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Ricardo Fernandes, commissaire et galeriste, est notre invité de la semaine

Portrait d'enfance de Ricardo Fernandes
Temps de lecture estimé : 3mins

Cette semaine, à l’occasion de l’inauguration de l’exposition collective « Terra Brasilis » à la Galerie Dauphine, nous accueillons le commissaire d’exposition Ricardo Fernandes. Visible tout ce mois de novembre, cette exposition rend hommage à la création photographique contemporaine brésilienne. Vous l’aurez compris, cette semaine vibrera au rythme de la photographie sud américaine !

Né à Belo Horizonte, Ricardo Fernandes, est commissaire et galeriste. Sa galerie, installée au Marché Dauphine (Puces de Saint-Ouen), présente essentiellement des artistes de la scène contemporaine Brésilienne : Marcelo Solá, Juan Esteves, Lita Cerqueira, Lucia Adverse, André Mendes…
Ricardo Fernandes a fait des études d’Histoire de l’Art et d’architectures d’intérieurs ainsi que des études de journalisme et d’Affaires internationales. Il a ouvert sa première galerie au Brésil il y a vingt-cinq ans.
Il est membre de The Association of Art Museum Curators (AAMC) à New York aux États-Unis, de l’Association Internationale des Critiques d’Art (AICA) à Paris et de l’Association for Art History (AAH) à Londres.

https://www.ricardofernandes.biz

Portrait chinois de Ricardo Fernandes

Si j’étais une œuvre d’art : Je serais la peinture Moema, une huile sur toile de 1866, réalisée par le peintre brésilien Victor Meirelles. A partir du poème épique, Caramuru, écrit par le frère Santa Rita Durão (1781), l’artiste réalise une interprétation du destin de la native brésilienne Moema, qui se suicide en plongeant dans les eaux, après avoir été rejetée par son bien-aimé Caramuru. Une œuvre qui, à mon avis, dépasse la simple contemplation d’une œuvre et me met en transe.
Si j’étais un musée ou une galerie : Le Musée Inhotim au Brésil
L’Inhotim abrite l’une des plus grandes fondations de l’art contemporain au Brésil et l’un des plus grands centres d’art en plein air d’Amérique latine.
Si j’étais un(e) artiste (tous domaines confondus) : Milton Nascimento
Si j’étais un livre : Aimer, verbe intransitif de Mário de Andrade, 1927
Si j’étais un film : Interstellar, 2014, Christopher Nolan
Si j’étais un morceau de musique : It’s the butterflies, and the fireflies, fighting in my stomach
Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Free Swim de James Bidgood
Si j’étais une citation : Antes tarde do que nunca (Mieux vaut tard que jamais)
Si j’étais un sentiment : Saudade (Nostalgie)
Si j’étais un objet :  Une paire de lunettes
Si j’étais une expo : David Bowie Exhibition au V&A Museum
Si j’étais un lieu d’inspiration : Un temple bouddhiste Thai
Si j’étais un breuvage : un thé vert
Si j’étais un héros/héroïne : Black Panther
Si j’étais un vêtement : Une mini-jupe brillante pour une fête de nuit.

Retrouvez les cartes blanches de notre invité

> Carte blanche à Ricardo Fernandes : La photographie contemporaine brésilienne à la BnF (le mardi 5 novembre 2019)
> Carte blanche à Ricardo Fernandes : Initial Labo (le mercredi 6 novembre 2019)
> Carte blanche à Ricardo Fernandes : La photographe brésilienne Lucia Adverse (le jeudi 7 novembre 2019)
> Carte blanche à Ricardo Fernandes : L’Antiquité du Futur (le vendredi 8 novembre 2019)

INFORMATIONS PRATIQUES

sam02novdim01décTerra Brasilis, les photographes contemporains brésiliensGalerie Dauphine, Marché Dauphine - Puces de Paris Saint-Ouen, 132-140 Rue des Rosiers, 93400 Saint-Ouenv

La Rédaction
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