Kevin Muhlen, Casino Luxembourg, un théâtre de la crudité et de la radicalité 3 jours ago
« Ombre est lumière. Mémoire des lieux » le manifeste de Nicolas Daubanes au Panthéon : Rencontre 6 jours ago
Partager Partager Pour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invitée de la semaine, la fondatrice et directrice de la galerie téhéranaise Silk Road, Anahita Ghabaian Etehadieh, a choisi de pousser un coup de gueule et de partager de malheureuses expériences de la part de certains acteurs du monde de l’art ne respectent pas ceux des pays du sud, une attitude arrogante qui n’est pas sans rappeler le colonialisme des siècles passés… Nouvel espace de la Silk Road Gallery, Téhéran La première fois que cela m’est arrivé, je l’ai pris comme une claque. Un gentil monsieur, de nationalité belge et travaillant à Dubaï dans le secteur pétrolier nous rendait régulièrement visite à la galerie à Téhéran en se présentant comme un collectionneur. Au début des années 2000 l’art iranien et la photographie en particulier n’étaient pas du tout connus. J’étais l’un des premiers à m’aventurer dans ce monde inconnu et je me suis démenée pour réunir les photographes chez Silk Road. Après avoir acheté quelques pièces, le gentil monsieur m’a demandé de le mettre en contact avec les artistes pour une visite de leur atelier. Ce que j’ai fait sans me poser de question. Quelques mois plus tard, j’ai reçu une annonce pour une nouvelle exposition de l’art iranien à Dubaï avec … mes artistes. Je n’en revenais pas. Le gentil collectionneur m’avait purement et simplement contournée et peu après, avec son épouse il a ouvert sa propre galerie avec ces mêmes artistes. La deuxième fois d’autres gens distingués sont venus à la galerie et après avoir acheté quelques pièces à bas prix ont contacté les photographes sans me prevenir, sont allés chez eux pour acheter « directement » auprès d’eux. Ils sont allés jusqu’à demander des contrats d’exclusivité pour le compte d’une galerie américaine qui a pignon sur rue à Boston. Certains artistes, pas tous heureusement, ont signé ce contrat. L’une des photographes est venue m’annoncer que je devais désormais demander toutes les autorisations la concernant à la galerie américaine. J’ai bien sûr refusé. Nouvel espace de la Silk Road Gallery, Téhéran Une autre fois, cela m’est arrivé avec une galerie française qui a proposé la même chose à l’une de mes artistes talentueuses mais que j’avais accompagnée et guidée depuis le début de sa carrière. En plein milieu d’une foire j’ai réalisé que la galerie française présentait le travail de la même artiste quelques stands plus loin. Je voudrais conclure que certains acteurs du monde de l’art ne respectent pas ceux des pays du sud et se permettent d’agir à leur guise avec les artistes de ces pays. Il s’agit d’une attitude arrogante qui rappelle le colonialisme des siècles précédents. Il faut cependant préciser que j’ai en d’autres circonstances très bien travaillé avec les galeries et institutions occidentales qui nous ont montré du respect et de la considération. https://www.silkroadartgallery.com/ Photo de couverture : Galerie Silk Road à Téhéran. Marque-page0
L'Invité·e Carte blanche à Adélie de Ipanema : Joel Meyerowitz – Rosewood Cottages, 1976 Pour sa deuxième carte blanche, notre invitée de la semaine, Adélie de Ipanema, la directrice de Polka, a choisi le cliché Rosewood ...
Evénements Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » La 5ème édition d’Art Antwerp qui réunit 79 galeries en provenance de 11 pays, affirme un développement de la boutique art fair ...
L'Invité·e Carte blanche à Adélie de Ipanema : Naissance de Polka. 7 Novembre 2007 Pour sa première carte blanche, notre invitée de la semaine, Adélie de Ipanema, revient sur les débuts de cette aventure familiale qu’est ...
L'Invité·e Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des images qui se rencontrent… et qui se jouent de nous
L'Invité·e Carte blanche aux fondateurs de la PODA : Des sentiments traduits en images palpables, Gabrielle Duplantier
Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective 23 heures ago
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 23 heures ago
Prix Mentor 2025 : Paloma Laudet primé pour sa série sur la reconstruction des jeunes rwandais 2 jours ago
Planches Contact Festival : Interview Veronica Mecchia, Photographe et modèle d’Arno Rafael Minkkinen 2 jours ago
Rencontre Delphine Dumont, directrice Hangar Bruxelles : PhotoBrussels Festival #10, Bicentenaire de la photographie x CNAP 3 jours ago
PhotoSaintGermain 2025 : Rencontre Agathe Sanjuan, commissaire « Étienne-Jules Marey : chronophotographie, sciences et art » 1 décembre 2025
Art Anwerp, 5ème édition : Interview Nele Verhaeren « Une foire petite, contemporaine, éclectique et précieuse » 23 heures ago
« L’Empire du sommeil » au Musée Marmottan Monet : insomniaques de l’art c’est pour vous ! 2 jours ago
Luxembourg Art Week 2025 : Rencontre Kevin Muhlen, Casino Luxembourg, un théâtre de la crudité et de la radicalité 3 jours ago
« Ombre est lumière. Mémoire des lieux » le manifeste de Nicolas Daubanes au Panthéon : Rencontre 6 jours ago
Planches Contact Festival : Arno Rafael Minkkinen, une série inédite pour un duo et une rétrospective