Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique 5 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 6 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique 5 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 6 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art 6 jours ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 27 juin 2025
« Tipping Point » : les artistes belges s’exportent à Marseille (suite), Interview Grégory Thirion, Le Botanique, co-commissaire 7 jours ago
Partager Partager L'Invité·ePhoto Carte Blanche à Ericka Weidmann : L’anamorphose de Georges Rousse Ericka Weidmann19 décembre 2017 Temps de lecture estimé : 3minsChez 9 lives, on garde en tête l’importance des premiers pas, des premiers émois. C’est aussi ne pas oublier d’où l’on vient, à l’image du personnage de Kipling, notre enfance et ses fondations, qui nous construisent. Même si des années après, ils peuvent paraître désuets. C’est en ce sens que je vais aborder mes cartes blanches tout au long de la semaine… J’ai découvert le travail de Georges Rousse à mes balbutiements dans le monde de la photographie. C’était il y a presque 20 ans. J’avais alors entre les mains un simple carton d’invitation de vernissage, je dois avouer ne pas y avoir beaucoup prêté attention, au premier coup d’œil, je ne voyais qu’une photographie d’architecture peinte… Et pourtant mon cerveau avait « rangé » cette information quelque part au chaud. En 2004, Georges Rousse exposait au festival des Transphotographiques de Lille. Cette édition était orchestrée pour la première fois par un curateur invité, Jean-Luc Monterosso. L’exposition était présentée à la Maison de la Photographie de Lille, alors encore en travaux. Nous devions emprunter un escalier pour accéder aux expositions; sur les marches et sur les murs, quelques traces de peintures rouges ici et là, ne semblant pas vouloir donner de signification précise. Nous déambulions alors au sein de l’œuvre in situ « Désordre », réalisée spécialement pour l’occasion. C’est à ce moment précis que tout se mis en place : les œuvres ephémères de Georges Rousse se vivaient dans l’espace. En se déplaçant on défie la perspective, jusqu’à ce moment précis où l’on trouve le point de vue parfait, pour voir ce qui nous est donné à voir. Ce « désordre » n’était pas l’œuvre la plus réussie de Rousse, mais c’est celle qui m’a fait découvrir toute l’ampleur de sa réalisation. Dès lors que j’ai envisagé les photographies de Georges Rousse d’un autre œil, ces lieux abandonnés prenaient une autre dimension, et une multitude de facettes… Aujourd’hui je rencontre toujours cette frustration de ne pas être immergée dans l’œuvre photographiée. Alors à quand une exposition de Rousse en réalité virtuelle ? La galerie RX (Paris) vient de lui consacrer une exposition avec 12 œuvres monumentales. Jusqu’au 31 décembre, on vous invite à découvrir deux installations in situ à Chambéry et à Lens pour dévoiler une nouvelle dimension des travaux de Rousse. INFORMATIONS PRATIQUES • Opération Plastique Exposition Personnelle et Installation In-situ Du 26 septembre au 31 décembre 2017 > Centre Hospitalier Métropole Savoie Atrium du Nouvel Hôpital 73000 Chambéry > Cité des arts Jardin du Verney 73000 Chambéry • Détournement de Fonds Installation in-situ & Exposition Personnelle Du 16 septembre au 31 décembre 2017 Ancienne Banque de France 5, rue de la Paix 62300 Lens http://www.georgesrousse.com/ Marque-page0
Photo Empreintes, espaces en mutation de Farida Hamak Un avant-goût de vacances et d’été souffle sur notre rubrique portfolio avec la série Empreintes, signée par la photographe franco-algérienne Farida Hamak. ...
Evénements Arles, Musée Réattu : Béatrice Helg, photographe de la lumière Depuis les années 1980, Béatrice Helg (Née en 1956) développe une écriture de lumière, par le dispositif de la mise en scène. ...
L'Interview Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique Placée sous le signe d’un anniversaire majeur à venir — le bicentenaire de la photographie —, la 6ᵉ édition du Parlement de ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique 5 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 6 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : La photographie au défi de l’IA — Étude du cadre juridique et technologique 5 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Donner à voir autrement, exposer la photographie au plus près des publics 6 jours ago
Retour sur le Parlement de la Photographie 2025 : Le statut des photographies dans les collections, entre document et œuvre d’art 6 jours ago
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 27 juin 2025
« Tipping Point » : les artistes belges s’exportent à Marseille (suite), Interview Grégory Thirion, Le Botanique, co-commissaire 7 jours ago