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Partager Partager EvénementsPhoto Ouverture de la galerie Miranda, saison féminine avec Jo Ann Callis La Rédaction8 mars 2018 Temps de lecture estimé : 3minsL’australienne Miranda Salt inaugure aujourd’hui, dans le 10ème arrondissement de Paris, sa galerie dédiée à la photographie fine art et à l’édition. Une date inaugurale qui n’est pas choisie au hasard, puisque la Galerie Miranda nous offre un premier cycle d’expositions dédié à trois artistes femmes. C’est la photographe américaine Jo Ann Callis qui ouvre le bal avec la série culte, « Early Color », il s’agit de sa première exposition personnelle en Europe. Le travail de Jo Ann Callis est rapidement remarqué malgré les obstacles auxquels elle a dû faire face : mariée à l’âge de 21 ans, elle est rapidement devenue mère de deux enfants et a donc dû suivre des cours du soir pour finalement obtenir son diplôme en arts plastiques à l’âge de 34 ans, en 1974. La même année, Callis expose un premier travail ‘fétiche’ à la Women’s Building, un centre féministe situé à Downtown Los Angeles. « Ces images ne parlent pas uniquement de sexualité mais aussi des limites et des frontières de la photographie, et de sa capacité à nous interpeller. Elles posent la question : peut-on photographier une pensée ? Une image peut-elle représenter à la fois de la sensualité et du cérébral ? Depuis les années 60, Jo Ann Callis explore ces émotions complexes et souvent contradictoires ; aussi, ses photographies sont à la fois esthétiques et gênantes, délicates et crues, mystérieuses et réfléchies. » – Francine Prose Produite entre 1976 et 1977, au pic du mouvement pour les droits des femmes, la série Early Color’ est subtile, dérangeante et beau à la fois. Réalisé au domicile de l’artiste qui, en plein divorce, met en scène les plaisirs, les troubles et les angoisses de la vie domestique. En mélangent les matières et les surfaces – la peau, le tissu du mobilier mais aussi la soie, le cuir, des traces de rouge à lèvre, du miel – l’artiste propose une vision du corps et un « érotisme mystérieux » (Dazed magazine, 2014) qui sont l’antithèse des postures explicites et codifiées par la pornographie et la publicité de l’époque. Se sentant en phase avec la bataille menée pour les droits des femmes, en pleine ébullition à l’époque, Callis ne se décrit pourtant pas comme une ‘militante’. Avec cette série, elle a voulu retranscrire un état d’esprit révélé par le corps. Ce travail est frappant par son approche contemporaine, il a été découvert par le public en 2014 à la ROSEGALLERY de Los Angeles. De mars à juillet, trois expositions et une sélection de livres feront découvrir ou redécouvrir des artistes aux parcours exceptionnels dont deux sont notamment lauréates de la Bourse Guggenheim et la troisième, une figure de proue de l’art militante et féministe des années 70. INFORMATIONS PRATIQUES Early Color Jo Ann Callis Du 8 mars au 28 avril 2018 galerie Miranda 21 rue du Château d’Eau 75010 Paris http://www.galeriemiranda.com Marque-page0
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