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Partager Partager Temps de lecture estimé : 17minsPortrait d’enfance de Guillaume Geneste Cette semaine, nous accueillons le photographe et tireur, Guillaume Geneste, dans notre rubrique L’Invité·e. Grand passionné d’édition photo (entre autres), il a rédigé plusieurs ouvrages et il a lancé avec David Fourré des éditions lamaindonne, la collection Poursuites et Ricochets dont les deux nouveaux opus avec Françoise Huguier et Bernard Plossu vont bientôt paraître. Tout au long de la semaine, Guillaume Geneste partage avec nous ses coups de cœur avant de nous en raconter un peu plus sur son métier de tireur. Les premières photographies que j’ai prises, un peu avant les années 80 quand j’avais 16-17 ans, je les ai faites dans le but de les tirer. Le sujet c’était le tirage, pas la prise de vue. Je n’avais qu’une hâte, celle de développer les films et voir s’il y avait bien quelque chose d’inscrit sur la pellicule. Le moment magique qui est gravé dans ma mémoire, c’est quand je sortais l’amorce du film de la spire encore mouillée, à peine fixé, et le plaisir que j’avais à découvrir les premières photos par transparence derrière une ampoule. Bien plus que le moment du tirage à proprement parler, quand l’image monte dans le révélateur. La pièce a été trop jouée et rejouée depuis que c’est devenu ma profession et les premières images de ces moments là se sont effacées de ma mémoire. Seules me restent celles du lieu où je tirai et la couleur de mes cuvettes. Mon père m’avait installé un laboratoire dans la cave du pavillon de banlieue où nous vivions, à Asnières et c’est là que j’ai fait mes toutes premières expériences avec toutes sortes de produits chimiques et des marques de papiers différentes. J’ai voulu ensuite assez vite comprendre comment était fabriqué le papier avec lequel je tirai et je me suis tourné vers les procédés anciens avec un intérêt particulier pour le papier salé et la papier albuminé. Revenir à l’origine de la photo et comprendre le procédé négatif/positif me passionnait. Le daguerréotype, l’objet unique en soi ne m’a jamais attiré, en tout cas pas comme futur tireur. La très grande finesse que conférait à l’argent l’albumine et le côté plus flou, plus dessin, avec le papier salé m’attirait. Je voyais déjà là, d’une certaine manière les choix et les directions que les photographes pouvaient prendre en fonction des procédés et des supports papier. Ce que je trouvais surtout magique c’était qu’on pouvait mettre sur une même feuille de papier à lettre un poème ou y déposer une photographie. J’ai poursuivi mes études jusqu’au Bac et puis il y a eu la photo et les filles et j’ai loupé mon Bac. J’ai ensuite étudié la photographie à l’Efet¹ et pu passer mon CAP qui est le seul diplôme que je possède. Juste après l’école photo j’ai travaillé à Free Time, une chaîne française de restauration rapide. Je travaillais souvent le soir et la nuit, pour un salaire fixe et la sécu. Le jour, je faisais des reportages photos pour des magazines de sport, des photos pour des catalogues, mais je cherchais surtout à rentrer dans un laboratoire quand j’ai eu l’occasion de travailler dans une boutique où je vendais des pellicules et tirais sur une machine Kis pour des développements et des tirages en une heure. C’est là que j’ai rencontré le tireur Marc Bruhat et que ma passion a pu devenir véritablement mon métier, j’avais 24 ans. Marc Bruhat avait installé son atelier quai de la gare dans le 13ème à Paris après avoir travaillé au laboratoire Publimod et exercé à l’agence Viva comme tireur. Il avait appelé son laboratoire l’atelier « Sillages ». Nous étions dans un lieu très underground, qu’on appelait les Frigos où aujourd’hui encore, un nombre important d’artistes peintres, sculpteurs, musiciens, photographes vivent et travaillent. Je garde des quatre années que j’ai passées avec