Lancement du Collectif Solar, un espace féminin et solidaire dédié à la photographie contemporaine 13 heures ago
Un appel à candidatures sous tension : quand le 1 % artistique finance un centre de lutte contre l’immigration clandestine 5 jours ago
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 16 juin 2025
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 5 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Rencontre avec Caroline Corbasson : Arles, « Something Moves », Prix Art & Environnement (Lee Ufan & Maison Guerlain) 13 heures ago
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 2 jours ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 6 jours ago
Partager Partager L'InterviewOtherSidePhoto Rencontre avec Frank Lamy, commissaire de l’exposition Lignes de Vie au MAC VAL Ericka Weidmann3 juin 2019 Temps de lecture estimé : 4minsC’est une ‘exposition de légende’ que nous propose de découvrir le MAC VAL jusqu’à la fin de l’été. « Lignes de Vie » rassemble plus de 80 artistes internationaux dans la lignée d’une programmation qui questionne les modalités et instances de construction de l’identité. Cette fois-ci, Frank Lamy, commissaire, a souhaité se tourner vers des territoires plus intimes et personnels et c’est avec notre critique Pascal Therme qu’il nous guide au sein de cette exposition. <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> Ce sont 80 artistes de générations et de pratiques différentes, allant de la photographie à la vidéo, en passant par la peinture, l’installation, la performance ou encore l’écriture qui se réunissent pour déconstruire, analyser, critiquer ou tout simplement interroger les phénomènes et les processus qui façonnent et légitiment l’identité ou les identités. Loin d’un geste narcissique ou autocentré, à travers elles les artistes reconstruisent et proposent, plus que de nouvelles identités, des identités choisies. « Les oeuvres (au masculin comme au féminin) réuni-e-s dans l’exposition, font de l’autobiographie et de la biographie une matière première, plastique, générant une réflexion autour des identités, de la mise en scène et de la construction de soi. Il s’agit d’interroger les relations entre l’art et la vie, et à terme, de questionner l’effectivité de l’art, son inscription dans le réel, au travers de postures artistiques diverses qui, toutes, mettent en oeuvre (entre illustration et activation) la dissolution de cette supposée frontière. Considérant que l’identité est une fiction qui se performe, un récit multiple et fragmenté, se raconter, faire de sa biographie – de sa geste – une matière première est donc un acte de déconstruction, d’affirmation, d’ « empuissancement », de révolution moléculaire. Un geste politique de reprise en main de la narration de sa propre légende. Le Sujet, le capitalisme, l’autoportrait se développent historiquement en parallèle et constituent autant d’éléments d’un système de domination et de contrôle global. Déconstruire l’autoportrait, la représentation de soi, participe peut-être d’une entreprise de lutte généralisée. Écrire (quels que soient les moyens choisis de cette écriture) son autobiographie revient très certainement, et par essence, à écrire sa propre vie, à l’inventer. Autoportraits, journaux intimes, mémoires, cartographies émotionnelles, bio art et modifications corporelles, art d’attitude, autofictions, mise en scène de soi, infiltration des systèmes de représentation (T.V., cinéma, YouTube, Facebook, littérature…) et de légitimation (auteur, état civil…) autant de fictions multiples mises en actes par les artistes, autant d’outils. Cette réflexion s’inscrit dans une mise en perspective critique du narcissisme et de l’exhibitionnisme contemporain, mais également la promesse de réalisation de soi par la consommation exaltée par les forces marketing. Il s’agit ici non pas tant de se représenter que de se construire, de s’inventer, de choisir, de refuser les assignations. Quelle place laisser à la famille, à l’Histoire, à la transmission, à l’héritage ? Au nom propre ? Aux relations avec le vivant, avec le cosmos ? Qu’est-ce qu’une vie ? Un événement ? Quid de la destinée? Quels rôles performer ? Quels masques adopter ? Comment faire avec les autres, le genre, l’économie, le souvenir, le temps qui passe, les identités fluides, multiples, mouvantes, le morcellement, le travestissement, l’hybridation, la mise en scène, les masques, les personnages… ? » – Frank Lamy INFORMATIONS PRATIQUES MAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-MarnePlace de la Libération 94400 Vitry-sur-Seine sam30mar(mar 30)10 h 00 mindim25aou(aou 25)18 h 00 minLignes de viesUne exposition de légendesMAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, Place de la Libération 94400 Vitry-sur-Seine Détail de l'événementConcevoir sa biographie comme force créatrice est le vecteur commun aux quatre-vingt artistes internationaux invités dans la prochaine exposition temporaire du MAC VAL. Sous l’intitulé « Lignes de vies – Détail de l'événement Concevoir sa biographie comme force créatrice est le vecteur commun aux quatre-vingt artistes internationaux invités dans la prochaine exposition temporaire du MAC VAL. Sous l’intitulé « Lignes de vies – une exposition de légendes », du 30 mars au 25 août 2019, le nouveau temps fort du musée d’art contemporain