Carte blanche à The Analog Club : Gil Rigoulet nous livre son ode à la photographie argentique 1 heure ago
Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique 2 jours ago
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 1 jour ago
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré 1 heure ago
Partager Partager EvénementsL'InterviewPhoto L’agence Modds au Festival Portrait(s) Vichy 2019 avec Turkina Faso & Benni Valsson Pascal Therme28 juin 2019 Temps de lecture estimé : 5minsL’agence Modds dirigée par Olivia Delhostal et Marie Delcroix est spécialisée dans la photographie de portrait. À l’occasion de la septième édition du festival Portrait(s) de Vichy, deux photographes que l’agence représente et diffuse : Turkina Faso & Benni Valsson. Pascal Therme a rencontré la jeune photographe russe Turkina Faso qui nous plonge dans la poésie et l’enchantement de ses chimères d’enfance. <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> Entretien en anglais. Turkina Faso est une jeune photographe russe qui vit désormais à Londres, où elle mène une carrière dans la mode et le documentaire. Elle poursuit depuis une dizaine d’années un travail sur sa soeur Alice, restée étudier à Moscou. Livrant des images qui mêlent l’instantané et la mise en scène, le document et la fiction, Turkina Faso opère une traversée du miroir. La grâce et les fantaisies d’Alice font écho à la nature sauvage et indomptée des paysages du Caucase du Nord. À travers les sortilèges de sa soeur qui passe doucement de l’enfance à l’adolescence, Turkina Faso retrouve la poésie et l’enchantement de ses propres souvenirs de jeunesse, de ses propres chimères d’autrefois. Turkina Faso est représentée par l’agence Modds, Paris Pascal Therme a donc également rencontré le portraitiste de star Benni Valsson qui nous présente une série personnelle sur son pays d’origine, l’Islande. <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> Réputé pour ses photos de personnalités du monde du cinéma ou de la musique, Benni Valsson mène depuis trois ans un travail de portraits plus discret dans son pays d’origine, l’Islande. OEuvrant en réaction à l’urgence des commandes pour les magazines ou les marques, il travaille ici à la chambre et associe ses portraits d’anonymes ou de créateurs islandais – poètes, danseurs, vidéastes, artistes plasticiens… –, réalisés en extérieur, au passage des saisons et aux mutations du paysage urbain. Ses portraits frontaux, d’une grande sobriété, sont aussi pour lui le prétexte d’un retour au pays par le biais de rencontres intenses et uniques. Benni Valsson est représenté par Carole Lambert. Diffusion l’agence Modds, Paris INFORMATIONS PRATIQUES ven14jui(jui 14)10 h 00 mindim08sep(sep 8)18 h 00 minPortrait(s), Les rendez-vous photographiques de Vichy OrganisateurPortrait(s), Les rendez-vous photographiques de Vichy Détail de l'événementL’émotion, sept ans après la première édition de Portrait(s), demeure intacte. Intacte aussi l’envie d’ouvrir, le temps d’un été, une fenêtre sur les richesses d’un paysage artistique aux nuances inépuisables. Détail de l'événement L’émotion, sept ans après la première édition de Portrait(s), demeure intacte. Intacte aussi l’envie d’ouvrir, le temps d’un été, une fenêtre sur les richesses d’un paysage artistique aux nuances inépuisables. Portrait(s) poursuit son exploration d’un genre photographique singulier. Plus que jamais, le festival suscite la découverte, la transmission et le partage. Cette volonté, d’escale en escale, ouvre la voie d’un nouveau voyage photographique. Un voyage dans l’hétérogénéité et la complexité du monde. De l’usine à rêves des collines hollywoodiennes aux fabriques d’adultes des pensionnats ukrainiens. Du noble dépouillement des plaines d’Afrique de l’Est à la fantaisie désenchantée du Caucase russe. Des jours sombres de l’Angleterre thatchérienne aux heures solitaires d’une Islande rugueuse. C’est un voyage dans la forme mais aussi, dans la diversité des écritures –innovantes, sobres, graves ou légères. Parfois trompeuses, à la frontière des genres, puisant dans les codes de l’un pour mieux pervertir les usages de l’autre. Comme chez la jeune photographe russe Turkina Faso qui emprunte à la mode ses artifices pour révéler, à travers le personnage de sa jeune soeur Alice, ses souvenirs d’une jeunesse idéalisée. Chez le Hollandais Bastiaan Woudt, en reportage dans le district de Mukono, en Ouganda, il effleure plus qu’il ne raconte, il esquisse des impressions à la limite du surréalisme, dans ses noirs et blancs magnétiques aux contrastes stylisés. Portrait(s) présente également une exposition thématique : sur la pratique du selfie devenue frénétique, addictive. En témoigne le minutieux travail de documentation d’Olivier Culmann, commissaire invité, qui évoque un phénomène dont l’ampleur bouleverse liens sociaux et communication publique. Vichy est cette année candidate avec dix autres villes thermales européennes au patrimoine mondial de l’UNESCO. Ce sera l’occasion pour Ambroise Tézenas, qui signe la résidence, de mettre en lumière l’ampleur patrimoniale de la reine des villes d’eau ainsi que ses acteurs. C’est avec ce nouveau programme, que nous réaffirmons notre volonté de soutenir la création et de promouvoir la photographie. Bienvenue à Vichy pour la septième édition de Portrait(s) ! Fanny Dupechez Photo : Série Mukono. Courtesy Kahman Gallery, Amsterdam and Jackson Fine Art, Atlanta Dates14 Juin 2019 10 h 00 min - 8 Septembre 2019 18 h 00 min(GMT+00:00) OrganisateurPortrait(s), Les rendez-vous photographiques de VichyLearn More CalendrierGoogleCal A LIRE Festival Portrait(s) Vichy 2019 : Le selfie avec le commissaire invité Olivier Culmann Ambroise Tézenas dévoile l’ouvrage « Villa mon plaisir » au festival Portrait(s) de Vichy 2019 Festival Portrait(s) Vichy 2019 : Rencontre avec Fany Dupêchez, directrice artistique Festival Portrait(s) Vichy 2019 : Les visages africains de Bastiaan Woudt Festival Portrait(s) à Vichy (1ère Partie) Festival Portrait(s) à Vichy (2nde Partie) Vichy : Les 5 ans de la manifestation photographique Portrait(s) Rencontre avec Frédérique Founès : Lancement du CLAP dans la continuité du mouvement #PayeTaPhoto Marque-page3
Interview Art Contemporain We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré A l’occasion des 20 ans de leur rencontre, Nicolas Beaumelle & Aurélien Porte (We Are The Painters) dévoilent dans l’exposition à la ...
L'Edition Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud La vie de Letizia Battaglia est un véritable roman, c’est pour cette raison que son amie, la journaliste Sabrina Piou, a souhaité ...
L'Invité·e Carte blanche à The Analog Club : Thibaut Piel, 10 ans de photographie vagabonde Pour leur deuxième carte blanche, nos invité·s de The Analog Club – lieu dédié à la photographie argentique à Paris – ont ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Carte blanche à The Analog Club : Gil Rigoulet nous livre son ode à la photographie argentique 1 heure ago
Carte blanche à The Analog Club : Rencontre avec Florian Guillon-Antigny, artisan des procédés alternatifs en argentique 2 jours ago
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
Letizia Battaglia, Une vie de lutte. “Je m’empare du monde où qu’il soit” aux éditions Actes Sud 1 jour ago
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré 1 heure ago
We Are The Painters, Interview, galerie In Situ – fabienne leclerc : recyclage, chevelure et premier degré