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Partager Partager L'InterviewPhoto Rencontre avec Quentin Bajac et Sarah Greenough autour des mille et un passages de Sally Mann Ericka Weidmann17 juin 2019 Temps de lecture estimé : 8minsNous avons rencontré le nouveau directeur du Jeu de Paume, Quentin Bajac, à l’occasion de l’ouverture de l’exposition consacrée à Sally Mann. Il s’agit ici de l’unique étape européenne de cette première rétrospective itinérante débutée aux Etats-Unis en mars 2018. C’est donc une exposition très attendue par le public qui va dévoiler, dès demain, l’œuvre d’une photographe des plus discrètes. Nous avons également interrogé Sarah Greenough, conservatrice au National Gallery of Art et co-commissaire de cette rétrospective. « D’une certaine manière, Sally Mann photographie plus avec son cœur qu’avec sa tête. La majeure partie de son travail est très liée, viscéralement et sentimentalement, à ses terres du sud. Ce sont donc mille et un passages qui se fraient entre la terre, les images et le cœur.« 9 Lives magazine : Qu’est ce que les visiteurs vont découvrir dans cette première rétrospective consacrée à Sally Mann ? Quentin Bajac : Dès demain, les visiteurs pourront venir découvrir son travail, qui est finalement assez peu connu en Europe. Sally Mann est très liée à la terre et à l’Histoire américaine, et en particulier celles de sa région natale, la Virginie. En France, nous avons assez peu eu l’occasion de voir ses images, cela va donc être la découverte d’une œuvre très singulière. 9 Lives magazine : « Mille et un passage » est la toute première rétrospective consacrée à Sally Mann, pouvez-vous nous raconter les débuts de ce projet d’exposition ? Sarah Greenough : Tout a débuté en 2014, lorsque la National Gallery of Art de Washington a hérité d’une importante collection de tirages de Sally Mann suite à la fermeture de la Corcoran Gallery of Art. En examinant ces images, nous nous sommes rendu compte que l’œuvre de Sally Mann n’était pas connue dans son entièreté, et que c’était surtout sa série « Immediate Family » réalisée dans les années 80 et début 90 que nous connaissions d’elle. C’est ainsi que nous nous sommes aperçus que son travail n’avait jamais fait l’objet d’une rétrospective itinérante. Nous avons estimé que le travail réalisé sur plus de quatre décennies méritait d’être étudié en profondeur et montré au plus grand nombre. Pour son passage en Europe, il était évident que le meilleur écrin de cette exposition était le Jeu de Paume. 9 Lives magazine : L’exposition explore plus de 40 ans de photographie, comment avez-vous composé cette rétrospective ? S. G. : Nous avons décidé de centrer l’exposition sur le rôle important que joue le territoire sud-américain dans l’œuvre de Sally Mann. Depuis plus de quarante ans, elle a réalisé des photographies expérimentales et élégiaques explorant ces thèmes fondamentaux de l’existence : la mémoire, le désir, la mort, les liens familiaux et l’indifférence magistrale de la nature à l’égard de l’activité humaine. Mais ce qui unit ce large corpus d’œuvres, c’est un même territoire. Sally Mann, qui est originaire de Lexington en Virginie, écrit depuis longtemps sur ce que signifie vivre dans le sud et être identifié comme une sudiste. En utilisant son amour profond pour sa patrie et sa connaissance d’un lourd héritage historique, elle questionne l’histoire, l’identité, la race et la religion – qui se répercutent au-delà des frontières. Cette exposition est à la fois une vue d’ensemble de l’œuvre de Sally Mann au cours des quatre dernières décennies mais c’est également l’exploration de la façon dont l’héritage du Sud – à la fois patrie et cimetière, refuge et champ de bataille – émerge dans son travail en tant que force puissante et provocatrice qui continue de façonner l’identité américaine. 9 Lives magazine : L’exposition nous dévoile des images inédites. S. G. : En effet, un grand nombre d’images n’ont jamais été montrées auparavant. Sally Mann nous a donné l’occasion unique de parcourir ses archives, et nous avons ainsi pu découvrir plusieurs images exceptionnelles de sa carrière qui n’avaient jamais été exposées ni reproduites auparavant. En outre, elle nous a permis de parcourir son plus récent travail, qui étudie comment l’histoire raciale du sud a influencé les paysages mais aussi sa vie personnelle. Aucune de ces images de marécages et d’églises de Virginie, ainsi que ses portraits d’hommes afro-américains n’a jamais été exposée ou publiée. 