Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024
NewsPhoto Fondation HCB : Un nouveau directeur et inauguration d’un nouvel espace Ericka Weidmann19 septembre 2022 Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsHenri Cartier-Bresson, Blackpool, juillet 1962© Fondation Henri Cartier-Bresson / Magnum Photos La Fondation HCB célèbre ses 20 ans l’an prochain. Initialement implantée en plein cœur du quartier du Montparnasse, la fondation dédiée à l’un des plus grands photographes de notre histoire, Henri Cartier-Bresson, annonce du changement pour la saison à venir : elle vient d’annoncer l’arrivée de son nouveau directeur Clément Chéroux, qui succède ainsi à François Hébel et à Agnès Sire et inaugure également son nouvel espace, nommé le Tube qui offre un agrandissement de plus de 100m2, dans leurs locaux du marais installés en 2018. Changement de direction Portrait Clément Chéroux Le président de la Fondation Henri Cartier-Bresson, Serge Toubiana vient d’annoncer la nomination de Clément Chéroux, conservateur en chef de la photographie au MoMA à New York, au poste de directeur de la Fondation. Il succède à François Hébel, directeur de la Fondation depuis 2018 qui a été l’artisan de l’installation de la Fondation rue des Archives, puis de son extension qui sera inaugurée le 8 novembre 2022, et à Agnès Sire, fondatrice de l’institution aux côtés d’Henri Cartier-Bresson, de Martine Franck et de leur fille Mélanie Cartier-Bresson. Clément Chéroux prendra ses fonctions le 5 décembre 2022. Extension de l’espace d’exposition, rue des Archives En 2018, la Fondation quittait le 14ème pour s’installer rue des Archives, en plein cœur du Marais, le 8 novembre prochain, les visiteurs pourront découvrir la nouvelle extension de plus de 100m2 nommée le Tube, ajoutant ainsi un espace supplémentaire à l’actuel Cube de 300m2 à travers deux expositions inaugurales « Reconciliation » avec les œuvres d’Henri Cartier-Bresson et Martin Parr et une rétrospective consacrée à Jan Groover, dans l’ancien espace. INFORMATIONS PRATIQUES Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 Paris mar08nov(nov 8)11 h 00 min2023dim12fev(fev 12)19 h 00 minJan GrooverLaboratoire des formesFondation Henri Cartier Bresson, 79, rue des Archives 75003 Paris Détail de l'événementArtiste singulière, Jan Groover (1943-2012), d’origine américaine, a eu un impact considérable sur la reconnaissance de la photographie couleur. Cette exposition, première rétrospective à lui être consacrée depuis sa mort Détail de l'événement Artiste singulière, Jan Groover (1943-2012), d’origine américaine, a eu un impact considérable sur la reconnaissance de la photographie couleur. Cette exposition, première rétrospective à lui être consacrée depuis sa mort en 2012, donne à voir l’évolution de son oeuvre, de ses polyptyques originels aux natures mortes qu’elle réalisera toute sa vie. Grâce à la donation des archives de Jan Groover à Photo Elysée (Lausanne) en 2017, cette exposition, présentée en 2019 à Lausanne, rend hommage à une artiste qui s’est en permanence renouvelée, s’inscrivant ainsi dans l’histoire de la photographie. Jan Groover a commencé la photographie comme par défi. Constatant que « la photographie n’était pas prise au sérieux » aux États-Unis dans les années 1960, elle s’éloigne de la peinture abstraite, qu’elle a étudiée. En 1967, Jan Groover achète son premier appareil photo, ce qu’elle qualifie comme étant son « premier acte d’adulte ». Son goût pour l’abstraction et la picturalité se retrouve cependant dès ses premières séries de polyptiques dont le sujet est démultiplié, fractionné ou caché derrière des formes opaques, jusqu’à être nié. À partir de la fin des années 1970, Jan Groover se tourne vers la nature morte, genre classique des arts picturaux, qu’elle explore jusqu’à la fin de sa vie par une diversité exceptionnelle de sujets, de formats et de procédés. Alors que la photographie documentaire est à l’honneur dans des magazines tels que LIFE, Jan Groover met à profit ses connaissances en peinture dans son travail photographique et contribue ainsi à donner à la photographie abstraite ses lettres de noblesse, produisant des clichés pour le plaisir des formes, loin de tout sens ou revendications. En plus des natures mortes, le travail de Jan Groover intègre également des séries sur le thème des autoroutes, du portrait et des fragments de corps (Body Parts). Actrice de la mutation du médium photographique vers plus de polyvalence, qualité jusqu’alors attribuée à la peinture ou au