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Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsVictime d’une maladie dont l’issue a été foudroyante, Françoise Nuñez s’en est allée vers d’autres horizons quelques jours avant Noël. Ce portrait que Bernard Plossu fait d’elle en 1981 au Mexique témoigne de l’intensité du regard qu’elle porte en direction du photographe. Quelques années plus tard, ils se marient et de leur union naîtront deux enfants. Bernard Plossu n’a jamais manqué de rendre hommage à Françoise Nuñez, à la femme qu’il aime profondément, à la mère de Joaquim et Manuela, mais aussi à celle qui a consacré une part de sa vie à l’œuvre de l’un des photographes français aujourd’hui les plus estimés. Portrait de Françoise Nuñez, Mexique, 1981 © Bernard Plossu / Courtesy Galerie Camera Obscura Dans les années 1970, à Toulouse, elle s’initie au tirage dans l’atelier du charismatique Jean Dieuzaide, aux côtés de Théo Caddau, en même temps qu’elle commence à photographier. La terre d’Espagne, dont sa famille est originaire, sera sa première destination. Quant à sa maîtrise du développement des négatifs et du tirage, son art de la traduction des ombres et des lumières en une délicate palette de noirs et blancs, ses choix en matière de tonalité, elle ne tardera pas à les mettre au service des photographies de Bernard Plossu. Si bien que l’on n’imagine pas l’un sans l’autre : une vision du monde trouve sa sublimation dans un savoir-faire. Mais quand elle n’est pas auprès de lui et de ses enfants, quand elle ne travaille pas dans le laboratoire de leur maison de La Ciotat, Françoise fait le choix – comme une nécessité – de s’évader en direction de territoires souvent lointains, Asie et Amérique du Sud entre autres. Elle ne semble d’ailleurs vouloir photographier qu’à l’occasion de ces stimulantes et inspiratrices coupures dans le cours de son quotidien : « Je ne photographie pratiquement qu’en voyage, dit-elle. Et quand je pars, je ne pense qu’à ça. » Besoin d’évasion certes, de solitude peut-être, mais plus précisément aussi de vivre sur un autre rythme, de s’immerger dans d’autres espaces ; besoin de se laisser surprendre et envahir par la découverte de paysages, de lumières, de sociétés et de cultures différentes. L’atmosphère de l’Inde et ce qu’elle y découvre la fascinent tout particulièrement. Valparaíso aussi, dans les pas de Sergio Larrain – l’occasion leur a été donnée par la revue espagnole Fotografías d’être publiés ensemble et de nourrir une admiration réciproque –. Et c’est ainsi qu’elle développe, au fil des années, une œuvre personnelle, fondée sur un condensé d’énergies et d’émotions, dans un style qui lui est propre et dominé par la douce musique du noir et blanc et un subtil assemblage de formes. La verticalité des cadrages sera l’une des marques de fabrique de ses compositions. L’œuvre trouvera sa juste restitution à travers de régulières expositions et publications, accompagnée avec attention par la galerie Camera Obscura. – Gabriel Bauret Marque-page7
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