9 Lives magazine : D’où vient ce titre « Mille et un passages » ? Q. B. : Il est tiré d’un poème d’un auteur écossais. Il traduit parfaitement le fait que l’œuvre de Sally Mann est très lyrique et très marquée par les sentiments. C’est quelqu’un qui, d’une certaine manière, photographie plus avec son cœur qu’avec sa tête. Elle n’hésite pas à manier un certain lyrisme et une grande poésie, et la majeure partie de son travail est très liée viscéralement et sentimentalement à ces terres du sud. Ce sont donc mille et un passages qui se fraient entre la terre, les images et le cœur. 9 Lives magazine : C’est sa série « Immediate Family » réalisée dans le milieu des années 80 qui l’a fait connaître, ses photographies sont publiées et exposées partout dans le monde. C’est pourtant cette même série qui va provoquer la controverse au début des années 90. Les photos de ses enfants dénudés sont décrites comme « sensuelles » et on l’accuse tout simplement d’exhiber ses enfants. Ce qui était tout à fait innocent dix ans plus tôt se rapproche désormais de la pédophilie. Cette une épreuve qui blessera profondément la photographe, et qui reste douloureuse encore aujourd’hui. Pensez-vous que cette épreuve a influé le travail de Sally Mann ? Q. B. : Cette histoire l’a beaucoup affectée, et le terme est faible, alors forcement, cela a eu une influence sur son travail photographique parce qu’elle a eu besoin de s’éloigner de la figure humaine pour se tourner d’avantage vers le paysage. Pendant longtemps cette série a été un peu l’arbre qui cachait la forêt, elle a souvent été réduite à cette série, alors que son travail s’était développé, elle avait exploré d’autres directions… Mais à chaque fois, son travail était ramené à cette série, ou plus exactement à la controverse liée à cette série, ce qui est différent parce que bien évidement cette série est bien plus riche que la caricature qui en avait été faite à travers cette polémique. « Immediate Family » est bien entendu présente dans l’exposition, après 30/40 ans elle s’est sans doute réconciliée avec cette série. Elle a peut-être moins de réticence à la montrer. Heureusement la controverse est loin. 9 Lives magazine : En 2010 lors de l’exposition « Sa famille, sa terre » au Musée de l’Elysée à Lausanne, de nouvelles critiques affluent. Les sponsors se sont retirés, le musée a reçu de nombreuses plaintes… Ne craignez-vous pas d’avoir ce genre de réactions à Paris ? Q. B. : Non, je pense que l’exposition montre bien qu’il s’agit de ses débuts, qu’il s’agit là d’un travail extrêmement personnel, qui se réduit à ce que c’est réellement : une mère qui photographie ses enfants dans une sphère intime, avant le déploiement de ses autres sujets liés à un cercle plus large pour revenir de nouveau à des images plus intimes sur sa famille, notamment avec la maladie de son mari… Donc je pense que le parcours fait parfaitement comprendre le travail de Sally Mann et replace la série dans un contexte bien différent, donc non, aucune crainte. Et puis c’est une œuvre que l’on ne peut pas ne pas montrer ! The Turn, 2005. Private collection. © Sally Mann 9 Lives magazine : Quelle est l’image de Sally Mann qui vous touche tout particulièrement ? Q. B. : C’est la toute dernière image de l’exposition, « The Turn ». On voit son mari de dos, dans un paysage un peu désolé avec des fumées, dont on ne sait pas trop si ce sont des restes de brumes ou celles d’un feu. C’est une image que je trouve très hantée au sens poétique du terme. Cette dernière image est une belle métaphore sur l’être cher, et une belle réconciliation entre l’humain et le paysage… INFOS PRATIQUES Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris mar18jui(jui 18)11 h 00 mindim22sep(sep 22)19 h 00 minMille et un passagesSally Mann Jeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementDepuis plus de quarante ans, Sally Mann (née en 1951) réalise des photographies expérimentales à la beauté obsédante qui explorent les thèmes essentiels de l’existence : mémoire, désir, mort, liens Détail de l'événement