Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024
Partager Partager L'EditionPhoto Älskling, a self-portrait through the eyes of my lovers : un itinéraire amoureux à la loupe Carine Dolek15 mars 2018 Temps de lecture estimé : 2mins « Älskling », ça veut dire « Chéri » en suédois. Tendant le miroir aux yeux des Chimène qui ont traversé sa vie, la suédoise Jenny Rova a repris contact avec tous ses ex, repassant sa vie amoureuse au peigne fin, pour récupérer les images qu’ils ont fait d’elle et permettre de dessiner un portrait diachronique, non seulement de sa personne, mais de la perception de Jenny en tant que sujet, et sujet amoureux, photographié dans l’espace intime où on regarde dans la même direction, c’est à dire dans les yeux l’un de l’autre. Du premier petit ami au père de son fils, avec qui elle vit actuellement, elle a remonté tous les fils et montré tous les regards, heureux et tristes, en randonnée ou en fête, des photos de sortie de douche ou de caresses érotiques, dans la géométrie variable du regard amoureux. Ils s’appellent Anders, Amir, Jonas, Henning, Étienne, Boran, Johan, Dan, Bruno, et ont, à des périodes différentes de sa vie, regardé Jenny avec amour. Par ce travail sans concession de réappropriation plastique de la trace de la dialectique amoureuse, elle montre comme ces regards, et celui qu’elle leur portait en retour, les a mutuellement construit. Il faut noter le choix de l’image de couverture, écho au manifeste photographique des surréalistes, posant les yeux fermés et se posant en sujets pages blanches modelables à l’infini du rêve, mais aussi des perceptions de chacun. « Ferme les yeux là deux minutes et pense. Qui vois-tu ? » (André Breton – 7 décembre 1926). « Älskling, a self-portrait through the eyes of my lovers » vient tout juste de recevoir le Svenska Fotobokspriset/ le prix du livre photo suédois 2018 http://www.jennyrova.net/projects/3/_lskling_a_self-portrait_through_the_eyes_of_my_lovers.html Favori0
News Carolle Benitah, devenue l’éternelle Il y a 5 ans tout juste, sortait l’ouvrage « Jamais je ne t’oublierai » aux éditions L’Artière. Aujourd’hui ces mots résonnent d’une façon ...
Photo Masterclass Oeildeep : « Entre deux mondes » par Clémentine Courcelle Cette semaine, nous poursuivons la restitution de la dernière Masterclass Oeildeep, qui a été encadrée par Laura Sérani, Stefano de Luigi et ...
L'Ephéméride Ça s’est passé un 5 avril : Décès de la photographe Lallie Charles Le 5 avril 1919, la photographe irlandaise, Lallie Charles meurt à l’âge de 50 ans. C’est à la fin du XXème siècle, ...
L'Edition Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne
Carte blanche à Freddy Coudray : La résidence de création photographique, mise en place d’un volet de production 3 avril 2024
« Art Paris Art Fair 2024 en forme Olympique ! » : Interview exclusif Guillaume Piens, Commissaire général 18 mars 2024
Trois mers et quatre terres, un objet proteiforme de Stéphane Charpentier et Damien Daufresne 3 avril 2024
Masterclass Oeildeep : « Entre Ciel et Sable, les cabines de plage des Hauts de France » par Barbara Grossmann 15 mars 2024
Art Brussels 2024 : Interview exclusif Nele Verhaeren « Si 40 ans est une étape importante dans la vie d’une personne, c’est également le cas pour Art Brussels … » 3 avril 2024
Lucile Hitier, Centre d’art contemporain l’ar[T]senal : « L’art est un vecteur de lien social et de réinsertion merveilleux qu’il faut encourager et protéger » 2 avril 2024