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Elisabeth Hébert, co-fondatrice du festival L’Oeil Urbain, est notre invitée

Portrait d'enfance d'Elisabeth Hébert
Temps de lecture estimé : 3mins

Cette semaine, nous recevons Elisabeth Hébert, co-fondatrice avec Lionel Antoni du festival L’Oeil Urbain, qui se déroule jusqu’au 19 mai prochain à Corbeil-Essonnes. Cette 7ème édition explore au travers 7 expositions, le territoire du Royaume-Uni. Jusqu’à vendredi elle partagera avec nous ses coups de cœur, mais place aujourd’hui à son portrait chinois !

De formation littéraire et après l’obtention de son diplôme en communication graphique et arts visuels à l’école Estienne, Élisabeth Hébert travaille depuis 20 ans comme directrice artistique pour des groupes d’éditions. Co-fondatrice du festival L’Oeil urbain, elle collabore depuis 10 ans avec auteurs et éditeurs, les accompagnants dans la réalisation d’ouvrages en temps que graphiste. Elle a fini par sauter le pas il y a 3 ans en fondant Photopaper, jeune maison d’édition, comptant 7 ouvrages à son catalogue. Elle travaille actuellement sur 4 projets de livres prévus pour 2020, tout en continuant son métier de directrice artistique et chef de studio. 

http://www.loeilurbain.fr
https://www.photopaper.fr/

Le Portrait chinois d’Elisabeth Hébert :

Si j’étais une œuvre d’art : un Nuage de Gerhard Richter
Si j’étais un musée ou une galerie : La rue
Si j’étais un(e) artiste (tous domaines confondus): Camille Claudel
Si j’étais un livre : L’existentialisme est un humanisme de Jean-Paul Sartre
Si j’étais un film : Mustang de Deniz Gamze Ergüven
Si j’étais un morceau de musique : Les écorchés de Noir Désir
Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Il y a deux photos fondamentales pour moi, et qui me suivent partout depuis des années. La première est de Michael Ackerman. Elle est issue de la série End Time City. Elle représente un homme qui porte un singe. J’ai une vingtaine d’années quand je la découvre pour la première fois au festival Chroniques Nomades à Honfleur. Je pense que ce jour-là, je me suis pris un véritable uppercut. La seconde, est de Don McCullin. L’image s’appelle At a café in Finsbury park. Le regard de ce jeune homme m’obsède. Elle est en permanence sous mes yeux.
Si j’étais une citation : Soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien…
Si j’étais un sentiment : L’optimisme
Si j’étais un objet : Une cigarette
Si j’étais une expo : Celle de Jean-Michel Basquiat vue au Musée Guggenheim en Espagne il y a pas mal d’années
Si j’étais un lieu d’inspiration : la plage d’Écho Beach à Bali. Quand je suis là-bas, j’ai l’impression d’être exactement où je dois être
Si j’étais un breuvage : un Nuits-Saint-Georges
Si j’étais un héros/héroïne : Lawrence d’Arabie
Si j’étais un vêtement : Un chapeau

Découvrez les Cartes blanches de notre invité

> Carte blanche à Elisabeth Hébert : Les éditions Photopaper (Mardi 23 avril 2019)
> Carte blanche à Elisabeth Hébert : Brothers of Cycles de Lionel Antoni (Mercredi 24 avril 2019)
> Carte blanche à Elisabeth Hébert : La collection Smallpaper (Jeudi 25 avril 2019)
> Carte blanche à Elisabeth Hébert (Vendredi 26 avril 2019)

INFORMATIONS PRATIQUES

ven05avr(avr 5)0 h 00 mindim19mai(mai 19)0 h 00 minL'Œil Urbain OrganisateurL'Oeil Urbain

La Rédaction
9 Lives magazine vous accompagne au quotidien dans le monde de la photographie et de l'Image.

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