Depuis plus de quarante ans, Sally Mann (née en 1951) réalise des photographies expérimentales à la beauté obsédante qui explorent les thèmes essentiels de l’existence : mémoire, désir, mort, liens familiaux, magistrale indifférence de la nature envers les hommes. Ce qui fait l’unité de ce vaste corpus – portraits, natures mortes, paysages et études diverses –, c’est qu’il est le « fruit d’un lieu », le Sud des États-Unis. Sally Mann, originaire de Lexington (Virginie), a écrit voici bien longtemps sur ce que signifie vivre dans le Sud. S’appuyant sur un amour profond pour sa terre natale et sur une bonne connaissance de son héritage historique complexe, elle pose des questions fortes et provocantes – sur l’histoire, l’identité, la race et la religion – qui transcendent les frontières géographiques et nationales. Cette exposition, la première rétrospective majeure de cette artiste éminente, traite de la façon dont sa relation avec sa terre d’origine a façonné son œuvre. Organisée en cinq parties et dotée de nombreuses photographies inconnues du public ou inédites, elle constitue à la fois une vue d’ensemble du travail de l’artiste sur quatre décennies et une fine analyse de la manière dont le legs du Sud –à la fois patrie et cimetière, refuge et champ de bataille – transparaît dans son travail comme une force puissante et troublante qui continue de modeler l’identité et le vécu de tout un pays. Commissaires : Sarah Greenough et Sarah Kennel Exposition produite par la National Gallery of Art, Washington, et le Peabody Essex Museum, Salem, en collaboration avec le Jeu de Paume, pour sa présentation à Paris. Photo : Deep South, Untitled (Stick) 1998 Sally Mann Courtesy of the New Orleans Museum of Art: Collection of H. Russell Albright, M.D. © Sally Mann DatesJuin 18 (Mardi) 11 h 00 min - Septembre 22 (Dimanche) 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Get Directions CalendrierGoogleCal EGALEMENT AU JEU DE PAUME Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris mar18jui(jui 18)11 h 00 mindim22sep(sep 22)19 h 00 minDe proche en procheMarc PatautJeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementLe travail de Marc Pataut (né à Paris en 1952) traite du rapport des individus à eux-mêmes et à la société, faisant apparaître à l’image des visages, des corps, des Détail de l'événement Le travail de Marc Pataut (né à Paris en 1952) traite du rapport des individus à eux-mêmes et à la société, faisant apparaître à l’image des visages, des corps, des appartenances, des parcours de vie. Ses projets sont élaborés sur une longue durée et au sein de territoires différents. L’accumulation d’expériences personnelles et collectives nourrit sa pratique photographique. Constituée d’une sélection de ses essais photographiques réalisés de 1981 à aujourd’hui, l’exposition présente un corpus d’une quinzaine de séries ainsi que des œuvres inédites. Loin d’être une rétrospective, elle est une proposition artistique qui présente des œuvres dans la relation politique qu’elles développent au temps, à la société, à l’espace et au territoire. Son travail, souvent nourri de débats, d’échanges et de luttes, constitue une véritable réflexion sociale et politique. Les œuvres qui en découlent prennent forme dans cette exposition – ainsi que dans l’édition qui l’accompagne – en proposant un autre rapport aux publics. Commissaire : Pia Viewing Photo : Alexandra Chabenat. 1990, série Aulnay-sous-Quoi ? © Marc Pataut DatesJuin 18 (Mardi) 11 h 00 min - Septembre 22 (Dimanche) 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Get Directions CalendrierGoogleCal Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris mar18jui(jui 18)11 h 00 mindim22sep(sep 22)19 h 00 minBen Thorp BrownSatellite 12 : une programmation de Laura HermanJeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementLe travail de Ben Thorp Brown (1983, New York) s’intéresse à l’expérience incarnée, à la perception et à la mémoire. Réagissant aux changements économiques, environnementaux et technologiques, il cherche à Détail de l'événement Le travail de Ben Thorp Brown (1983, New York) s’intéresse à l’expérience incarnée, à la perception et à la mémoire. Réagissant aux changements économiques, environnementaux et technologiques, il cherche à développer