dessin, Jan Groover expérimente différentes techniques de création. Par exemple, l’usage du tirage au platine et au palladium pour ses séries de clichés urbains ou les portraits de ses proches, comme John Coplans ou Janet Borden avec qui elle est en constant dialogue intellectuel. DatesNovembre 8 (Mardi) 22 h 00 min - Février 12 (Dimanche) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuFondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 Paris Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 ParisLa Fondation est ouverte du mardi au dimanche de 11h à 19h. Plein tarif 10 € / Tarif réduit 5 € (sur justificatif) Get Directions CalendrierGoogleCal Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 Paris mar08nov(nov 8)11 h 00 min2023dim12fev(fev 12)19 h 00 minJan GrooverLaboratoire des formesFondation Henri Cartier Bresson, 79, rue des Archives 75003 Paris Détail de l'événementArtiste singulière, Jan Groover (1943-2012), d’origine américaine, a eu un impact considérable sur la reconnaissance de la photographie couleur. Cette exposition, première rétrospective à lui être consacrée depuis sa mort Détail de l'événement Artiste singulière, Jan Groover (1943-2012), d’origine américaine, a eu un impact considérable sur la reconnaissance de la photographie couleur. Cette exposition, première rétrospective à lui être consacrée depuis sa mort en 2012, donne à voir l’évolution de son oeuvre, de ses polyptyques originels aux natures mortes qu’elle réalisera toute sa vie. Grâce à la donation des archives de Jan Groover à Photo Elysée (Lausanne) en 2017, cette exposition, présentée en 2019 à Lausanne, rend hommage à une artiste qui s’est en permanence renouvelée, s’inscrivant ainsi dans l’histoire de la photographie. Jan Groover a commencé la photographie comme par défi. Constatant que « la photographie n’était pas prise au sérieux » aux États-Unis dans les années 1960, elle s’éloigne de la peinture abstraite, qu’elle a étudiée. En 1967, Jan Groover achète son premier appareil photo, ce qu’elle qualifie comme étant son « premier acte d’adulte ». Son goût pour l’abstraction et la picturalité se retrouve cependant dès ses premières séries de polyptiques dont le sujet est démultiplié, fractionné ou caché derrière des formes opaques, jusqu’à être nié. À partir de la fin des années 1970, Jan Groover se tourne vers la nature morte, genre classique des arts picturaux, qu’elle explore jusqu’à la fin de sa vie par une diversité exceptionnelle de sujets, de formats et de procédés. Alors que la photographie documentaire est à l’honneur dans des magazines tels que LIFE, Jan Groover met à profit ses connaissances en peinture dans son travail photographique et contribue ainsi à donner à la photographie abstraite ses lettres de noblesse, produisant des clichés pour le plaisir des formes, loin de tout sens ou revendications. En plus des natures mortes, le travail de Jan Groover intègre également des séries sur le thème des autoroutes, du portrait et des fragments de corps (Body Parts). Actrice de la mutation du médium photographique vers plus de polyvalence, qualité jusqu’alors attribuée à la peinture ou au dessin, Jan Groover expérimente différentes techniques de création. Par exemple, l’usage du tirage au platine et au palladium pour ses séries de clichés urbains ou les portraits de ses proches, comme John Coplans ou Janet Borden avec qui elle est en constant dialogue intellectuel. DatesNovembre 8 (Mardi) 22 h 00 min - Février 12 (Dimanche) 6 h 00 min(GMT-11:00) LieuFondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 Paris Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 ParisLa Fondation est ouverte du mardi au dimanche de 11h à 19h. Plein tarif 10 € / Tarif réduit 5 € (sur justificatif) Get Directions CalendrierGoogleCal Voir programmation de la Fondation HCB Favori0
News Carolle Benitah, devenue l’éternelle Il y a 5 ans tout juste, sortait l’ouvrage « Jamais je ne t’oublierai » aux éditions L’Artière. Aujourd’hui ces mots résonnent d’une façon ...
Photo Masterclass Oeildeep : « Entre deux mondes » par Clémentine Courcelle Cette semaine, nous poursuivons la restitution de la dernière Masterclass Oeildeep, qui a été encadrée par Laura Sérani, Stefano de Luigi et ...
News Quelles perspectives pour les États Généraux de la Photographie ? Pour clôturer ces deux journées de restitution publique des États Généraux de la Photographie, les huit structures associatives et professionnelles organisatrices ont ...
Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024