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Partager Partager Photo Le photojournaliste Michele Crameri s’excuse d’avoir mis en scène des clichés primés Ericka Weidmann2 juillet 2019 On se souvient lorsqu’en 2015, le photographe italien Giovanni Troilo crée la polémique avec son sujet « The Dark heart of Europe « . Son World Press Photo lui avait été retiré après qu’on l’on ait découvert que certaines de ses photographies avaient été mises en scène et que beaucoup de légendes étaient fausses… Même si on ne trouve plus aucune trace de cette histoire sur le site du World Press, elle reste encore dans tous les esprits… Aujourd’hui, c’est au tour du photographe italo-suisse Michele Crameri de faire parler de lui… Ne tirons aucune conclusion sur les photographes italiens, il ne s’agit ici que d’une triste coïncidence… Michele Crameri est un photographe documentaire autodidacte. Après des études de graphisme et de marketing, il travaille quelques années dans la publicité avant de se consacrer pleinement à la photographie en 2006. C’est avec les événements du printemps arabe qu’il fait ses premières armes. Entre 2015 et 2018, le photographe se rend à plusieurs reprises au Honduras pour réaliser un sujet sur la violence des Gangs. Sa série « Sicarios, a work like another » est finaliste du Prix Lens Culture 2018. Il y a quelques jours un journaliste du site américain fstoppers.com dévoile que les images sont en réalité des mises en scène… Les informations proviennent de son fixeur sur place : Orlin Castro, qui décide alors de dévoiler au public la supercherie de plusieurs clichés montrant des scènes particulièrement violentes. Orlin Castro se souvient qu’il a organisé en 2016 une rencontre entre le photographe et un gang, et qu’une partie des images est réalisée à ce moment-là. Michele Crameri leur demande de lui montrer comment ils exécutent les gens. La scène mimée est alors photographiée et publiée avec de fausses légendes décrivant un règlement de compte plus vrai que nature ! À la suite de ces révélations, son agence Parallelo Zero a annoncé la fin de leur collaboration. Le photographe quant à lui a publié sur son site un message d’excuse. Si Orlin Castro n’avait pas porté la réalité au grand jour, ce sujet n’aurait probablement jamais été remis en cause. Combien de photographes ont-il eu recours à ce genre de supercheries pour réaliser des clichés de plus en plus sensationnels ? Même Saint Thomas commence à douter de ce qu’il voit… https://fstoppers.com Marque-page0
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