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« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 13 heures ago
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Partager Partager EvénementsL'ActuPhoto L’Éloge de la Lenteur aux Promenades Photographiques de Vendôme 2/2 Pascal Therme4 juillet 2019 Temps de lecture estimé : 10minsTout en déambulations et en jambes, le navire amiral des Promenades Photographiques s’ouvre au Manège Rochambeau, précédemment cité, qui abrite en ses flancs 16 expositions dont la plupart ont été confiées à Monica Santos qui en a assuré la très active et singulière scénographie. Etat des lieux d’une sélection d’expositions et rencontres avec notre critique Pascal Therme. Hommage à Xavier Barral. Rencontre avec Jordan Alves, Coordinateur éditorial aux Éditions Xavier Barral <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> « Dans l’œil de Xavier Barral » est une installation dédiée au travail de cet éditeur singulier disparu en février 2019. Dans un espace oval en forme d’œil et à partir de la mise en scène d’une sélection de livres des Éditions Xavier Barral, cette création scénographique est une expérience poétique et immersive au cœur de la page imprimée. Monica Santos s’est emparée de quelques titres de l’éditeur, en a prélevé le contenu et couvert l’espace consacré avec les pages éditées en leur donnant une destination visuelle précise et différente dont elle s’explique ci dessous. Le résultat est un formidable hommage rendu à Xavier Barral, en tant qu’homme et à sa Maison d’édition. Une poétique anime le volume et le plan, disperse, assemble, associe, plie, crée des vagues, plient en carré ou arrondit les pages devenus matières, fait apparaître telle image sous ou sur telle autre, des phrases se forment, des citations se forment , des planètes, Mars, l’espace, les portraits d’Olivier Culmann, les corps de …. etc…comme un territoire sans fin, une aventure en expansion, un univers qui se dilate… Rencontre avec Florence Joubert autour de son travail Les Gardiens du Temps <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> Le météosite du Mont Aigoual est le dernier observatoire météorologique habité de France. Situé sur le toit des Cévennes, il est soumis à des phénomènes extrêmes du fait de la rencontre du sommet avec les vents méditérranéens. Des générations de personnages se sont succédées dans cette forteresse, scrutant le ciel, la nature et ses états. Aujourd’hui encore, Chantal, Eric, Rémy et Christian, quatre salariés de Météo-France y tutoient le brouillard et les tempêtes, résistant aux assauts répétés du climat et aux évolutions inéluctables d’un métier qui disparaît. Au rythme des saisons et à la lecture des registres d’observation datant du 19ème siècle, j’ai essayé de comprendre la relation spéciale qu’entretiennent les météorologues au temps sous toutes ses formes, d’explorer leur connaissance intime d’un environnement dans son ensemble. Instruments de mesure anciens et modernes, récits d’observation et graphiques délivrant la vitesse du vent ou les variations de pression dialoguent avec les scènes extérieures et forgent une représentation scientifique, mais aussi poétique de ce temps qu’il fait et qui passe. Ces gardiens, à l’abri des épais murs centenaires de l’Observatoire, dans les décors bricolés du musée ouvert l’été semblent convoquer les éléments au dedans pour une dernière danse. Rencontre avec Melody Garreau autour de son travail L’innocence ternie <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> L’innocence ternie est un hymne à ma sœur Chloé. Photographie d’un temps d’incertitude, un croisement délicat entre l’enfant et la jeune femme. À dix sept ans, la quête de sa propre identité se révèle être un combat, une recherche à prendre possession de son propre corps. Depuis que j’ai traversé la Manche, ma voix est à la recherche de son écho et mon regard de sa juste distance. Je donne à voir ces quelques photographies comme les pièces éparses d’un puzzle complexe. La Tour Sentinelle de Mat Jacob « Etat des Lieux » : à la barre HLM du quartier des Rottes de Vendôme, destinée à la destruction, peintres et tagueurs ont livré un regard sincère et concerné, habité d’interrogations sur la planète et le vivant. Enfermé dans cette « tour sentinelle », j’ai collecté les messages cryptés, témoignages d’une planète en mutation, un laboratoire de l’anthropocène… C’est ici que j’ai ressenti leur désir d’un monde plus juste, tenté de collecter l’universel sur un territoire microcosmique, pour un éloge de la lenteur et de la décroissance… C’est ici, dans cet édifice voué à l’effondrement, que j’ai lentement et maintes fois voyagé autour de la terre et observé leur désir d’un monde plus juste. « Somewhere » est une séquence d’images qui s’articulent comme une respiration fébrile dans laquelle chaque photo, en revanche, est autonome et offre au regard la possibilité d‘un commencement. « Somewhere », c’est bien sûr quelque part ; quelque part entre hier et demain, quelque part entre le coin de la rue, le bout du champ ; un endroit si familier et pourtant, à un détail près, si différent qu’on a envie de venir doucement s’y perdre. CAMPUS En amont du festival, les Promenades Photographiques de Vendôme organisent un workshop dédié aux