Marc des souvenirs très forts, d’expérimentation, de recherche, à apprendre en faisant. C’est avec Marc Bruhat que j’ai appris le tirage noir et blanc à l’agrandisseur. L’atelier offrait tous les services classiques d’un laboratoire traditionnel du développement film au tirage mètre carré sur papier baryté. C’était le début des tireurs indépendants quand Philippe Salaün, Yvon Le Marlec, Jean-Yves Brégand se sont installés à leur compte. C’est à Sillages que j’ai rencontré Martine Franck, Henri Cartier-Bresson, Dityvon, Helmut Newton, David Seidner, Keiichi Tahara….Et puis très vite, j’ai voulu apprendre les procédés anciens plus en profondeur, du papier salé au tirage Platine. Des procédés reproductibles qu’on a commercialisés avec Marc et mis au service des photographes contemporains. On commençait tout juste à les appeler les procédés alternatifs aux Etats-Unis. J’ai fait presque tous les stages chez Claudine et Jean-Pierre Sudre dans ces années là. Avec Marc on travaillait beaucoup, il fallait faire de nombreuses expérimentations pour mettre au point ces procédés. Sans doute a t-on délaissé un peu trop le tirage à l’agrandisseur ? Quoi qu’il en soit de fil en aiguille j’ai été licencié et comme ma vie personnelle n’allait pas bien, j’ai divorcé. A partir de 1991, la vie est repartie, enfin la mienne, quand j’ai rencontré Colette Bourguignon avec qui je vis aujourd’hui. C’est là que j’ai eu vraiment l’envie de faire des photos, pas des photos commerciales et certainement pas pour en vivre, juste pour le plaisir quand j’ai découvert la photographie comme acte amoureux. J’ai retourné l’appareil sur notre amour et fait des autoportraits de nous deux, heureux, à nouveau heureux d’être heureux. J’avais toujours eu peur jusqu’ici de faire des photos car je voyais trop bien certains de mes confrères tireurs faire ce métier par défaut espérant devenir un jour photographe. Ce n’était vraiment pas mon cas. Un beau matin, Marc Bruhat m’appelle pour me dire que Claude Nori cherche un tireur pour ouvrir un laboratoire dans un nouveau lieu qu’il allait créer avec une galerie en lien avec sa célèbre maison d’édition Contrejour. Ma vie repart doublement, amoureuse et professionnelle. Contrejour ouvrait au 96 de la rue Daguerre avec sa galerie, sa librairie, et son laboratoire. J’y ai passé un peu plus de quatre années et c’est là que j’ai rencontré beaucoup de photographes pour qui je travaille toujours. Des photographes qui espéraient en venant à Contrejour être édités et exposés et qui passaient par le laboratoire. Une belle aubaine pour moi. Ce furent quatre années merveilleuses, comme à Sillages, pour des raisons très différentes. Mon tempérament fait que je ne garde que les bons souvenirs, mon métier c’est de toujours transformer le négatif en positif. En 1993 aux éditions Contrejour avec la collaboration d’Agfa est sorti sous forme de quatre coffrets Les tireurs photographes . Fin 1995, pour des raisons qui seraient trop longues a expliquer, Contrejour ferme et c’est en mars 1996 que je m’installe à mon compte en ouvrant La Chambre Noire, notre fille Chloé est née le même mois. © Guillaume Geneste, Colette, « Dans la chambre noire », Laboratoire Contrejour, Paris, 1993 Le laboratoire a fonctionné dès le début de l’année 1996 en proposant techniquement les mêmes services qu’à Contrejour. À savoir le développement des films, le tirage de lecture, le tirage d’édition et d’exposition dans tous ses formats, en argentique et en noir et blanc exclusivement. Je n’ai plus jamais pratiqué depuis Sillages les procédés anciens. C’est exactement à cette période là que le numérique pour les laboratoires est arrivé avec les scanners à plat et ceux pour les films. Le numérique a bouleversé l’ordre des choses, nous obligeant tireurs indépendants où laboratoires à faire des choix. À Contrejour, je réalisais beaucoup de tirages d’exposition mais