La photographie française dans l’ombre des grands prix Prix de Photographie de l’Académie des beaux-arts – William Klein 1 jour ago
Constance Nouvel est la lauréate de la 6ème édition du Prix LE BAL / ADAGP de la Jeune Création 2 jours ago
Alina Szapocznikow et Guillaume Bresson au Musée de Grenoble : Interview Sébastien Gokalp 5 jours ago
Matthieu Lelièvre, co-commissaire « Histoires personnelles/Réalités politiques », les collections du macLYON et du MoCAB, Belgrade 6 jours ago
Partager Partager L'EditionPhoto Réveiller l’archive d’une guerre coloniale, prémices de la Grande Guerre La Rédaction20 novembre 2018 Les éditions Créaphis viennent de publier l’ouvrage « Réveiller l’archive d’une guerre coloniale » qui rassemble les photographies et les écrits de Gaston Chérau, alors correspondant de guerre lors du conflit italo-turc pour la Libye (1911-1912) sous la houlette de l’historien, Pierre Schill. Romancier en vue de la Belle Époque et photographe amateur, Gaston Chérau (1872-1937) devient correspondant de guerre lors du conflit italo-turc pour la Libye (1911-1912). Ses 200 photographies, ses articles dans le journal Le Matin, sa correspondance privée et un texte réminiscent publié en 1926 dévoilent comment ce néophyte affronte une guerre en contexte colonial, un « ailleurs » qui le met face à la mort et à l’étranger. En nous plongeant dans le travail et le quotidien d’un reporter aux débuts du photojournalisme, cette documentation inédite et sa mise en perspective historique révèlent comment ce témoin est tiraillé entre sa mission de rendre compte des événements et sa manipulation par les belligérants et les journaux. Elle permet dès lors de montrer comment cette expérience condense de multiples enjeux – principalement économiques et politiques – liés à la fabrique de l’actualité. C’est seulement en restituant la part qui revient à chacun des protagonistes dans la construction du récit journalistique que l’on peut mesurer la manière dont le correspondant de guerre, témoin singulier généralement peu questionné dans l’historiographie de la guerre, engage sa responsabilité. La seconde partie de l’ouvrage propose une analyse réflexive du projet «À fendre le cœur le plus dur » qui a donné lieu au partage de cette source historique avec des artistes et à la production d’une exposition. Les artistes sont les écrivains, Jérôme Ferrari (prix Goncourt 2012) et Oliver Rohe, la plasticienne, Agnès Geoffray, et le danseur-chorégraphe, Emmanuel Eggermont. L’exposition a fait entrer en résonance l’archive avec ces créations et les oeuvres d’autres artistes contemporains ayant abordé dans différents contextes guerriers la question du témoignage et de la violence de guerre. INFORMATIONS PRATIQUES Réveiller l’archive d’une guerre coloniale Préface Pierre Schill Photos et textes : Gaston Chérau Editions Créaphis 165 x 225 mm / 480 pages ISBN : 978-2-35428-141-0 35 € Marque-page0
Evénements Planches Contact Festival, une seizième édition entre intimité et renouveau Dès le 18 octobre jusqu’au 4 janvier 2026, Deauville devient capitale de l’image. 19 photographes sont les invités de 26 expositions dans ...
L'Interview PHOTAUMNALES, 22ème édition : Rencontre avec Oleñka Carrasco Oleñka Carrasco à l’occasion des PHOTAUMNALES 2025 propose une version augmentée de « La Casa, corrosiva » (projet PATRIA) qui a été ...
News La photographe Sophie Zénon inaugure la réouverture du Château d’Eau de Toulouse La Mairie de Toulouse, malgré la baisse de ses subventions culturelles à certaines structures, s’apprête à rouvrir deux importantes institutions : le ...
La photographie française dans l’ombre des grands prix Prix de Photographie de l’Académie des beaux-arts – William Klein 1 jour ago
Constance Nouvel est la lauréate de la 6ème édition du Prix LE BAL / ADAGP de la Jeune Création 2 jours ago
Alina Szapocznikow et Guillaume Bresson au Musée de Grenoble : Interview Sébastien Gokalp 5 jours ago
Matthieu Lelièvre, co-commissaire « Histoires personnelles/Réalités politiques », les collections du macLYON et du MoCAB, Belgrade 6 jours ago