du Val-de-Marne réunit les gestes d’artistes de générations et de pratiques différentes, allant de la photographie à la vidéo, en passant par la peinture, l’installation, la performance ou encore l’écriture. Il s’inscrit dans une ligne de programmation qui, depuis l’ouverture du musée en 2005, s’attache à questionner les modalités et instances de construction de l’identité, ou plus précisément, des identités. Avec les expositions « Détours » de Jacques Monory (2005) et « Le Grand Sommeil » de Claude Levêque (2006), le MAC VAL pose la question de la construction des identités. Avec le cycle « Zones de Productivités Concertées » (2006 – 2007) ou encore l’exposition collective « Emporte-moi / Sweep me off my feet » (2009 – 2010), il a été ensuite question d’analyser la place de l’économie ou de l’émotion dans nos existences ; puis, encore le genre (et plus précisément la masculinité) avec « Chercher le garçon » (2015) et l’idée même d’identité culturelle dans « Tous, des sang-mêlés » (2017). Toutes les oeuvres données à voir dans le vaste espace d’exposition déconstruisent, analysent, critiquent ou interrogent les phénomènes et les processus qui façonnent et légitiment l’identité/les identités. Loin d’un geste narcissique ou autocentré, à travers elles les artistes reconstruisent et proposent, plus que de nouvelles identités, des identités choisies. Texte de Frank Lamy, commissaire de l’exposition, chargé des expositions temporaires du MAC VAL Avec les oeuvres de Soufiane Ababri, Paul Auster, Art Orienté Objet, Joël Bartoloméo, Pauline Bastard, Taysir Batniji, Sadie Benning, Karina Bisch, Christian Boltanski, Daniel Bosser, Édouard Boyer, Candice Breitz, Genesis Breyer P-Orridge, David Brognon & Stéphanie Rollin, Jean Brolly, Elina Brotherus, Émilie Brout & Maxime Marion, Sophie Calle, Philippe Cazal, Ludovic Chemarin ©, Leo Chiachio & Daniel Giannone, Claude Closky, Steven Cohen, Béatrice Cussol, Sépànd Danesh, Edi Dubien, Elsa & Johanna, Raphaël Fabre, Simon Faithfull, Esther Ferrer, Jakob Gautel, GRAND MAGASIN, Joseph Grigely, Joël Hubaut, Ilanit Illouz, Princia Itoua, Janez Janša, Lydie Jean-Dit-Pannel, Michel Journiac, Paul Kindersley, Arnaud Labelle-Rojoux, Matthieu Laurette, Leigh Ledare, Édouard Levé, Claude Lévêque, Ariane Loze, Kristin Lucas, MADEleINe ERIC, Roberta Marrero, Annette Messager, Aleksandra Mir, Pierre Moignard, Jacques Monory, Tania Mouraud, Valérie Mrejen, Zanele Muholi, Antoinette Ohannessian, ORLAN, Cécile Paris, Philippe Perrin, Grayson Perry, Françoise Pétrovitch, Abraham Poincheval, Laurent Prexl, Prinz Gholam, Hubert Renard, Santiago Reyes, Colin Roche, Damien Rouxel, Sandro, Jim Shaw, SMITH, Tsuneko Taniuchi, Philippe Thomas, Tatiana Trouvé, Unglee, Hélèna Villovitch…. Photo : Michel Journiac, La Bourgeoise au musée, 1994. Tirage argentique sur papier, 23,8 x 17,8 cm. Photo © Eric Lamouroux, Galerie Christophe Gaillard, Paris. © Adagp, Paris 2019. Dates30 Mars 2019 10 h 00 min - 25 Août 2019 18 h 00 min(GMT+00:00) LieuMAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-MarnePlace de la Libération 94400 Vitry-sur-SeineOther Events MAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-MarnePlace de la Libération 94400 Vitry-sur-SeineOuvert de 10h à 18h du mardi au vendredi et de 12h à 19h le samedi et dimanche MAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-Marne Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
News Les nouvelles expos à voir cet été ! Chaque mois, dans notre rubrique Agenda, nous référençons des centaines de nouveaux événements photographiques en France. Pour votre été à venir, nous ...
News Lancement du Collectif Solar, un espace féminin et solidaire dédié à la photographie contemporaine Il y a six mois, six femmes photographes basées à Marseille — Orianne Ciantar Olive, Giulia Frigieri, Julia Gat, Fanny Magot, Tina ...
L'Invité·e Coup de cœur de Damarice Amao : Stéphanie Solinas à la galerie Jean-Kenta Gauthier Pour sa première carte blanche, notre invitée de la semaine – l’historienne de la photographie, attachée de conservation au cabinet de la ...
Evénements Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté »
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Lancement du Collectif Solar, un espace féminin et solidaire dédié à la photographie contemporaine 13 heures ago
Un appel à candidatures sous tension : quand le 1 % artistique finance un centre de lutte contre l’immigration clandestine 5 jours ago
Marie-Laure de Decker par son fils Pablo Saavedra de Decker à la MEP « Au-delà de la peur, tutoyer l’abysse de la liberté » 16 juin 2025
Le Tour du jour en quatre-vingts mondes, une nouvelle collection signée des éditions L’Axolotl 24 juin 2025
Masterclass Oeildeep : Elle creusait la terre, le deuil dans l’objectif de Véronique L’Hoste 5 jours ago
Masterclass Oeildeep : Il était une fois…la salle des pas perdus. Une histoire sans fin ? Un conte photographique par Djamila Beldjoudi-Calin 20 juin 2025
Rencontre avec Caroline Corbasson : Arles, « Something Moves », Prix Art & Environnement (Lee Ufan & Maison Guerlain) 13 heures ago
Josza Anjembe et Sarah Bouzi nommées lauréates des Bourses du Workshop Jeune création 2025 2 jours ago
La Collection Pinault à Rennes : « Les yeux dans les yeux » au Couvent des Jacobins, Interview Jean-Marie Gallais commissaire 6 jours ago