aussi beaucoup de tirages d’édition qui servaient pour la reproduction dans les livres. Regarder l’image imprimée après l’avoir tirée me fascinait, mais me décevait aussi parfois par la qualité de la reproduction. C’est principalement pour cette raison que j’ai souhaité, dès le début de La Chambre Noire, ouvrir un service de numérisation en lien avec la photogravure. J’étais aussi très intéressé pour proposer un service de tirage de lecture en numérique jet d’encre et d’archive avec les fichiers. Entre 1996 et 1999 je me suis équipé d’ordinateurs, de scanners et d’imprimantes. Mais je ne pouvais pas me dédoubler physiquement compte tenu de la charge de travail que j’avais déjà en argentique. C’est à cette période que j’ai du embauché Guillaume Fleureau diplômés des Gobelins et qui travaille avec moi depuis comme tireur numérique accompli. J’ai vécu avec Guillaume une période de formation très riche, à devoir former un futur tireur avec des outils qui n’étaient pas encore les miens où nous les découvrions et apprenions à les maîtriser ensemble. Enfin lui les maitrisait plus que moi à devoir tous les jours s’en servir quand j’étais bien souvent en argentique. L’arrivée de Guillaume Fleureau à ce poste a marqué aussi l’arrivée de la couleur à La Chambre Noire avec le tirage numérique jet d’encre. En 2004 notre fils Gabriel est né et je continuais toujours mes autoportraits de famille, d’autoportraits à deux nous sommes passés à trois puis à quatre sur les photos. En 2015 sont publiées 25 années d’ autoportraits de famille aux Éditions Filigranes sous forme de 4 volumes. 2011 est marquée par le décès de Martine Franck pour qui je tirais très souvent avec beaucoup de plaisir et depuis longtemps. J’adorais cette femme. C’est à ce moment précis que j’ai créé mon poste de travail en numérique où je passe depuis, tous les jours de l’agrandisseur à l’ordinateur avec beaucoup de plaisir. L’arrivée du numérique dans ma vie est pour moi l’équivalent du film Hiroshima mon amour au cinéma. Un sentiment dans l’inconscient collectif de vie et de mort qu’incarne un procédé qui va en remplacer un autre quand dans les faits c’est tout l’inverse qui se passe pour nous au laboratoire où l’argentique et le numérique s’alimentent l’un l’autre depuis 28 ans. À la mort de Denis Roche en 2015, pour qui je travaillais depuis plus de vingt ans, je me suis mis à écrire, à plus rédiger les notes que je prenais depuis plusieurs années pour en faire des textes. Grâce à Bernard Plossu, nous avons pu sortir sous forme d’hommage a Denis un petit livre publié chez Filigranes. Un texte de Jean-Christophe Bailly, de Plossu et de moi accompagnent toutes les photographies que Bernard avait fait de Denis Roche. Ce texte que j’ai écrit a été salvateur et m’a libéré des interdits que je m’étais fixé à ne pas me sentir légitime d’écrire. Fin 2016 je fais la rencontre de la photographe Sabine Weiss qui a 91 ans quand elle vient au laboratoire me confier ses tirages pour des collectionneurs et pour ses expositions. Pendant six années jusqu’à son décès début 2021 il n’y a pas eu une semaine sans que je ne tire ou numérise ses photographies. Sabine Weiss fut une des plus belles rencontres que j’ai pu faire grâce à mon métier. Quelques années avant en 2018 j’avais fait la connaissance de David Fourré un éditeur de livres de photographies installé dans l’Aveyron. Le lien entre nous fut Denis Roche pour qui David était entrain de finaliser le livre Les nonpareilles avec Françoise Peyrot-Roche. De fil en aiguille nous avons beaucoup échangé, très souvent par mail pour la distance qui nous sépare entre Paris et Marcillac-Vallon où il réside. David était intéressé par l’histoire des Editions Contrejour et celle des Cahiers de la Photographie, de cette période où se mêlent l’argentique et le numérique pour produire et reproduire des images dans les livres quand il me proposa de