Un appel à candidatures sous tension : quand le 1 % artistique finance un centre de lutte contre l’immigration clandestine 4 jours ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 5 jours ago
“Benzine Cyprine” vandalisée : la galerie NegPos relance l’exposition malgré les attaques 6 jours ago
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 16 juin 2025
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 7 jours ago
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 4 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 20 heures ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 5 jours ago
S.M.A.K. de Gand, Interview Philippe Van Cauteren, directeur : quelle peinture contemporaine en Belgique ? cap 2032 : le « musée et son double » 6 jours ago
Partager Partager L'ActuNewsPhoto Finbarr O’Reilly, lauréat du 11ème Prix Carmignac du Photojournalisme Ericka Weidmann21 avril 2020 Temps de lecture estimé : 5minsLe nom du lauréat est habituellement annoncé en septembre à l’occasion du festival Visa pour l’Image de Perpignan, mais avec la crise sanitaire majeure qui touche la planète, la Fondation Carmignac a décidé de prendre les devants, en dévoilant le nom du 11ème lauréat : Finbarr O’Reilly avec un projet collaboratif sur le Congo qui sera visible en ligne, dès le 28 avril prochain. Le 11e Prix Carmignac du photojournalisme, consacré à la République démocratique du Congo (RDC), a été attribué au photographe canado-britannique Finbarr O’Reilly. Son reportage a débuté en janvier, avant que la pandémie ne bouleverse nos vies et nos modes de fonctionnement. En raison de l’aggravation de la situation sanitaire internationale et de la fermeture progressive des frontières, Finbarr O’Reilly et l’équipe du Prix – en lien étroit avec les membres du jury et du pré-jury de la 11e édition – ont repensé leur mode opératoire et adapté le Prix et le reportage à la crise que nous traversons. La Fondation Carmignac ne souhaitant pas mettre en stand-by la bonne tenue du prix, elle a décidé de présenter « Congo in Conversation » de Finbarr O’Reilly, un reportage collaboratif en ligne qui, avec la coopération étroite de journalistes et photographes congolais (ou basés en RDC), traitera des défis humains, sociaux et écologiques que le Congo affronte aujourd’hui. Basé sur un site Internet créé spécifiquement et relayé sur les réseaux sociaux, « Congo en conversation » sera un flux inédit d’écrits, de reportages photos et de vidéos. Mis régulièrement à jour, il permettra de découvrir comment la RDC endure cette nouvelle crise et s’adapte aux réalités qui façonnent désormais nos vies. Suivez le lancement officiel en direct sur le compte Instagram du festival Visa pour l’image, le mardi 28 avril 2020 à 18h et sur le site : https://congoinconversation.fondationcarmignac.com/fr/ Congo en conversation La 11e édition du Prix Carmignac du photojournalisme se propose d’explorer avec un optimisme prudent l’avenir de la République démocratique du Congo, en documentant les dures réalités qui freinent l’essor d’un pays exploité depuis des générations. Avec la pandémie de coronavirus, le projet se focalise sur la manière dont les Congolais affrontent cette crise sanitaire mondiale alors que le pays émerge à peine d’une épidémie dévastatrice d’Ebola et de la pire flambée de rougeole au monde. Les hôpitaux américains et les villages italiens constituent aujourd’hui la ligne de front de la pandémie mondiale, mais les épidémiologistes et autres experts en santé publique prévoient que le coronavirus va se propager dangereusement au sud et submerger des nations en développement, déjà accablées par des systèmes de santé défaillants, des gouvernements fragiles et des populations appauvries pour lesquelles la distanciation sociale est pratiquement impossible. Le Prix Carmignac offre à des voix congolaises une tribune pour contribuer à la conversation mondiale. Cette pandémie est déjà en train de confronter les nations les plus pauvres du monde au plus grand défi économique depuis des décennies. Près de la moitié des emplois en Afrique pourraient être perdus, selon l’ONU, et les citoyens vivant sous des régimes faibles ou répressifs courent le risque majeur d’être exclus de la course mondiale aux médicaments et aux respirateurs. Un autre virus – celui de la rougeole – ravage déjà la