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L'Invité·ePhoto Elisabeth Hébert, co-fondatrice du festival L’Oeil Urbain, est notre invitée La Rédaction22 avril 2019 Portrait d'enfance d'Elisabeth Hébert Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsCette semaine, nous recevons Elisabeth Hébert, co-fondatrice avec Lionel Antoni du festival L’Oeil Urbain, qui se déroule jusqu’au 19 mai prochain à Corbeil-Essonnes. Cette 7ème édition explore au travers 7 expositions, le territoire du Royaume-Uni. Jusqu’à vendredi elle partagera avec nous ses coups de cœur, mais place aujourd’hui à son portrait chinois ! De formation littéraire et après l’obtention de son diplôme en communication graphique et arts visuels à l’école Estienne, Élisabeth Hébert travaille depuis 20 ans comme directrice artistique pour des groupes d’éditions. Co-fondatrice du festival L’Oeil urbain, elle collabore depuis 10 ans avec auteurs et éditeurs, les accompagnants dans la réalisation d’ouvrages en temps que graphiste. Elle a fini par sauter le pas il y a 3 ans en fondant Photopaper, jeune maison d’édition, comptant 7 ouvrages à son catalogue. Elle travaille actuellement sur 4 projets de livres prévus pour 2020, tout en continuant son métier de directrice artistique et chef de studio. http://www.loeilurbain.fr https://www.photopaper.fr/ Le Portrait chinois d’Elisabeth Hébert : Si j’étais une œuvre d’art : un Nuage de Gerhard Richter Si j’étais un musée ou une galerie : La rue Si j’étais un(e) artiste (tous domaines confondus): Camille Claudel Si j’étais un livre : L’existentialisme est un humanisme de Jean-Paul Sartre Si j’étais un film : Mustang de Deniz Gamze Ergüven Si j’étais un morceau de musique : Les écorchés de Noir Désir Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Il y a deux photos fondamentales pour moi, et qui me suivent partout depuis des années. La première est de Michael Ackerman. Elle est issue de la série End Time City. Elle représente un homme qui porte un singe. J’ai une vingtaine d’années quand je la découvre pour la première fois au festival Chroniques Nomades à Honfleur. Je pense que ce jour-là, je me suis pris un véritable uppercut. La seconde, est de Don McCullin. L’image s’appelle At a café in Finsbury park. Le regard de ce jeune homme m’obsède. Elle est en permanence sous mes yeux. Si j’étais une citation : Soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien… Si j’étais un sentiment : L’optimisme Si j’étais un objet : Une cigarette Si j’étais une expo : Celle de Jean-Michel Basquiat vue au Musée Guggenheim en Espagne il y a pas mal d’années Si j’étais un lieu d’inspiration : la plage d’Écho Beach à Bali. Quand je suis là-bas, j’ai l’impression d’être exactement où je dois être Si j’étais un breuvage : un Nuits-Saint-Georges Si j’étais un héros/héroïne : Lawrence d’Arabie Si j’étais un vêtement : Un chapeau Découvrez les Cartes blanches de notre invité > Carte blanche à Elisabeth Hébert : Les éditions Photopaper (Mardi 23 avril 2019) > Carte blanche à Elisabeth Hébert : Brothers of Cycles de Lionel Antoni (Mercredi 24 avril 2019) > Carte blanche à Elisabeth Hébert : La collection Smallpaper (Jeudi 25 avril 2019) > Carte blanche à Elisabeth Hébert (Vendredi 26 avril 2019) INFORMATIONS PRATIQUES ven05avr(avr 5)0 h 00 mindim19mai(mai 19)0 h 00 minL'Œil Urbain OrganisateurL'Oeil Urbain Détail de l'événementPour son 7e périple à travers la ville, le festival photographique L’Œil Urbain explore le Royaume-Uni et prend le pouls agité de nos sociétés contemporaines. Brassage des populations, foyer d’énergie, Détail de l'événement Pour son 7e périple à travers la ville, le festival photographique L’Œil Urbain explore le Royaume-Uni et prend le pouls agité de nos sociétés contemporaines. Brassage des populations, foyer d’énergie, de circulation, de rencontres, de cultures, et noyau à travers lequel fusionnent aussi les tensions : la ville, en outre, apparaît ici comme incarnation de l’Europe des laissés-pour-compte. En balayant de leur regard aigu trente ans de libéralisme outre-Manche, du thatchérisme au Brexit en passant par la guerre en Irlande du Nord et la crise migratoire, les photographes programmés nous offrent des clefs de lectures croisées, n’oubliant pas cependant la poésie, l’énergie et l’humour qui caractérisent cette contrée. Ainsi bat fiévreusement le cœur des hommes, sous l’objectif parfois fébrile des photographes qui rendent aux habitants des villes, aux exilés de tous bords, y compris ceux de l’intérieur – les bousculés et les ballotés de la vie – au Royaume-Uni et ailleurs, la part d’humanité qui leur revient. Une croisée de regards pleine d’acuité, souvent inquiète, mais toujours empathique, solidaire, et souvent drôle, que nous vous invitons à partager. À PROPOS DU FESTIVAL Le festival L’Œil Urbain explore des thématiques liées aux nouvelles réalités urbaines. Ce festival photographique – dont la septième édition se tiendra du 5 avril au 19 mai 2019 – est désormais un événement incontournable du paysage culturel francilien.Un parcours photographique, accessible à pied depuis la gare RER, propose la découverte d’une dizaine de lieux d’expositions, faisant partie du patrimoine de la ville (Commanderie du 13e siècle, théâtre) comme d’espaces fréquentés au quotidien par ses habitants (parvis de l’Hôtel de Ville, square, kiosque à musique). L’Œil Urbain s’intéresse aux multiples regards portés sur l’Homme dans la ville, par les travaux de photographes de tous horizons, traversant parfois plusieurs époques. Chaque année, lors du week-end d’inauguration, les photographes viennent présenter leurs travaux et rencontrer le public. Depuis la création du festival, un artiste résident bénéficie d’une dotation et d’un logement pour effectuer un travail courant sur une année complète à Corbeil-Essonnes. Ce photographe restitue ensuite son travail lors d’une exposition qui lui est dédiée lors du festival de l’année suivante. Les expositions du festival photographique L’Œil Urbain sont toutes en entrée libre. DatesAvril 5 (Vendredi) 0 h 00 min - Mai 19 (Dimanche) 0 h 00 min(GMT+00:00) OrganisateurL'Oeil UrbainLearn More CalendrierGoogleCal Marque-page2
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