pour les êtres humains des possibilités d’intervention au sein de systèmes complexes à travers la recherche, la technologie et la collaboration intégrées avec toute une gamme de participants. Les œuvres récentes de Brown ont été présentées au St. Louis Art Museum et dans les expositions « Dreamlands: Immersive Cinema and Art, 1905-2016 », au Whitney Museum ; « Greater New York », au MoMA PS1 ; « 24/7 the human condition », à la Biennale de Vienne, et « Chance Motives » au Sculpture Center de New York. Ben Thorp Brown a participé à des résidences par le biais du programme Workspace du Lower Manhattan Cultural Council ainsi qu’à la Chinati Foundation à Marfa, au Texas. Titulaire d’une licence obtenue au Williams College, d’un master d’arts plastiques effectué à la School of the Art Institute de Chicago, il a également suivi le programme d’études indépendant du Whitney Museum. Il a reçu en soutien de son travail des bourses du Creative Capital Award et de la Graham Foundation. Il enseigne actuellement à Parsons The New School. Commissaire : Laura Herman Photo : The Arcadia Center, 2019. Ben Thorp Brown. Video. Coproduction Jeu de Paume, Paris, Museo Amparo and CAPC. © Ben Thorp Brown DatesJuin 18 (Mardi) 11 h 00 min - Septembre 22 (Dimanche) 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Get Directions CalendrierGoogleCal AU JEU DE PAUME À L’AUTOMNE Missing Event DataJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris mar15oct(oct 15)11 h 00 min2020dim12jan(jan 12)19 h 00 minDaisuke KosugiSatellite 12 : une programmation de Laura HermanJeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementPar le biais du cinéma, de la sculpture, de la performance et du texte, Daisuke Kosugi met au point des scénarios séduisants qui renferment un conflit sous-jacent entre la liberté Détail de l'événement Par le biais du cinéma, de la sculpture, de la performance et du texte, Daisuke Kosugi met au point des scénarios séduisants qui renferment un conflit sous-jacent entre la liberté personnelle et les systèmes. Que ce soit en décrivant la façon dont la créativité est minée par l’industrie créative à l’œuvre dans un marché du travail postfordiste, ou à travers un récit de créativité qu’on ne peut convertir en mesures de productivité culturelles ou économiques, Kosugi analyse ces combats à travers les vies d’individus. Ses films semi-autobiographiques entraînent le public dans des expériences intimes où le conflit est présenté de façon corporelle et émotionnelle. À travers des couches de fiction et de non-fiction, il élabore un mode actif de visionnage, une méthode de récit développée à partir de son intérêt pour l’empathie et l’incommunicabilité de la douleur. Daisuke Kosugi (1984, Tokyo) vit et travaille à Oslo. Avec Ina Hagen, il est le cofondateur de l’initiative Louise Dany à Oslo. Parmi ses dernières expositions personnelles, on peut citer : « Dawning of the Dance Floor », Podium, Oslo (2015) et « Forgive Me For I Am Not Gentle » en duo avec Ina Hagen, INCA Seattle (2016). Son travail a été présenté au LIAF (Lofoten International Art Festival) en Norvège ; à CPH:DOX 2017 (Mention spéciale à NEW:VISION Award), à la 11e Biennale de Gwangju, en Corée-du-Sud (2016) et à la Konsthall de Malmö (2016). Il a été présélectionné pour les Grants for Emerging Artist de la DNB Savings Bank Foundation en 2016, l’Oslo Kunstforening et l’International Award of the Spring Exhibition 2016, Kunsthal Charlottenborg, Copenhague. En 2017, il a été en résidence au WIELS, à Bruxelles. Commissaire : Laura Herman Photo : Meeting Uncle Yuji 2018. Vidéo. Daisuke Kosugi. Photo : Oscar Qvale DatesOctobre 15 (Mardi) 11 h 00 min - Janvier 12 (Dimanche) 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Get Directions CalendrierGoogleCal LIVRE Mille et un passages Sally Mann Sous la direction de Sarah Greenough, Sarah Kennel. Textes de Sarah Greenough, Sarah Kennel, Hilton Als, Malcolm Daniel et Drew Gilpin Faust. Relié, 27 × 29 cm, 332 pages, 230 ill. n. & b. Coédition Jeu de Paume / Éditions Xavier Barral ISBN : 978-2-36511-214-3 55 € http://www.jeudepaume.org/ A LIRE Jeu de Paume : Quentin Bajac succède à Marta Gili Carte blanche à Dominique Issermann : Deep South de Sally Mann Favori0
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