faire un livre sur mon parcours où je parlerai de mon métier. En 2020 sort Le tirage à mains nues aux éditions Lamaindonne. Avec ce livre se cristallise en moi le soulagement d’avoir pu dire ce que je souhaitais et un immense plaisir de l’avoir fait en toute liberté et dans une forme peu conventionnelle de textes et d’entretiens accompagnés de photographies. C’est à la suite de cette publication que je rencontre le réalisateur Henri Herré qui est venu filmer pendant de nombreux mois au laboratoire. Les films qui en ressortent sont aussi un grand soulagement d’avoir pu montrer mon métier avec les gestes des mains qui maquillent dans le faisceau de la lumière de l’agrandisseur ainsi que dans l’échange avec les photographes. Les films d’Herré montrent tout ce qui se passe autour des moments fortement cinégéniques quand l’image monte dans le révélateur. Herré me laisse la possibilité de m’exprimer comme je le souhaite et surtout il fait apparaître ce que je n’avais jamais vu dans aucun film sur le tirage jusque là en nous donnant à voir un tirage qui se fabrique avec toutes les étapes où les feuilles sont jetées dans la poubelle quand le tireur doit rejouer la scène en maquillant feuille après feuille pour le faire aboutir. L’année suivante en 2021 avec Bernard Plossu nous sommes lauréats du Prix du tirage de Florence et Damien Bachelot. Bernard Plossu est le photographe qui est le plus présent au quotidien dans ma vie de tireur, dont la photographie me parle et me touche profondément. Depuis le décès de son épouse la photographe Françoise Nuñez fin 2022 qui tirait aussi pour Bernard, je me concentre sur les nombreux travaux que nous avons ensemble. Au début de l’année 2022 à ma grande surprise, ma fille Chloé nous rejoint au laboratoire pour devenir tireuse. À nouveau, je me retrouve confronté à la formation, mais cette fois-ci avec Guillaume Fleureau à mes côtés. En 2023 avec David Fourré, suite à la publication de mon livre Tout autour de la photographie nous créons la collection Poursuites et Ricochets qui interroge la photographie de famille auprès de divers auteurs, photographes, écrivains, historiens… À côtés de tous ces faits marquants dans mon parcours, nous avons développé à La Chambre Noire pendant toutes ces années, des milliers de films. Des centaines d’expositions sont nées de nos tirages argentiques et numériques noir et blanc et couleur et de nombreux livres existent grâce aux photographes et aux institutions avec qui nous travaillons et qui nous font confiance. Impossible pour moi ici de tous les nommer, mais qu’ils en soient sincèrement remerciés. Je m’apprête désormais à passer la main dans les années à venir en allégeant mon emploi du temps sans pour autant penser à m’arrêter. De nombreuses expositions sont prévues où je vais tirer à quatre mains avec Chloé pour la former en argentique. L’écriture prend désormais plus d’importance dans ma vie avec plusieurs projets autour du tirage. ¹ Ecole Française d’Enseignement Technique http://www.la-chambre-noire.com Le portrait chinois de Guillaume Geneste Si j’étais une œuvre d’art : Un des nus couchés d’Amedeo Modigliani pour le désir qu’ils suscitent. Si j’étais un musée ou une galerie : Le Bal pour la qualité des expositions, j’en ressors toujours plus cultivé. C’est un lieu qui interroge le monde grâce à la la photographie. Si j’étais un·e artiste (tous domaines confondus): Gustave Le Gray à la fois pour son côté technicien, tireur, artiste, passeur et pour sa vie trépidante. Si j’étais un livre : Forget me not de Bernard Plossu. Il y a dans ce livre édité par Tf. Éditores en Espagne et sorti en 2002 tout ce que j’aime chez Plossu. À chaque fois que je le regarde, ce livre me donne une furieuse envie de prendre des photos. Je l’ai ressorti de ma bibliothèque pour l’occasion et j’ai relu la dédicace que je partage bien volontiers avec vous : « Pour Colette et