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Partager Partager Pour sa troisième carte blanche, notre invité de la semaine, l’enseignant, critique d’art et artiste photographe, Bruno Dubreuil partage avec nous une sélection d’auteur·es et d’images, pour nous montrer autant de manières de pratiquer et de considérer la photographie mais surtout, un exercice d’admiration. Découvrez les univers de Miroslav Tichý, Lisa Sartorio, Bertrand Flachot ou encore celui de Manon Lanjouère. Miroslav Tichý, Tomasz Machciński ou Jorge Alberto Cadi, tous trois appartenant aujourd’hui à la photographie dite brute : parce que je recherche une photo qui soit issue une pratique vitale au point d’être chevillée au corps et à l’âme (relire à ce propos L’image cancéreuse de Hervé Guibert). Et aussi parce que l’usage de la photographie peut parfois être aussi important que sa fabrication et sons sens. Miroslav Tichý, courtesy abcd/Art Brut, collection Bruno Decharme Lisa Sartorio : parce que chez elle, l’articulation de la forme et du sens invente des gestes plastiques qui sont des manières de réparer le monde. Sans titre 30 (guerre de Yougoslavie), série Ici ou ailleurs, 2018, courtesy Galerie Binome La photographie n’est pas, à mes yeux, une matière coupée des autres arts. Elle se pense dans son rapport avec eux. Et la traverser par d’autres pratiques artistiques permet de la déplacer, de la penser et de la voir autrement. Bertrand Flachot est l’un de ces artistes qui embrassent des approches multiples. Peu d’entre eux parviennent à ce point de justesse et de vertige dans l’entrelacement du dessin et de la photographie. Bertrand Flachot-Série Géodélocalisation n°4, 40 cm x 60 cm, encre sur tirage jet d’encre papier mat, 2020. Assembler des formes pour raconter des histoires. Je suis toujours très impressionné par la créativité et la maîtrise avec lesquelles Manon Lanjouère développe ses narrations photographiques. Vue d’exposition au Manège Rochambeau à Vendôme, FRANCE, 2021 – Texte &© Bruno Dubreuil Marque-page0
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