Arianna Sanesi nommée lauréate de la 1ère édition de la résidence photographique Chambre noire 4 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 10 mars 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 2 jours ago
Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » 2 heures ago
Interview Stéphanie Pécourt, Centre Wallonie Bruxelles : « Un manifeste dissident pour un cosmopolitisme renouvelé. » 3 jours ago
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 21 mars 2025
L'Invité·ePhoto Coup de Gueule de Stefana Fraboulet & Laetitia Guillemin : A-t-on encore besoin d’un(e) iconographe aujourd’hui ? La Rédaction10 septembre 2019 Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsPour leur première carte blanche, nos deux invitées de la semaine, Stefana Fraboulet & Laetitia Guillemin co-présidentes à l’ANI (Association nationale des iconographes), ont souhaité publier une tribune coup de gueule sur l’avenir des iconographes. Elles partagent avec nous leur quotidien qui tend à disparaître. Car si nous avons conscience que la situation des photographes se détériore, il ne faut pas oublier qu’il y a, avec, beaucoup de métiers qui sont en asphyxie… A-t-on encore besoin d’un(e) iconographe aujourd’hui ? Visiblement non ! Ah bon ? Ben oui, mets-toi sur Google Images, c’est tellement plus intéressant, surtout quand on cherche un enfant tout sourire pour illustrer un encadré en quatrième de couv’ pour le journal Montreux Jazz Chronicle. Et là, on se retrouve avec la photo du petit Grégory, assassiné trente ans plus tôt, dans une publicité, pour la garderie d’enfants du célèbre festival de Jazz… Le métier d’iconographe tend à disparaître. Partout où il y a besoin d’images, chacun fait à sa sauce ! Plus de contextualisation de l’image, pas d’auteur associé à la photo, une qualité parfois douteuse, des légendes hors contextes, et des images pas chères, voire gratuites, Toutes les personnes dont ce n’est pas le métier s’improvisent iconographes. Le marché de l’offre et de la demande et l’arrivée du tout-numérique déstabilisent nos métiers de l’image. La baisse des budgets liés aux achats des images et des productions, les services photos de plus en plus inexistants, une politique encore trop timide de la représentation visuelle sur le web, la précarité des iconos pigistes et freelances, la survie des agences photographiques et collectifs dans un monde saturé d’images par le tout-venant : tous ces facteurs contribuent à dévaloriser notre métier de passeur d’images. Pourtant, notre culture visuelle et générale, notre connaissance des questions juridiques et des techniques de l’organisation des images, notre carnet d’adresses, sont les éléments importants et nécessaires à toute utilisation d’images dans des contextes et supports différents. Dans une telle situation, l’Association nationale des iconographes (ANI) prend tout son sens. En tant qu’association, nous cherchons à trouver des solutions pour faire notre métier dans les meilleures conditions professionnelles et financières. Il est urgent de se fédérer, de réfléchir tous ensemble : faiseurs, passeurs et utilisateurs d’images, pour que tout le monde puisse vivre de son métier et apporter de la qualité et de la singularité dans les contenus, que ce soit, la presse, l’édition, la com’, le web, les institutions… A LIRE : Rencontre avec Laetitia Guillemin, iconographe indépendante Coup de Gueule de Mat Jacob : Ne dites à personne que je suis photographe (Ou dites à tout le monde que je ne le suis plus) Marque-page0
Photo Masterclass Oeildeep : « J’accuse le silence », une oeuvre féministe par Mamoon Cette semaine nous poursuivons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
L'Edition Hope de Cristina Mittermeier par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une ...
L'Invité·e Carte blanche à Hervé Castaing : Destination Venise Pour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invité de la semaine, Hervé Castaing – fondateur de la galerie Mostra à Nantes, ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Arianna Sanesi nommée lauréate de la 1ère édition de la résidence photographique Chambre noire 4 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 10 mars 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 2 jours ago
Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » 2 heures ago
Interview Stéphanie Pécourt, Centre Wallonie Bruxelles : « Un manifeste dissident pour un cosmopolitisme renouvelé. » 3 jours ago
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 21 mars 2025