RDC. Depuis janvier 2019, plus de 6 500 enfants en sont morts et 335 000 autres ont été infectés, selon les dernières données de l’OMS. Le tout dans un pays toujours en guerre avec lui-même, où des dizaines de groupes armés s’affrontent régulièrement dans les provinces de l’Est et où, ces derniers mois, d’obscures milices ont massacré des centaines de civils. La RDC a cependant un avantage. Ayant affronté ces dix-huit derniers mois l’une des pires épidémies d’Ebola, avec 3 453 cas et 2 273 morts, le pays a des outils pour répondre à une nouvelle flambée virale. Cette crise montre que les responsables congolais suivent de près les recommandations de l’OMS et une réponse rapide est cruciale pour endiguer le virus. Le 24 mars, le président Félix Tshisekedi a déclaré l’état d’urgence nationale et fermé les frontières pour limiter les infections. Déjà habitué aux mesures de prévention contre les infections virales, le pays a maintenu des pratiques essentielles d’hygiène publique : contrôle généralisé de la température, mise en place de stations de lavage des mains aux points d’entrée, installation de lavabos dans les lieux publics (marchés, centres de santé, etc.), distribution de savons et de produits détergents, et une campagne de sensibilisation aux risques de contamination à base d’affiches, de dépliants, de spots radio et via les réseaux communautaires. La majeure partie du pays est confinée, mais des millions de Congolais dépendent de l’économie informelle et vivent en marge, avec peu ou pas de protection sociale. Vendeurs de rue, commerçants et conducteurs de motos taxis survivent au jour le jour et disposent rarement de biens ou d’épargne. Beaucoup n’ont ni eau courante ni électricité, que le gouvernement a pourtant promis de fournir pendant la pandémie. Et le principe de distanciation sociale est encore impossible à respecter alors que beaucoup de Congolais vivent dans des chambres ou des quartiers surpeuplés. Avec un réseau de journalistes et contributeurs travaillant dans le respect de l’éthique et des standards journalistiques professionnels, le projet « Congo en conversation » du Prix Carmignac a pour vocation de documenter les atteintes aux droits humains et à l’environnement en offrant des analyses inédites, des instantanés de la vie et des luttes quotidiennes dans cet immense pays au moment où il affronte une crise sanitaire sans précédent. A LIRE : Tommaso Protti est le lauréat de la 10e édition du Prix Carmignac du photojournalisme Lizzie Sadin, 8ème lauréate du Prix Carmignac du photojournalisme 8ème Prix Carmignac du Photojournalisme : Rencontre avec Lizzie Sadin autour de la traite des femmes népalaises Emeric Glayse est notre invité de la Semaine Marque-page0
L'Interview Rencontre avec Demet Tehmaz. Un lien discret mais constant avec la photographie Ingénieure chimiste de profession, Demet Tahmaz a consacré près de trois décennies à l’industrie pharmaceutique, tout en gardant, en filigrane, un lien ...
News Les trois finalistes du Prix Viviane Esders dévoilés ! Pour cette quatrième édition, le Prix Viviane Esders s’ouvre à l’Europe ! Grâce à un réseau de nominateurs composé de 30 experts ...
Actu Art Contemporain Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 La Bourse Jeune création 2025 Ateliers Médicis et Rubis Mécénat vient d’être attribuée à Josza Anjembe pour son projet « La princesse, ...
Evénements Harold Feinstein et l’expérience américaine. Exposition La roue des merveilles¹ à la Maison de la Photographie Robert Doisneau
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Un appel à candidatures sous tension : quand le 1 % artistique finance un centre de lutte contre l’immigration clandestine 4 jours ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 5 jours ago
“Benzine Cyprine” vandalisée : la galerie NegPos relance l’exposition malgré les attaques 6 jours ago
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 16 juin 2025
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 7 jours ago
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 4 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 20 heures ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 5 jours ago
S.M.A.K. de Gand, Interview Philippe Van Cauteren, directeur : quelle peinture contemporaine en Belgique ? cap 2032 : le « musée et son double » 6 jours ago