Guillaume, expérimenter en photo, c’est la joie ! » Si j’étais un film : Story we tell (Sueurs froides), de Sarah Polley pour l’intelligence avec laquelle la réalisatrice interroge la question du vrai et du faux à travers un récit familial bouleversant. Ce film célèbre l’acte de raconter l’intime en lui donnant toute sa portée universelle. Si j’étais un morceau de musique : Tubular bells de Mike Oldfield. Pour écouter très régulièrement cet opéra moderne depuis mes dix-huit ans et l’avoir vu jouer sur scène cette année : 25min 30s de bonheur sans oublier la face B. Que du plaisir !. Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Child in the nightgown, Wellfleet, Mass. 1957 de Diane Arbus Cette photo m’envoute (voir l’image en cliquant sur ce lien), quand je la regarde, je n’arrive pas à la quitter des yeux. J’avais vu un tirage original au Jeu de Paume en 2012. Je marchais pour tout voir de cette exposition mais je revenais sans cesse vers cette photographie. Il existe des photos qui fonctionnent comme des aimants. Si j’étais une citation : « J’écris pour être seul, je photographie pour disparaître » de Denis Roche. C’est si juste, que ce soit dans le bruit ou le silence on est toujours seul face à soi-même quand on écrit. Denis parlait si bien de la photographie qu’il aimait pratiquer, jusqu’à sa disparition en 2015. Heureusement restent ses écrits et ses images. Si j’étais un sentiment : L’empathie c’est celui que j’ai le plus cultivé grâce à mon métier de tireur. Si j’étais un objet : Un scoponet² pour voir les grains d’argent d’un négatif au plus près, toujours et encore. Si j’étais une expo : Storylines, la dernière rétrospective de Robert Frank tirée par Sid Kaplan qui a eu lieu à la Tate Modern à Londres en 2004. Notre fils Gabriel venait de naître et il était tout le temps accroché au sein de sa maman Colette. Ils étaient partis tous les deux faire les foies gras dans le sud-ouest chez ma belle-mère quand j’ai décidé d’aller passer le Week-end à Londres avec notre fille ainée Chloé. Je suis sûr que cette exposition a eu de l’importance dans le cheminement de sa pensée quand je la vois travailler à mes côtés tous les jours, je la revois marcher dans l’exposition et regarder toutes les photos de la hauteur de ses huit ans. Si j’étais un lieu d’inspiration : Tous les lieux de déplacements que ce soit en train, en voiture ou en avion – « les paysages intermédiaires » si chers à Butor et à Plossu – et aussi devant ma cuvette de révélateur quand l’image apparait lentement. Si j’étais un breuvage : Un verre de Sancerre. Mon père avait toujours dit que lorsqu’il serait mort ce qui lui ferait plaisir c’est qu’on aille boire un verre de Sancerre sur sa tombe. Ça reste à faire ! Si j’étais une héroïne : Anne Dufourmantelle. C’est à elle que je pense immédiatement quand le mot héros ou héroïne est prononcé. Quel tragique destin ! À vouloir sauver des enfants de la noyade, elle en est morte. Si j’étais un vêtement : Celui que j’ai mis la veille, je déteste m’habiller, surtout avec des vêtements neufs. Ado ma mère portait mes jeans que je mettais une fois l’apprêt parti. ² Loupe sur pied permettant de faire la mise au point au moment du tirage CARTES BLANCHES DE NOTRE INVITÉ • Carte blanche à Guillaume Geneste : Mucho Amor, l’ouvrage de Bernard Plossu (mardi 24 septembre 2024) • Carte blanche à Guillaume Geneste : Anne-Lise Broyer expose la maladie du sens (mercredi 25 septembre 2024) • Carte blanche à Guillaume Geneste : Denis Roche à juste titre (jeudi 26 septembre 2024) • Carte blanche à Guillaume Geneste : Argentique ou numérique ? Tireur avant tout ! (vendredi 27 septembre 2024) À LIRE Transversalités. Collection Poursuites et ricochets. Rencontre avec David Fourré et Guillaume Geneste Carte blanche à Alain Eudot : « Le tirage à mains nues » de Guillaume Geneste Favori0
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