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Partager Partager L'Invité·ePhoto Nicolas Henry, photographe, est notre invité La Rédaction2 décembre 2019 Temps de lecture estimé : 4minsCette semaine, nous accueillons le photographe français Nicolas Henry. Il y a un mois, nous avions pu découvrir son monumentale projet d’exposition « Emmaüs, le Tour du Monde », place du Palais Royal à Paris. Celui qui parcourt la planète pour tirer le portrait des ancêtres du monde entier, partagera avec nous chaque jour un peu de son univers. Aujourd’hui, il débute avec son portrait rêvé… Né en France en 1978, Nicolas Henry est diplômé des Beaux Arts de Paris. Il a été formé dans l’industrie du cinéma en tant que réalisateur de films à l’Emily Carr Institute of Art and Design à Vancouver, Canada. Parallèlement à une carrière d’éclairagiste et de scénographe dans le spectacle (musique, danse contemporaine et théâtre), il a parcouru le monde pendant trois ans en tant que réalisateur pour le projet « 6 milliards d’autres » de Yann Arthus-Bertrand, il en a assuré la direction artistique lors de l’exposition au grand Palais au début de 2009. Il poursuit son travail personnel, parcourant le monde afin de réaliser une série de portraits des ancêtres du monde entier «Les cabanes de nos grands parents » (Editions Actes Sud), mélangeants installation plastiques et portraits photographiques. Ses travaux mixants photographies, sculptures ont été exposées dans le monde entier de New York au Japon, Népal, Nigéria, Corée en Argentine … Le film « Comfortably Lost » (2011) du réalisateur Quentin Clausin est basé sur l’histoire de ce théâtre vivant. Il est présent aux rencontres d’Arles en 2014 et 2016, cette même année, il a été récompensé par le prix Popcap’16 pour la photographie africaine. Son nouveau livre sur les communautés à travers le monde «Contes imaginaires autour du monde – World’s in the making» sort en 2016 aux Editions Albin Michel, il reçoit le prix Méditerranée du livre d’art 2017. Des institutions telles que le DuSable Museum of African American History, le Musée National de l’immigration de Paris, les acquisitions du FRAC Guyane, ou la COP 21, saluent le sens et l’engagement de la démarche artistique autant que son esthétique. En Octobre 2019, il met en scène les 70 ans d’Emmaus, place du palais Royal à Paris. https://www.nicolashenry.com/ Portrait chinois de Nicolas Henry Si j’étais une œuvre d’art : Un Tanka Gompa Tabo, Spiti Si j’étais un musée ou une galerie : Teshima art Museum Si j’étais un(e) artiste (tous domaines confondus): Prokofiev Si j’étais un livre : La patience du tigre de Fred Bernard Si j’étais un film : Soy Cuba, Kalatozov Si j’étais un morceau de musique : Walking in the wild side Lou reed Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Portrait de son fils par Jean baptiste Senegas Si j’étais une citation : « Un sourire coûte moins cher que l’électricité, mais donne autant de lumière. » Abbé pierre Si j’étais un sentiment : Têtu Si j’étais un objet : 503CW Si j’étais une expo : Cremaster Mattew Barnet Si j’étais un lieu d’inspiration : Un lac, une forêt les reflet qui bougent lentement Si j’étais un breuvage : Chateau paul blanc, costière de Nîmes Si j’étais un héros/héroïne : Le photographe dans le combat ordinaire de Larcenet Si j’étais un vêtement : Mon pull chien. Retrouvez les cartes blanches de notre invité > Carte blanche à Nicolas Henry : La Collection Bachelot (le mardi 3 décembre 2019) > Carte blanche à Nicolas Henry : Floriane de Lassée (le mercredi 4 décembre 2019) > Carte blanche à Nicolas Henry : Les 70 ans d’Emmaüs (le jeudi 5 décembre 2019) > Carte blanche à Nicolas Henry : Entre tradition et modernité (le vendredi 6 décembre 2019) A LIRE Nicolas Henry présente ses « Cabanes imaginaires autour du monde » à la MAC (94) Les « Cabanes imaginaires autour du monde » de Nicolas Henry Rencontres aux Promenades Photographiques de Vendôme Marque-page0
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