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Partager Partager L’édition 2024 de la Résidence 1+2 initié par Philippe Guionie autour de la photographie et les sciences va se dérouler sous la houlette de la photographe de renom, Céline Clanet. Les deux photographes émergentes qui vont l’accompagnée viennent d’être dévoilées, il s’agit de Gaëlle Delort et Alžběta Wolfová. Les photographes seront soutenues par l’historien et commissaire Michel Poivert et Catherine Jeandel, océanographe géochimiste et directrice de recherche au CNRS, respectivement parrain et marraine d’honneur de ce programme, et également par la marraine 2024, Emilia Genuardi, fondatrice et directrice des salons a ppr oc he et unRepresented. Céline Clanet © Céline Clanet Céline Clanet est la photographe de renom pour l’édition 2024 de notre programme de résidences de création « Photographie & Sciences » à Toulouse. Céline Clanet (1977, Chambéry) est diplômée de l’Ecole nationale supérieure de la Photographie d’Arles. Elle s’intéresse aux lieux reculés ou secrets, aux paysages sauvages et à leurs occupants, et travaille notamment depuis 2005 sur l’Arctique continental européen. Sa série Máze sur un village sámi de Laponie norvégienne a remporté le “Critical Mass Award“ (USA) et a été publiée aux éditions Photolucida (USA). Elle a également réalisé un travail au long cours en Laponie russe, Kola, pour lequel elle a traversé un territoire arctique profondément marqué par le passage humain, projet soutenu par le CNAP et publié aux éditions Loco. En 2022, elle a été lauréate de la “Grande Commande photographique nationale” portée par la BnF et le Ministère de la Culture, avec Les Ilots Farouches, un projet portant sur les espaces naturels français en libre évolution, espaces les plus protégés du pays. En 2023 est publié Ground Noise aux éditions Actes Sud, un travail en noir et blanc mêlant micrographies et photographies, portant sur les mondes visibles et invisibles de la forêt. Cette série sera exposée aux Rencontres d’Arles la même année. Publié et exposé en Europe et à l’étranger, son travail photographique fait notamment partie des fonds de la Bibliothèque nationale de France, de la collection Neuflize OBC, de la collection du Centre National des Arts Plastiques, de la Société Française de Photographie, des Archives Départementales de Savoie, du Portland Art Museum (USA), ainsi que de plusieurs collections privées. Céline Clanet a publié 7 monographies : Ground Noise (Actes Sud, 2023), Kola (Loco, 2018), Accès Réservé (Ardi/DRAC Normandie, 2017), Les Chapieux, Géographie d’un secret (Actes Sud, 2014), Du torrent au courant (Actes Sud, 2011), Máze (Photolucida, 2010) et Un Mince Vernis de Réalité (Filigranes, 2005). Elle vit et travaille à Paris. Gaëlle Delort © Gaelle Delort Gaëlle Delort est une artiste photographe née en 1988 à Aurillac. Diplômée de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles, elle participe la même année à l’exposition « Une attention particulière » aux Rencontres d’Arles. En 2023, Karst, un travail à la chambre grand-format portant sur les gouffres de la région des Grands Causses, est présenté à la biennale photographique Photosa à Ouagadougou (Burkina Faso), lauréat du prix Jeune Photographie Occitanie du Centre photographique documentaire ImageSingulières à Sète (France), et obtient l’aide individuelle à la création de la DRAC Occitanie. Nourrie par les formes de l’architecture, de la géologie et de la littérature, sa pratique s’inscrit dans un temps long, celui de l’exploration. Par la collecte d’indices qui composent l’épaisseur d’un lieu et ses paysages, elle s’attache à capter des formes de résonances entre des temporalités humaines et géologiques, jouant de la profondeur du monde et de la surface des images. La notion d’infiltration photographique pourrait concentrer ce qui constitue aujourd’hui sa démarche. Elle vit et travaille en Lozère. Alžběta Wolfová © Wolfova Alzbeta Artiste photographe née en 1993 en République tchèque, Alžběta Wolfová est diplômée des Beaux-Arts de Paris ainsi que de l’Académie des Arts Appliqués de Prague. Alžběta Wolfová a notamment exposé au Centre tchèque de Paris, au Palais des Beaux-Arts, dans le cadre du Prix ICART Artistik Rezo, et à la galerie Minotaure. Elle a été lauréate d’un projet de commande pour réaliser une œuvre pour le nouveau siège social Neuflize OBC. En été 2023 elle participe à l’exposition à la Collection Société Générale sous le commissariat de Lauranne Germond du projet COAL. En parallèle des recherches indépendantes au laboratoire photographique, elle développe également une activité collaborative et collective avec le commissariat d’exposition : ‘Poltergeists’ et Contre-Espaces‘ au festival PhotoSaintGermain avec Alain Berland et soirées caritatives ‘Art pour l’Ukraine’ au Centre culturel Tchèque à Paris. Les relations que les humains entretiennent avec les animaux, et comment ils choisissent de les représenter sont des questions centrales dans le travail de l’artiste. Ainsi, selon Marjorie Bertin : « La mise en scène artificielle amène également à s’interroger sur la notion d’animal-machine, qui mécanise la nature et transmute le corps en un assemblage complexe de rouages et de pièces détachées. » À travers ses photographies mais aussi ses éditions, l’artiste fabrique un univers onirique et illusoire. Jouant avec la lumière, des teintes éclatantes, ou encore des effets de reflet, elle pose un voile magique sur la réalité. Qu’il s’agisse de paysage ou d’éléments naturels – fleurs, plumes… , elle réinvente les limites entre organique et artifice. Sa pratique, où une place centrale est accordée à la couleur, est inspirée par les premières techniques photographiques argentiques élaborées au XIXe siècle qu’elle détourne : Wolfová utilise des filtres et des trucages analogiques pour manipuler l’image. Créée à l’initiative de Philippe Guionie fin 2015, la Résidence 1+2 est un festival de résidences de création associant la photographie et les sciences, ancré à Toulouse et en Occitanie, à vocation européenne. Programme artistique annuel, la Résidence 1+2 se construit autour de plusieurs formats concomitants de résidences dont un trio associant trois photographes (1 photographe de renom sur invitation + 2 photographes émergent·e·s via un appel à candidatures) pour une résidence de deux mois. Durant ce temps, les photographes vivent ensemble et créent une œuvre personnelle et inédite. Il·elle·s sont soutenu·e·s dans leurs recherches par les collectivités territoriales, les institutions universitaires et scientifiques et des chercheur·euse·s basé·e·s à Toulouse et sa métropole, ainsi qu’en Occitanie. Il·elle·s sont également accompagné·e·s par un parrain ou une marraine appartenant au monde de la photographie ou des sciences. En associant la photographie et les sciences, la Résidence 1+2 produit, valorise et promeut une photographie d’auteur en liens étroits avec un patrimoine scientifique exceptionnel sur le territoire. Les créations photographiques sont présentées, en mode festival, en octobre et novembre, sur plusieurs supports différents : une série d’expositions dans la ville et un coffret composé de trois ouvrages publié par les Éditions Filigranes au sein de la collection Toulouse. Une semaine inaugurale est organisée autour du Colloque national – Photographie & Sciences – où photographes, scientifiques, parrain et marraine, journalistes et publics échangent lors de tables rondes thématiques. La Résidence 1+2 impulse ainsi une réflexion sociétale commune, dans une dynamique collective associant tous les publics. https://www.1plus2.fr/ Marque-page0
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