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Le Jury 2017: Hans Ulrich Obrist – Président du jury Jean-Jacques Aillagon – Président d’honneur Colette Barbier – Directrice de la Fondation d’entreprise Ricard, Paris Camille Blatrix – Artiste, Paris Ilaria Bonacossa – Directrice d’Artissima, Turin Julie Boukobza – Curatrice, Paris Caroline Bourgeois – Curatrice de la Collection Pinault, Paris-Venise Sadie Coles – Galeriste, Sadie Coles HQ, Londres Bastien Cosson – Artiste et fondateur de Palette Terre, Paris Catherine David – Curatrice, historienne de l’art et directrice adjointe du Centre Pompidou, Paris Aurélie Deplus – Responsable du mécénat artistique et de la collection d’art de la Société Générale, Paris Jennifer Flay – Directrice de la FIAC, Paris Sandra Hegedüs – Mécène et fondatrice de SAM Art Projects, Paris Melike Kara – Artiste, Cologne Eugénie Lefebvre – Directrice du projet Magasins Généraux BETC, Paris-Pantin Elizabeth Neilson – Directrice de la Zabludowicz Collection, Londres Jérôme Pantalacci – Directeur d’Art-O-Rama, Marseille Mario Pfeifer – Artiste, Berlin-New York Gea Politi – Critique d’art et rédactrice en chef de Flash Art International, Milan Thierry Raspail – Directeur du MAC Lyon et directeur artistique de la Biennale de Lyon Salut C’est Cool – Groupe de musique, Paris Yulya Shadrinsky – Photographe, Paris Pieter Vermeersch – Artiste, Bruxelles-Turin Ben Vickers – Curateur des projets digitaux de la Serpentine Gallery, Londres Lilou Vidal – Curatrice et fondatrice du Bureau des Réalités, Bruxelles-Turin Des sensibilités variées et complémentaires favorables à ce genre d’exercice. Et l’on peut dire que le niveau de cette 3ème édition s’en ressent. Les préoccupations de la jeunesse restent les mêmes qu’elle soit née à Paris, Londres ou Milan : emprise des réseaux sociaux dans nos sentiments et relations, quête identitaire, transgenre et transhumanisme, contrôle et frontières.. mais le langage plastique choisi diffère et c’est en cela que cette initiative est intéressante. Coups de cœur : Parmi les 45 artistes présentés je remarque dans la thématique amour à l’ère du digital l’artiste chinoise Yanmeng Zhang (Head Genève) qui dans sa video de deux clones nous offre une vision glacée et impossible de tout contact physique. Le français Hugo Servanin (ENSAD Paris) avec ses statues qui se déversent et se consument en fluides corporels dérange également nos certitudes. L’anglaise Hazel Brill (Slade School of Fine Art, Londres) s’attaque au monde de l’entreprise et codes associés dans des montages vidéos fragmentés façon soap opera entre le kitsh et le burlesque. L’américaine Clio Newton (Zurich University of Art) se saisit du fusain sur papier pour dresser des portraits féminins géants d’une intense profondeur et véracité. On hésite avec la photographie. Une approche volontairement féministe d’un art du portait porté à sa perfection qui revisite les grands moments de l’histoire de la peinture. La belgo-russe Natalia Skobeeva (Royal College of Art) avec sa vidéo Womb of Time explore la façon dans les références culturelles et l’interprétation des événements modifient la conception linéaire de l’histoire. Dans une période post humaine plusieurs fragments et récits parcellaires viennent parasiter le récit. Un peu comme notre cerveau face au défilement constant des images. L’allemande Lisa Braun (Universität der Künst, Berlin) se focalise actuellement sur le latex, surface souple et malléable de projection d’un monde étrange et organique. Le français Adrien Blouët (ENSBA Paris) nous propose un espace d’échanges et de lecture autour de ses romans consultables aux côtés de poteries artisanales du Japon. L’italien Luca Scavone (Academia di Brera) s’attaque à déjouer l’image photographique, questionnant ses enjeux La française Anne Perier (ENSAAD Paris) a reconstitué son atelier dans la nature suivant la méthode exploratoire qu’elle s’impose à chaque fois. La belge Maëlle Dufour (La Cambre) à travers sa sculpture en ruine « les actes bouillonnent sous les strates du sol »nous décrit un chaos à partir de résidus collectés. Enfin le duo suisse Wittmer & Koenig avec ce mur de séparation en tiges métalliques nous rappelle d »autres frontières, visibles ou invisibles. Il est difficile de choisir parmi ces propositions pertinentes, chaque univers étant une porte d’entrée il est bon de prendre le temps et de laisser la magie opérer entre ce cadre et les interventions des artistes. A noter que la Société Générale est mécène officiel de l’événement. INFOS PRATIQUES : ARTAGON.III La rencontre internationale des étudiants en écoles d’art Exposition de 45 artistes Du 8 au 17 septembre 2017, tous les jours, de 11h à 20h Les Petites Serres 18 rue Larrey 75005 Paris Entrée gratuite (participation libre) http://www.artagon.co Favori0
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