étudiants d’écoles de photographie internationales. Accompagnés par les enseignants respectifs des écoles, encadrés par Mat Jacob, les élèves se confrontent pendant dix jours à toutes les étapes du processus d’une création collective: un thème donné, un engagement commun pour l’art et la pédagogie d’un travail photographique, finalisée par l’accrochage d’une exposition intégrée à la programmation. Urban Landscape de Franco Fontana Le travail de Fontana, qui se situe entre la représentation de la réalité et une soi-disant réalité, incite à une réflexion sur l’acte de voir. L’artiste, par sa photographie, invente subjectivement son propre monde. Il a publié de nombreux livres et mené différentes expositions personnelles et collectives à travers l’Italie et l’Europe. Depuis 2000, Fontana a conduit une étude sur le microcosme des signes et des fragments de pavage sur la rue en milieu urbain (Asfalti). La Spirale de Gerardo Custance Photographe madrilène et ancien résident de la Cité internationale universitaire de Paris, Gerardo Custance a beaucoup travaillé sur la singularité de ce territoire. Sa nouvelle série suit un parcours imaginaire de la forme d’une spirale, partant de son atelier d’artiste au Théâtre de la Cité vers les zones transitoires aux frontières du grand Paris. Promeneur solitaire, il parcourt les chemins avec sa chambre photographique et décortique le temps, construisant patiemment des paysages de la lenteur, miroirs de ses états d’âme. D’où vient le pouvoir hypnotique des photographies de Gerardo Custance ? Je regardais l’une d’entre elles, prise dans l’encadrement d’une fenêtre. […] Il existe plusieurs versions de cette photo […] ce qui suppose que Gerardo est resté longtemps avec son appareil dans l’encadrement de cette fenêtre […] pour aller — selon l’expression courante, « au fond des choses ». C’est son regard à lui, son attente, qui donne à cette photo, en apparence réaliste, son pouvoir hypnotique. — Patrick Modiano, Prix Nobel de Littérature > Retrouvez le programme complet de cette 15ème édition : http://promenadesphotographiques.com/ INFORMATIONS PRATIQUES sam15jui(jui 15)10 h 00 minmer18sep(sep 18)19 h 00 min15ème édition des Promenades PhotographiquesEloge de la Lenteur OrganisateurAssociation Promenades photographiques Détail de l'événementCette année, les Promenades Photographiques ont quinze ans. L’Éloge de la lenteur s’inscrit naturellement dans les pas de Leonard de Vinci dont la Région Centre-Val de Loire célèbre la disparition Détail de l'événement Cette année, les Promenades Photographiques ont quinze ans. L’Éloge de la lenteur s’inscrit naturellement dans les pas de Leonard de Vinci dont la Région Centre-Val de Loire célèbre la disparition à Amboise il y a 500 ans. La photographie est le fruit de nombreuses avancées techniques, toutes inspirées du principe de la chambre noire. Les pères de ce procédé sont multiples, l’histoire retient le nom de Léonard De Vinci. Il fut l’inventeur de la machine à dessiner en 1515. Déjà, le principe de la photographie était né. Les différentes formes de représentations photographiques favorisent la rencontre de la création contemporaine et de la création documentaire. Rapprocher les regards, les pratiques, les générations est une valeur fondatrice de ce festival. L’éloge de la lenteur fait sens face à des applications téléchargées qui en 2 clics permettent aux addicts des réseaux sociaux de se penser artiste. Ici l’image est pensée, visualisée, composée, réalisée et revisualisée à nouveau, enfin elle est livrée aux mains du tireur qui en révélera le produit final. La création se poursuivra par le mélange de différents médium, chimie, peinture, or. Les photographes reviendront pendant plusieurs mois ou années sur leurs travaux pour documenter et témoigner. Le temps sera long à l’aboutissement de leur recherche. Dans la course à l’accélération, il est indispensable de lentement revenir à la pensée, à la réflexion, à l’action mûrie pour sauvegarder nos cultures plurielles. Prendre le temps, ralentir le pas, regarder le monde autour de soi, le transmettre poétique ou bouleversant, reprendre son souffle pour jouir de la vie quotidienne, se réjouir des partages, réfléchir en conscience aux conséquences de nos actes, tel est aussi le credo des photographes réunis cette année encore pour rédiger ensemble cette phrase photographique, doucement, mais sûrement inoubliable… Odile Andrieu Directrice artistique des Promenades Photographiques En savoir plus sur cette édition : http://www.promenadesphotographiques.com/ © Barbara Wolff Dates15 Juin 2019 10 h 00 min - 18 Septembre 2019 19 h 00 min(GMT+00:00) OrganisateurAssociation Promenades photographiquesLearn More CalendrierGoogleCal A LIRE Le premier volet de l’article > Un Festival droit dans ses bottes – Éloge de la Lenteur aux Promenades Photographiques de Vendôme 1/2 Rencontre avec Sarah Moon dans le cadre des 15èmes Promenades Photographiques de Vendôme Rencontres aux Promenades Photographiques de Vendôme #FestivalDeLété : Les Promenades Photographiques de Vendôme Carte blanche à Dominique Issermann : Sarah Moon à Milan L’une et L’autre. Ateliers de Femmes victimes d’exclusion dirigés par Sarah Moon et José Chidlovsky Marque-page0
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