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L'Ephéméride Ça s’est passé un 26 novembre : Mort de Peter Hujar La Rédaction26 novembre 2019 Peter Hujar, Ethyl Eichelberger as Minnie the Maid, 1981. The Morgan Library & Museum. Purchased on the Charina Endowment Fund, 2013 © Peter Hujar Archive, LLC, courtesy Pace/MacGill Gallery, New York and Fraenkel Gallery, San Francisco Partager Partager Temps de lecture estimé : < 1minLe 26 novembre 1987, le photographe américain Peter Hujar meurt d’une pneumonie liée au sida à l’age de 53 ans. Le Jeu de Paume lui consacre actuellement une importante rétrospective. Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris mar15oct(oct 15)11 h 00 min2020dim19jan(jan 19)19 h 00 minSpeed of LifePeter HujarJeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementLa vie et les images de Peter Hujar (1934-1987) sont inséparables de la ville de New York. Indépendant par nature, volontiers combatif, cultivé et très bien introduit dans le milieu Détail de l'événement La vie et les images de Peter Hujar (1934-1987) sont inséparables de la ville de New York. Indépendant par nature, volontiers combatif, cultivé et très bien introduit dans le milieu artistique, Hujar évoluait au sein d’une scène avant-gardiste faite de danseurs, de musiciens, de plasticiens et de travestis. Son accomplissement en tant que photographe fut contemporain de l’évolution et de la visibilité du mode de vie gay entre 1969 — date des émeutes de Stonewall — et la crise du sida dans les années 1980. À l’issue de ses études secondaires en 1953 – et jusqu’en 1968 –, Hujar travaille comme assistant auprès de divers photographes publicitaires. Cinq années passées à collaborer à des magazines grand public le convainquent qu’une carrière de photographe de mode « n’est pas pour [lui] ». En 1973, il préfère alors mener une « vie d’artiste », qui lui permet une plus grande libérté dans son travail de photographe. Dans le loft-studio qu’il occupe au-dessus d’un théâtre de l’East Village (au sud de Manhattan), Hujar braque son objectif sur ceux qui suivent leur instinct créatif et refusent les succès faciles. De ses photographies, il disait qu’elles sont « des images simples et directes de sujets difficiles et compliqués »; elles immortalisent des instants, des êtres et des pratiques culturelles dont l’existence est aussi fugitive que celle de la vie. À quarante-deux ans, il publie son unique monographie, Portraits in Life and Death [Portraits dans la vie et dans la mort], et inaugure sa première exposition personnelle dans une galerie. Cette exploration de l’intimité qu’il a menée en tant que portraitiste, il l’applique à présent à la photographie, dépourvue de sentimentalisme, d’animaux et de plantes, de paysages et de bâtiments, et à la saisie des singularités des corps nus. En 1981, Hujar a une brève liaison avec le jeune artiste David Wojnarowicz, avec qui il parcourt les quartiers délabrés de New York. La ville qu’il a photographié à cette période, est un petit monde vibrant d’une intense énergie créatrice, qui a depuis disparu. Peter Hujar meurt en novembre 1987 d’une pneumonie liée au sida. Le Jeu de Paume présente du 15 octobre au 19 janvier Peter Hujar : Speed of Life (la vie à toute vitesse), une sélection d’environ 140 photographies de cet artiste particulièrement important et influent. L’exposition suit le parcours d’Hujar, depuis ses débuts au milieu des années 1950, jusqu’aux années 1980 où il est l’un des acteurs importants de la scène artistique de l’East Village. Organisée en deux parties, elle décline tous les différents aspects de sa pratique photographique marquée par la même beauté austère : le portrait en atelier, généralement posé, et qui constitue le cœur de sa pratique, mais également le nu, notamment masculin, et le paysage urbain de New York et de ses environs. Résolument noir et blanc, l’ensemble non seulement décrit l’univers intime de Peter Hujar mais également esquisse un portrait du New York bohème et underground de ces années-là, à travers quelques-unes de ses figures les plus marquantes. Librement inspirée par l’accrochage de la dernière exposition new yorkaise qu’Hujar eu de son vivant, en 1986, à la Gracie Mansion Gallery, la deuxième partie mêle ces différentes thématiques en insistant sur la continuité stylistique qui unit ces images, par-delà leurs sujets. Dates15 Octobre 2019 11 h 00 min - 19 Janvier 2020 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisOther Events Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Jeu de Paume Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
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S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
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